1 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
1 facile de dire qu’elles n’ont guère été mises en pratique , qu’elles décrivent une Europe idéale, qu’on refuse de reconnaître, q
2 les antagonismes se composent en une conciliation pratique , gagée par une institution, ou assurée par une méthode qui ne supprim
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
3 evons surtout le pacifisme intransigeant, le sens pratique et le souci de l’économie. Il propose lui aussi, comme Crucé, que l’o
4 nt-Pierre, mais aucun n’entraîna la moindre suite pratique . Tournons la page du xviiie siècle cosmopolite — Montesquieu, Voltai
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
5 déaux, on les retourne contre nous, et contre nos pratiques trop souvent immorales : c’est qu’ils valaient sans doute mieux que n
6 voici le troisième grand fait : nos idéaux et nos pratiques ont été diffusés en désordre, sans aucun plan, sans nulle sagesse rég
7 logique dans notre siècle, c’est l’attitude et la pratique fédéraliste : l’union dans la diversité, l’équilibre vivant des liber
4 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
8 te que nos principes, compromis ou trahis par nos pratiques . L’ère colonialiste a pris fin, pour des raisons qu’ils ne pouvaient
9 s-mêmes au sérieux et d’en tirer les conséquences pratiques , pour le tiers-monde et pour l’Europe qui doit l’aider. Nous n’avons