1 e ce qu’on avait à dire. Devant cette impuissance pratique à inscrire leurs pensées dans des actes, beaucoup d’intellectuels s’i

2 de 1848 fut proposée, écrite, adoptée et mise en pratique . En 1846, elle était encore une utopie. Trois ans plus tard, elle fon

3 si l’on ne s’attache qu’aux détails de la mise en pratique du fédéralisme en Suisse, mais non pas si l’on cherche à dégager de c

4 vie même ; elle était la vie du civisme et de la pratique politique des Suisses. C’est le défi que représente l’esprit totalita

5 les force à faire aujourd’hui la théorie de cette pratique , et qui la transforme en une sorte de programme, ou de manifeste viva

6 ence ; la coutume attaquée devient programme ; la pratique remise en question par une propagande agressive se voit contrainte de

7 u compte, mais c’est électoral et cela passe pour pratique . (Personne ne sait pourquoi, et bien peu se le demandent. Le jeu élec

8 xposés raisonnables, documentés et pleins d’idées pratiques sur les moyens de créer la paix, c’est une parlote. Enfin un plan d’

9 s, séparant des points immobiles, quand la mesure pratique est l’heure de vol. Il médite sur la carte des frontières, dont les r

10 ses tenants s’inquiètent de voir les conclusions pratiques qu’ils en déduisent adoptées par des hommes politiques qui pensent en

11 oints de vue sont défendables à l’infini. Même en pratique , ils ne sont pas nécessairement contradictoires. Mais dans le cas pré

12 et des prises de position, favorable aux ententes pratiques . Mais il n’est pas certain que cette méthode reste valable au plan eu

13 urope une conception définitive et uniforme de la pratique démocratique. Toutefois, ici encore, une unité foncière transparaît d

14 e, ce droit nous apparaît comme la seule garantie pratique des libertés d’association, de réunion, d’expression et de propagande