1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 ions antithétiques, ces contraintes théoriques et pratiques , ces libertés très obscurément pressenties dans leur fascinante nouve
2 maîtrise des sens, i. e. l’arrêt séminal »72. Des pratiques similaires sont prescrites par le taoïsme, mais en vue de prolonger l
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
3 mps volontaire et active comme le kantien « amour pratique  ». C’est par ce trait, tout particulièrement, que Eckhart se distingu
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
4 al de nos poètes du primitivisme solaire, mais la pratique de cette croyance n’est pas de nature à nous tromper un seul instant 
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
5 atique dans les hautes sphères, et vénale dans la pratique , il en allait de même de l’amour. Semblables aux hétaïres de la Grèce
6 même temps à un principe moral et à une nécessité pratique  ». Il s’agissait d’éviter des dépenses excessives — les hommes coûtan
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
7 e fort qu’il en résulte aucune espèce de solution pratique  : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience, pourrait fournir à
8 une « science » ou d’une hygiène sociologique. La pratique forcée de l’eugénisme peut réussir, là où toutes nos morales échouent
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
9  : le problème qui nous est posé par la nécessité pratique du mariage apparaît d’autant plus insoluble que l’on tient davantage
7 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
10 aces qui subsistent, dans leur texte, d’anciennes pratiques de magie montrent bien que l’usage de ces dernières est oublié, à l’é
8 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
11 trer en symbiose dans maints domaines de conduite pratique — ce qui s’est produit en effet. 2° L’asag apparaît lié dès l’origine