1
n philosophique, est une attitude devant la « vie
pratique
» — comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une attitude qui se
2
ansformation. Ici se posent deux grands problèmes
pratiques
: est-il possible et nécessaire, partant de cette vocation, d’aboutir
3
imental est peut-être le même, les revendications
pratiques
seront peut-être aussi les mêmes, dans bien des cas. Mais les motifs
4
compatible avec l’idée de vocation. Et la réalité
pratique
et quotidienne montre que cette opposition est effective. L’homme des
5
cation ne suffisait pas, que c’était vague et peu
pratique
! Toute l’histoire du monde chrétien est faite par des vocations préc
6
de l’homme qui n’ont aucun rapport avec la morale
pratique
du monde économique et financier. Tout le monde sait que la morale de
7
int pas les racines du mal. Oui, la tâche la plus
pratique
, la plus sociale qui s’offre à nous, c’est bien une tâche spirituelle
8
r que certains… compromis, par exemple, sont plus
pratiques
, lorsqu’il s’agit de politique, — et qu’on n’arrive à rien quand on v
9
u la crise actuelle viendront dire : ça n’est pas
pratique
. Mais ce n’est pas d’eux, n’est-ce pas, qu’il faut attendre beaucoup
10
désordre. Nous savons ce que vaut l’aune de ce «
pratique
» qu’on nous propose. L’heure est venue d’essayer autre chose, d’essa
11
être nos motifs de choix, et le lieu d’une action
pratique
. Il se peut que je me trompe. Il se peut que certains reçoivent l’ord
12
ce de parenté et de commune mesure entre idéal et
pratique
, entre les diverses disciplines de l’esprit, entre les diverses activ