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ce. h. Rougemont Denis de, « Veille d’élection
présidentielle
», Journal de Genève, Genève, 14 novembre 1940, p. 1-2. i. Le journa
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uare, au cœur de Manhattan, le soir de l’élection
présidentielle
. À neuf heures, nous étions cent-mille, à onze heures, un demi-millio
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longue prière à la radio, la veille de l’élection
présidentielle
; les journaux décrivent en détail les services de communion auxquels
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voi bruyant d’un ministre, ou même d’une élection
présidentielle
. Dans quel autre pays de notre monde du xxe siècle verrait-on un jou
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uare, au cœur de Manhattan, le soir de l’élection
présidentielle
. À 9 heures, nous étions deux-cent-mille, à 11 heures, un demi-millio
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envoi bruyant d’un ministre, ou même une élection
présidentielle
. Dans quel autre pays de notre monde du xxe siècle verrait-on un jou
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longue prière à la radio, la veille de l’élection
présidentielle
; les journaux décrivent en détail les services de communion auxquels
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la politique américaine à la veille des élections
présidentielles
, et enfin et surtout cette inertie, ou pour mieux dire, cette bienvei
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ire. La seule présence sur la tribune, à la table
présidentielle
, d’un groupe d’hommes politiques qu’on ne pourrait voir nulle part ai
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qu’elle bouleverse les conditions d’une campagne
présidentielle
aux États-Unis, avec tout ce que cela peut comporter de conséquences
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nnaît pas non plus, comme les États-Unis, le veto
présidentiel
et les fréquents changements de ministres choisis ou renvoyés par le
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District of Columbia à prendre part à l’élection
présidentielle
. f. Rougemont Denis de, « Orientations vers une Europe fédérale »,
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nnaît pas non plus, comme les États-Unis, le veto
présidentiel
et les fréquents changements de ministres choisis ou renvoyés par le
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t différent, communiste ou fasciste, dictatorial,
présidentiel
ou monarchique. La vraie chance de grandeur des Suisses, je ne la voi
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ujets traités, s’est vu contraint par sa fonction
présidentielle
dans ces débats, d’accorder la parole à tous — sauf à lui-même ! Comm
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t différent, communiste ou fasciste, dictatorial,
présidentiel
ou monarchique. La vraie chance de grandeur des Suisses, je ne la voi
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réalité monarchique mais qu’ils appellent régime
présidentiel
, dictature militaire, ou démocratie populaire, selon les traditions l
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étrolières financent les campagnes électorales et
présidentielles
», nous apprend Ralph Nader, qu’on n’a pas réfuté. À la corruption in