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se plus rare qu’on ne pense, à Aubonne on se sent
prêt à
tout lâcher pour une vérité nouvelle, on tient moins à convaincre qu’
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isais : le voilà riche, le voilà classé, le voilà
prêt à
faire des bassesses pour durer, et tu te réjouissais, parce que tu n’
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découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais
prêt à
voir ? — Mais il fallait aller le voir ! La vie est presque partout l
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les plus délicats scrupules à sa justification, «
prêt à
tous les effacements » (p. 59). Là où d’autres triompheraient, il met
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ou qu’il a bien voulu s’en donner l’air — je suis
prêt à
le concéder au-delà de ce qu’il espère. Par incompétence radicale. Ce
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découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais
prêt à
voir ? — Mais il fallait aller le voir ! — La vie est presque partout
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liquidation à un taux sous-humain. Voici le Plan,
prêt à
reprendre l’entreprise sur des bases plus rationnelles. Mais si c’éta
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découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais
prêt à
voir ? — Mais il fallait aller le voir ! — La vie est presque partout
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liquidation à un taux sous-humain. Voici le Plan,
prêt à
reprendre l’entreprise sur des bases plus rationnelles. Mais si c’éta
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aire et policier inexorable, inconnaissable, tout
prêt à
sanctionner cette confusion de la morale et de l’argent que les bourg
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liquidation à un taux sous-humain. Voici le Plan,
prêt à
reprendre l’entreprise sur des bases plus rationnelles. Mais si c’éta
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rompu aux abstractions et sachant voir, toujours
prêt à
l’accueil le plus ardent mais aussi le plus utilement critique si vou
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tion il restera le foyer des chercheurs, toujours
prêt à
accueillir les savants et leurs découvertes, à ajouter des maillons à
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l. On dira qu’elles ne l’ont jamais su. Je serais
prêt à
l’accorder. Ce qui est nouveau, c’est qu’elles croient le savoir. C’e
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Russie ? Lui. — C’est autre chose. Il faut être
prêt à
tout, bien qu’il y ait la Pologne entre deux. Mais surtout il nous fa
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e capitalisme des Romains C’est par l’usage du
prêt à
intérêt que le capitalisme s’est introduit à Rome, et cela dès les ve
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aïveté impardonnable ? — Pourtant, je ne suis pas
prêt à
me donner tort, c’est-à-dire à donner raison au bon sens de l’époque
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aïveté impardonnable ? — Pourtant, je ne suis pas
prêt à
me donner tort, c’est-à-dire à donner raison au bon sens de l’époque
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uide, chez son beau-frère. Il était adversaire du
prêt à
intérêt, condamné par l’église primitive. Il donnait à qui voulait. A
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réponses elles-mêmes, celles que déjà vous étiez
prêt à
lui donner, qui se trouvent mises en question par sa méfiance paysann
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uide, chez son beau-frère. Il était adversaire du
prêt à
l’intérêt, condamné par l’église primitive. Il donnait à qui voulait.
