1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 t pas le contraire. L’éducation du citoyen qui se pratique dans les écoles de nos pays est, aux dires de ses responsables17 géné
2 t se voit assigner par l’État un poste de travail pratique , et ce stage dure au moins trois ans. Après quoi, quelques-uns des me
3 discussions. Nous sommes ici aux antipodes de la pratique américaine. À l’excès de liberté dans le choix s’oppose l’absence tot
4 t notre idéal, nous souffrons nous aussi, dans la pratique , des excès alternés de la tendance « russe » et de la tendance « amér
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
5 entendus que j’ai dits, et par suite l’importance pratique de tout effort de clarification des concepts de fédération et de fédé
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
6 me une référence au bon sens. 36. Une solution pratique Renoncer à la souveraineté nationale paraît tellement inconcevable
7 historique probante, je leur propose une solution pratique . Parmi les fédérations réussies, on peut citer la Suisse, sans soulev
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
8 ant insoluble en théorie autant qu’il le reste en pratique dans l’état actuel de ses données29, il va falloir ou bien renoncer à
9 ieu de l’être dans une capitale. Les possibilités pratiques de participation du citoyen à la vie d’une région de ce type ne serai