1 e ceux qui vivent dans l’ignorance des nécessités pratiques de notre ère. Situation aussi néfaste pour les penseurs que pour les

2 s. Il y a un sentiment très juste dans le goût du pratique , des « solutions pratiques » qu’affirme, depuis la guerre, un autre g

3 s juste dans le goût du pratique, des « solutions pratiques  » qu’affirme, depuis la guerre, un autre groupe de clercs, fort désir

4 e. On est frappé cependant de voir que ce goût du pratique n’aboutit, pratiquement, qu’à une espèce de négation de la pensée. Le

5 ation de la pensée. Le peuple veut des programmes pratiques , mais se contente, en fait, du verbalisme électoral. Les intellectuel

6 nos angoisses ; il est certain que cela n’est pas pratique , ne sert à rien et détourne d’agir au moins autant que de penser. Ent

7 s’appelle dictature, réside dans notre culte du «  pratique  », dans la confiance naïve que nous donnons aux techniciens. Je disti

8 ion de l’homme. Il ne connaît, dans ses calculs «  pratiques  », ni la misère réelle ni la grandeur de l’homme. Il porte rarement l

9 légèreté » devient la condition de son « succès » pratique . J’estime que seuls ont droit à faire de la politique ceux pour qui n

10 ologie, toutes nos révoltes, toute notre attitude pratique s’expliquent d’une manière suffisante par notre appartenance à une cl

11 à partir de l’ensemble, ses droits dépendent, en pratique , du bon plaisir de l’État. Tout au contraire, des lois fondées sur la

12 réalisation. La politique est un art de synthèses pratiques  ; son office est de résoudre dans la mesure de l’utile des difficulté

13 n philosophique, est une attitude devant la « vie pratique  » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une attitude qui se

14 lles nous permettent aussi de donner sa réelle et pratique importance, dans l’ordre des sanctions immédiates, à une opposition d

15 s. La crise a des raisons que votre gros bon sens pratique ne connaît pas, et que le peuple ignore davantage s’il se peut. Le mo

16 ifications » aux congrès radicaux : voilà qui est pratique , c’est-à-dire électoral. « Vous critiquez, c’est bien facile et jeune

17 e… — Dans la lutte électorale ? — Dans la réalité pratique  ! — Dans la réalité électorale ? — Ah ! Vous n’êtes que des intellect

18 litique, et nous, nous voulons des discours, du «  pratique  », c’est-à-dire quelque chose d’électoral. Être « objectif » Da

19 vre. Nous parlons humainement des choses les plus pratiques … Mais eux, ils veulent de la mystique, des discours et des revendicat

20 t qu’ils nous traitent d’utopistes et de gens peu pratiques . Ils répètent au hasard les vocables que l’école primaire leur a mis

21 e courante. Il y a des gens qui estiment que la «  pratique  » étant très infidèle aux théories, on aurait pu tout aussi bien se p

22 an-archique), n’a pas tardé à poser des problèmes pratiques tout à fait étrangers à la révolution. Et ces problèmes « autonomes »

23 de dégradation, dans la mesure même où son effort pratique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le machinisme crée du chôma

24 Il n’y aura jamais de liberté possible, efficace, pratique , que dans un monde où le spirituel détiendra la primauté. ⁂ Voyons ma

25 irer, dans nos prochains numéros, les conclusions pratiques et les significations révolutionnaires. Je ne voudrais insister maint

26 entale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pratique la miséricorde ; ce n’est pas le simple voisin.

27 avorable) du programme du parti, des possibilités pratiques , et des risques personnels que courent les députés auprès des électeu

28 les organes indispensables de toute « réalisation pratique  ». Entre la doctrine et l’action, nous n’admettons aucune « période d

29 s à la chiffrer, à la traduire en une institution pratique , ont prouvé la justesse, découvert la fécondité surprenante de cette

30 lune, ne peut servir qu’à masquer sur le terrain pratique l’échec d’une révolution qui ne sait pas où elle va. » Cartésienne ou