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» comme pensaient les Anciens, tout le monde est
prêt à
le reconnaître, c’est un des lieux communs les plus usés des moralist
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arrieux, la star. On nous affirme aussi qu’il est
prêt à
se faire tuer pour assurer la liberté de sa presse : le droit pour un
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Russie ? Lui. — C’est autre chose. Il faut être
prêt à
tout, bien qu’il y ait encore la Pologne entre deux. Mais surtout il
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i avant d’arriver à cette conviction, que je suis
prêt à
défendre : ce que Tristan et Iseut aiment, c’est le fait d’aimer. Jam
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cile de découvrir une voie meilleure où l’on soit
prêt à
se risquer soi-même. a. Rougemont Denis de, « L’ère des religions
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ui s’exalter la révolte du sang barbare. Il était
prêt à
accueillir, sous le couvert de formes catholiques, toutes les revivis
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imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots,
prêt à
bondir quand par hasard il vient de suspendre sa course. Au contraire
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» comme pensaient les Anciens, tout le monde est
prêt à
le reconnaître, c’est un des lieux communs les plus usés des moralist
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à plein. On sent le goût des choses. Et l’on est
prêt à
tout abandonner au premier signe du destin, parce qu’on vient de remp
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u telle hypothèse « historique » que je suis tout
prêt à
réviser s’il y a lieu. Voilà le point. Voilà le terrain de ma défense
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ui s’exalter la révolte du sang barbare. Il était
prêt à
accueillir, sous le couvert de formes catholiques, toutes les revivis
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imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots,
prêt à
bondir quand par hasard il vient de suspendre sa course. Au contraire
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», comme pensaient les Anciens, tout le monde est
prêt à
le reconnaître, c’est un des lieux communs les plus usés des moralist
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ui s’exalter la révolte du sang barbare. Il était
prêt à
accueillir, sous le couvert de formes catholiques, toutes les revivis
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imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots,
prêt à
bondir quand par hasard il vient de suspendre sa course. Au contraire
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», comme pensaient les Anciens, tout le monde est
prêt à
le reconnaître, c’est un des lieux communs les plus usés des moralist
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le. J’estime qu’elle a suffisamment duré. Je suis
prêt à
la dénoncer dans toutes les revues et dans tous les journaux qui veul
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ouveraient mieux placés dans ce combat, et d’être
prêt à
leur porter main-forte cas échéant. Car tout revient, dans ce domaine
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es firmes et des grands partis politiques. Il est
prêt à
se laisser « aimanter » comme limaille par le premier magnétiseur ven
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réponses elles-mêmes, celles que déjà vous étiez
prêt à
lui donner, qui se trouvent mises en question par sa méfiance paysann
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ouveraient mieux placés dans ce combat, et d’être
prêt à
leur porter main-forte, cas échéant. Car tout revient, dans ce domain
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ert « objectivement » des motifs d’un bandit tout
prêt à
l’assommer. Or je connais une certaine propagande qui nous tape sur l
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es objections contre ce que je vais dire. Je suis
prêt à
les écouter avec déférence. Mais je cherchais depuis longtemps l’occa
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ert « objectivement » des motifs d’un bandit tout
prêt à
l’assommer. Or je connais une certaine propagande qui nous tape sur l
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doctrine dans les plans les plus divers. Il était
prêt à
déclencher une action en profondeur d’abord, puis publique. Une trent
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ure sagesse en lui s’y attendait ; elle le tenait
prêt à
subir en souplesse les mécomptes, à vrai dire normaux, de l’optimisme
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ndigne d’un homme de sens. Le fiscal Knol se sent
prêt à
pleurer de colère. Pasvogel, le rusé libraire, essaie de se remémorer
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à plein. On sent le goût des choses. Et l’on est
prêt à
tout abandonner au premier signe du destin, parce qu’on vient de remp
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qu’il faut combattre Hitler et la police. Je suis
prêt à
me battre pour le droit de pleurer devant la beauté. ⁂ Ce fleuve mauv
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e. Je me sens absolument libre, détaché du passé,
prêt à
