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ce que produit la recherche de la vérité. Dès son
premier
livre, il s’est montré tout entier, il a bravement affirmé son unité.
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adoxal que M. de Montherlant est justement un des
premiers
Français qui ait compris que le but du sport n’est pas la performance
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choyé. « Maintenant, m’écriai-je — c’était un des
premiers
jours du printemps —, l’heure est venue de la violence. Jeunes tempêt
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mais une secrète espérance m’emporte de nouveau,
premier
gage du divin… Reprendre l’offensive — au soir, je m’amuserai à mettr
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n roman, parce que ça se vend mieux. Ce récit des
premiers
combats de taureaux du jeune Montherlant est en réalité un nouveau to
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n a souvent parlé d’excès de lyrisme à propos des
premiers
ouvrages de Montherlant. Cette fois-ci, on le traite de naturaliste.
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ts garantis qui posent un critique d’art diplômé.
Premier
péché contre l’histoire : au seuil d’un article consacré aux jeunes a
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Hollande, sa seconde patrie si la peinture est sa
première
et Neuchâtel la troisième… Il y a par Eugène Bouvier quelque chose de
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ns l’œuvre de Bouvier. Sa technique qui paraît au
premier
abord masquer ses intentions, en réalité les exprime par ses défauts
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n dans mes relations avec le monde. En quoi cette
première
question est assez indiscrète. II Il y aurait beaucoup à dire sur l’