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e des modalités typiquement suisses de la mise en
pratique
de l’idée fédérale. On a tort s’il s’agit de l’idée elle-même. Une ex
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ques est déjà mieux qu’imaginable. Sa réalisation
pratique
et généralisée, pour toutes les classes et tous les peuples est cepen
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imbécile de l’État, et c’est enfin le dogme et la
pratique
des souverainetés nationales absolues. Et c’est pourquoi nous demando
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x forces culturelles de toute l’Europe les moyens
pratiques
de « s’engager » dans l’œuvre du mouvement fédéraliste ; d’autre part
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ui pourront assurer cette existence ; des mesures
pratiques
et institutionnelles propres à garantir et développer l’exercice de l
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ntre partout aujourd’hui — et voilà nos problèmes
pratiques
. Et il n’est pas indifférent — (ou c’est un mauvais écrivain) — au de
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vir d’exposé des motifs à la série de résolutions
pratiques
qui seront proposées et mises au point par les commissions du congrès
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rien de moins, voilà la solution, voilà le remède
pratique
à presque tous les maux que vous allez recenser. II. Les instituti
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us près la question. Il a conduit aux conclusions
pratiques
dont l’exposé détaillé se trouve dans le rapport relatif au Centre cu
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objet ne sera pas non plus de dénoncer ce qui se
pratique
ailleurs, car nous ne pouvons réformer que nous-mêmes. Nous n’accepto
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incipes moraux ne sauraient être négligés dans la
pratique
sans que l’Europe perde ses droits à l’existence et à l’autonomie. Si
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n’est pas seulement praticable en principe, mais
pratique
. On ne manquera pas de m’objecter que les Suisses sont les premiers à