l’accueil curieux, ferme et poli, de quelque avenir étranger. Au long
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ure sagesse en lui s’y attendait : elle le tenait
prêt à
subir en souplesse les mécomptes, à vrai dire normaux, de l’optimisme
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découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais
prêt à
voir ? — Mais il fallait aller le voir ! — La vie est presque partout
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liquidation à un taux sous-humain. Voici le Plan,
prêt à
reprendre l’entreprise sur des bases plus rationnelles. Mais si c’éta
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aïveté impardonnable ? — Pourtant, je ne suis pas
prêt à
me donner tort, c’est-à-dire à donner raison au bon sens de l’époque
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uide, chez son beau-frère. Il était adversaire du
prêt à
intérêt, condamné par l’Église primitive. Il donnait à qui voulait. A
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arrieux, la star. On nous affirme aussi qu’il est
prêt à
se faire tuer pour assurer la liberté de sa presse : le droit pour un
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Russie ? Lui. — C’est autre chose. Il faut être
prêt à
tout, bien qu’il y ait encore la Pologne entre deux. Mais surtout il
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cile de découvrir une voie meilleure où l’on soit
prêt à
se risquer soi-même. ⁂ Quelle voie ? On m’a reproché d’y avoir fait a
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à plein. On sent le goût des choses. Et l’on est
prêt à
tout abandonner au premier signe du destin, parce qu’on vient de remp
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qu’il faut combattre Hitler et la police. Je suis
prêt à
me battre pour le droit de pleurer devant la beauté. ⁂ Ce fleuve mauv
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ise. Je me sens absolument libre, détaché d’hier,
prêt à
l’accueil curieux, ferme et poli, de quelque avenir étranger. Au long
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ure sagesse en lui s’y attendait : elle le tenait
prêt à
subir en souplesse les mécomptes, à vrai dire normaux de l’optimisme
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une nation la riche diversité des groupes, il est
prêt à
s’ouvrir à des unions plus vastes. Il les appelle, il les espère, il
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récédant un mari moins galant que stylé, toujours
prêt à
subir ses impérieux caprices avec une calme indifférence. Chaque pas,
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récédant un mari moins galant que stylé, toujours
prêt à
subir ses impérieux caprices avec une calme indifférence. Chaque pas,
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ndigne d’un homme de sens. Le fiscal Knol se sent
prêt à
pleurer de colère. Pasvogel, le rusé libraire, essaie de se remémorer
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une nation la riche diversité des groupes, il est
prêt à
s’ouvrir à des unions plus vastes. Il les appelle, il les espère, il
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officiel d’un Mouvement bien solidement articulé,
prêt à
l’action. Quelles sont les forces politiques que représente un tel co
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mands comme un cas tout à fait singulier. Je suis
prêt à
le croire. Mais enfin, cela ne va pas de soi. Question 3. – « Le dép
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cords passés le jour même avec l’Allemagne, était
prêt à
soutenir l’admission de ce pays dans le Conseil de l’Europe. Certes,
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qu’ils ont trop d’autres choses à faire… Je suis
prêt à
les plaindre ; je suis prêt à saluer la sincérité de plusieurs en tan
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es à faire… Je suis prêt à les plaindre ; je suis
prêt à
saluer la sincérité de plusieurs en tant qu’individus ; je suis même
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de plusieurs en tant qu’individus ; je suis même
prêt à
prendre au sérieux quelques-unes de leurs objections. Mais je me refu
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ys d’Europe qui soit matériellement et moralement
prêt à
se défendre en cas d’attaque, demain. Je sais très bien que la seule
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ys d’Europe qui soit matériellement et moralement
prêt à
se défendre en cas d’attaque, demain. Je sais très bien que la seule
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amis : je suis un libéral, dit-il, donc toujours
prêt à
discuter avec n’importe quel adversaire. Je peux même discuter avec u
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ment vivre dans l’improbable, c’est être toujours
prêt à
affronter l’invraisemblable. Si l’incertitude objective est le premie
79
s deux peuples : l’Allemand indéterminé, toujours
prêt à
suivre un Führer, le Suisse particularisé de la manière la plus préci
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jours le même cri : « Que peut-on faire ? Je suis
prêt à
le faire avec vous. » « Agissez ! Agissez ! Agissez ! » — dernier Mes
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ice européen de conférences ». Et de notre plan —
prêt à
se réaliser — d’un pool européen de l’édition. C’est dans le même cad
