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facile de dire qu’elles n’ont guère été mises en
pratique
, qu’elles décrivent une Europe idéale, qu’on refuse de reconnaître, q
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les antagonismes se composent en une conciliation
pratique
, gagée par une institution, ou assurée par une méthode qui ne supprim
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evons surtout le pacifisme intransigeant, le sens
pratique
et le souci de l’économie. Il propose lui aussi, comme Crucé, que l’o
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nt-Pierre, mais aucun n’entraîna la moindre suite
pratique
. Tournons la page du xviiie siècle cosmopolite — Montesquieu, Voltai
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déaux, on les retourne contre nous, et contre nos
pratiques
trop souvent immorales : c’est qu’ils valaient sans doute mieux que n
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voici le troisième grand fait : nos idéaux et nos
pratiques
ont été diffusés en désordre, sans aucun plan, sans nulle sagesse rég
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logique dans notre siècle, c’est l’attitude et la
pratique
fédéraliste : l’union dans la diversité, l’équilibre vivant des liber
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te que nos principes, compromis ou trahis par nos
pratiques
. L’ère colonialiste a pris fin, pour des raisons qu’ils ne pouvaient
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s-mêmes au sérieux et d’en tirer les conséquences
pratiques
, pour le tiers-monde et pour l’Europe qui doit l’aider. Nous n’avons