1
. Duhamel n’ait joint à son recueil une épître au
préfet
de Police sur les Embarras de Paris. Sujet de pastiche facile : décri
2
est chaque jour un peu plus dans la dépendance du
préfet
, lequel obéit aveuglément aux députés de son département. Les initiat
3
rches auprès des autorités de l’enseignement, des
préfets
et des ministres semblent avoir rencontré dans la plupart des cas une
4
éen et non l’Europe réelle. Il voulait nommer des
préfets
… L’état d’esprit jacobin, centralisateur, unificateur et nécessaireme
5
s baillis jouaient un rôle comparable à celui des
préfets
dans maint État moderne. Là où le préfet donne les ordres du pouvoir
6
lui des préfets dans maint État moderne. Là où le
préfet
donne les ordres du pouvoir central, la commune n’est plus qu’un orga
7
, puisqu’il a pu se servir de la ligne directe du
préfet
de police, lui donne alors le permis nécessaire pour se rendre à Vien
8
de la religion nouvelle. Le même Gaulois, qui est
préfet
impérial, écrit en pur latin de belles hymnes à la gloire du fils de
9
s baillis jouaient un rôle comparable à celui des
préfets
dans maint État moderne. Là où le préfet donne les ordres du pouvoir
10
lui des préfets dans maint État moderne. Là où le
préfet
donne les ordres du pouvoir central, la commune n’est plus qu’un orga
11
e commerce et directeurs de festivals, députés et
préfets
, éditeurs et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français
12
it tout récemment devant l’assemblée annuelle des
préfets
de la République : L’Europe peut nous tomber sur la tête un beau mat
13
s, présidents de chambres de commerce, députés et
préfets
, éditeurs et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français
14
y a un an devant un colloque réunissant tous les
préfets
de la République : L’Europe peut nous tomber sur la tête un beau mat
15
s, présidents de chambres de commerce, députés et
préfets
, éditeurs et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français
16
y a un an devant un colloque réunissant tous les
préfets
de la République : L’Europe peut nous tomber sur la tête un beau mat
17
scours, il y a deux ou trois ans, devant tous les
préfets
de France réunis, il a dit à peu près cette phrase : « L’Europe unie
18
milieu le moins fait pour l’accueillir, celui des
préfets
napoléoniens. Alors, comment envisager ce passage de l’Europe qui ne
19
a le même rang qu’un général de division ou qu’un
préfet
. Cela m’a été rappelé à maintes reprises par des recteurs français, q
20
r le même rang qu’un général de division ou qu’un
préfet
, et ceci depuis Napoléon. » Napoléon a voulu faire, d’après un de mes
21
heur géométrique pour mieux régner, et nommer des
préfets
partout — pure utopie. On ne peut pas non plus faire l’Europe dans le
22
s, présidents de chambres de commerce, députés et
préfets
, éditeurs et animateurs sociaux, je me vis le seul non-Français : j’e
23
it un jour lors d’un colloque réunissant tous les
préfets
de la République : L’Europe peut nous tomber sur la tête un beau mat
24
la ville ne pouvait plus payer. 14. Un jour, le
préfet
de la région parisienne eut l’idée, quelque peu subversive, de convoq
25
lers municipaux. La réunion n’eut jamais lieu, le
préfet
ayant été subitement déplacé. 15. 54 % de l’essence consommée aujour
26
x de décision. Monsieur le président, Monsieur le
préfet
, Monsieur le maire sont évidemment des monarques (le ton l’indique) e
27
ais le citoyen responsable — bien moins devant le
préfet
que devant les électeurs — et qui a besoin de savoir, besoin de s’inf
28
t de six ministères parisiens avec à leur tête le
préfet
régional. Les représentants suisses, au contraire, étaient en majorit
29
gués » par le Centre, comme le sont en France les
préfets
. b) La CEE, et dans une moindre mesure le Conseil de l’Europe, se pré
30
ulation se disent prêts à les appliquer. Mais les
préfets
d’un côté, les ministères de l’autre s’y opposent, pour des raisons m
31
enève — l’annexion pure et simple, assaisonnée de
préfets
et de la lecture exclusive mais obligatoire du Moniteur. On a trop di
32
ulation se disent prêts à les appliquer. Mais les
préfets
d’un côté, les ministères de l’autre s’y opposent, pour des raisons m
33
donc sur la tribune officielle le même rang qu’un
préfet
ou un général de division. On les croyait voués à la recherche du Vra
34
ervé sur la formule approuvée par Defferre : « Le
préfet
, c’est Paris à domicile », mais il corrige aussitôt : Il ne faut peut
35
ctions qui n’ont même pas la force de déplacer un
préfet
de police, avec des indignations de sédentaires. Il y a une tentation
36
ce) sans oublier que, à certains moments, même le
préfet
de police, s’il perd l’autorité, ou s’il cesse d’être le délégué de l