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ore lui être utile. » Il a refusé le prix, il est
prêt à
renier ce qui déplaît au régime dans son livre, pourvu qu’on le laiss
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ore lui être utile. » Il a refusé le Prix, il est
prêt à
renier ce qui déplaît au régime dans son livre, pourvu qu’on le laiss
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ment vivre dans l’improbable, c’est être toujours
prêt à
affronter l’invraisemblable. Si l’incertitude objective est le premie
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imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots,
prêt à
bondir quand par hasard il vient de suspendre sa course. Au contraire
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appelle son père, au moment où elle sent Don Juan
prêt à
s’enfuir, un peu trop vite. Je ne vois pas Casanova « trahi » de la s
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15 000 dollars. Il laisse même entendre qu’il est
prêt à
augmenter ses prétentions jusqu’à ce que les amis de Retinger ne puis
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dées de Retinger, le général Sikorski se trouvait
prêt à
intervenir quand la guerre hitléro-soviétique éclata. Dès le 23 juin,
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sentait beaucoup moins fatigué que d’habitude et
prêt à
reprendre la rédaction de ses Mémoires. Mais quand ma femme, à propos
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imagine Don Juan toujours dressé sur ses ergots,
prêt à
bondir quand par hasard il vient de suspendre sa course. Au contraire
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appelle son père, au moment où elle sent Don Juan
prêt à
s’enfuir, un peu trop vite. Je ne vois pas Casanova « trahi » de la s
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enfin le joug en deux. Mon fils tombe ; son père,
prêt à
le plaindre, Darios, paraît à ses côtés ; mais, dès qu’il le voit, Xe
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milieu de tant d’orages le flambeau des sciences
prêt à
s’éteindre ? Quoi ! cette religion qui s’était établie à Rome, qui s’
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torité les surveille, s’alarme, et brise le germe
prêt à
éclore. L’attachement aux coutumes locales tient à tous les sentiment
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e de l’Histoire. Et malheur à celui qui n’est pas
prêt à
tirer son bien de ce mal ! Malheur à celui qui exigerait de réussir p
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c les staliniens : « Je suis un libéral, toujours
prêt à
discuter avec n’importe qui, je peux discuter avec mon plus grand adv
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vance vers la substance de la chose, quand on est
prêt à
la toucher, on s’aperçoit que la Lune est une malheureuse, vilaine ch
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r serait celle qui apporterait, un ordre nouveau,
prêt à
prendre la relève du désordre ancien, ce que j’appelle le « désordre
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vous voulez, le livre est toujours disponible et
prêt à
correspondre à votre humeur, à votre curiosité, à votre faim du momen
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ser à quelqu’un que l’on sentait si naturellement
prêt à
s’oublier lui-même ? C’est sans nul doute à la très amicale et délica
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ple heureux que vous décrivez, ne semble pas très
prêt à
assumer les responsabilités nouvelles qu’implique la formation de l’E
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ir serait celle qui apporterait un ordre nouveau,
prêt à
prendre la relève du désordre ancien, ce que j’appelle le « désordre
103
e du Mouvement européen, j’ai dit « Bon ; je suis
prêt à
donner à la cause deux ans de ma vie » — et me voilà : cela fait 22 a
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’homme politique opportuniste et joueur, toujours
prêt à
saisir ou à brusquer l’occasion, relève du type donjuanesque. À l’aut
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vie, c’est l’ensemble des valeurs. À quoi est-on
prêt à
sacrifier beaucoup de choses ? Il y a beaucoup de variétés et c’est t
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il faut des choix. Il faut savoir ce que l’on est
prêt à
sacrifier et quelles sont les priorités. Veut-on d’abord et à tout pr
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il faut des choix. Il faut savoir ce que l’on est
prêt à
sacrifier et quelles sont les priorités. Veut-on d’abord et à tout pr
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iens qui équiperont le Laboratoire lorsqu’il sera
prêt à
fonctionner. 11. La Commission a entendu une jeune mathématicienne fr
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mais celle d’un scientifique cherchant le vrai et
prêt à
en débattre. Je me tournai vers les auteurs de l’autre bord, ceux qui
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lui qui représente « les masses ». Voilà l’État «
prêt à
porter », dans sa réalité plate et vulgaire, la seule dont nous ayons
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tout uniformisant dans ses frontières et toujours
prêt à
se refermer comme l’escargot à la moindre suggestion — à ce double ti