1 à dans leur état naissant. Qu’elles soient causes premières ou effets ; qu’elles résument une série de facteurs antécédents, ou q

2 i son climat ? Ou de cette heure où fut écrite sa première page, posée sa première touche, noté son premier accord ? Ou plutôt d

3 te heure où fut écrite sa première page, posée sa première touche, noté son premier accord ? Ou plutôt de l’instant d’une intuit

4 première page, posée sa première touche, noté son premier accord ? Ou plutôt de l’instant d’une intuition précise, plusieurs an

5 États. Mais sur les autres plans, qui ne voit du premier coup que les réalités décisives ont cessé d’être nationales au xxe s

6 l, optimiste de style baroque et fonctionnaire du premier rang ; mais sa phrase est plus subversive que tout ce qui passe pour

7 dance générale au réveil des valeurs de liberté. Première illusion fataliste : « L’URSS est l’avenir… » — L’URSS était le parad

8 Que pensaient et pressentaient ces deux génies de premier ordre, à la veille même du déchaînement dont ils avaient choisi d’exa

9 qui accrédite l’illusion générale de l’existence première de « cultures nationales » et de « l’éternité » de nos États-nations

10 des terres du globe (et très pauvres en matières premières ) ; 2° que la culture, en Europe, perdra sa vitalité si les États et l

11 urd’hui non seulement le Musée du Monde, mais son premier laboratoire. « Tout est venu à l’Europe et tout en est venu. Ou presq

12 nouveau, lequel serait un jour, la Suisse. Cette première alliance locale d’hommes libres des campagnes, directement inspirée d

13 nde forteresse des Alpes était un désert livré au premier occupant ». Il décrivait la paralysie qui frappe une Diète formée de

14 Le 16 novembre, elles procédèrent à l’élection du premier Conseil fédéral, inaugurant un régime qui ne devait plus être remis e

15 une nécessité concrète, à la négation même de ses premiers principes : à l’« égoïsme national », au nationalisme agressif. Danto

16 nsporter en tout pays leur ennui. Les voyages des premiers s’effectuent pour le plus grand bien de l’humanité et de l’État ; loi

17 ent sans doute des Grecs, eux-mêmes héritiers des premiers principes de la mathématique et de l’astronomie élaborées par les civ

18 er les Français et les Allemands de se battre. Ce premier but est parfaitement atteint. L’union de l’Europe a maintenant d’autr

19 êmes et devant la société. Peu de mois après leur première conférence à Berlin, il y a dix ans, ils décidèrent de se grouper afi

20 très vite à la constatation suivante, qui sera ma première thèse : Vue du dehors, l’Europe est évidente. Vue de l’Asie, de l’Af

21 ent sans doute des Grecs, eux-mêmes héritiers des premiers principes de la mathématique et de l’astronomie élaborées par les civ

22 er les Français et les Allemands de se battre. Ce premier but est parfaitement atteint. L’union de l’Europe a maintenant d’autr

23 confiance en soi et en l’avenir qui est l’une des premières conditions de la vitalité d’une culture. Le Club européen se réunit

24 ptée par le Conseil des gouverneurs, durant cette première période, se basait sur l’idée saine en soi que les fonds viennent à q

25 fusée de l’espace, se séparant au moment voulu du premier moteur. La Fondation décida également d’organiser chaque année un gra

26 ent sans doute des Grecs, eux-mêmes héritiers des premiers principes de la mathématique et de l’astronomie élaborés par les civi

27 , et je vais en donner trois raisons principales. Première raison : la civilisation européenne est la seule qui soit effectiveme

28 e deviendra le sérieux de la vie. Je résume cette première partie de mon propos : la culture de l’Europe a produit la technique 

29 roduit les Spoutniks. Je crains pour elle que ses premiers succès ne l’aveuglent et que sa politique éducative ne soit à courte

30 I. Qui d’entre vous ne se souvient de cette première phrase du Tristan rendu naguère au grand public européen par les soin

31 ule expression, moins pédante qu’elle ne paraît à première vue : avec la légende de Tristan, c’est l’étymologie de nos passions

32 ents qui s’accordèrent un jour, dans l’instant du premier regard, mais que le temps modifie fatalement, créant un risque perman

33 ns amour. Aux yeux du mythe, il est perdant. À ce premier aspect de notre légende : l’amour-passion triomphant du mariage, c’es

34 dégradation du mythe, grandiose en sa simplicité première , jusqu’au niveau des confusions morales les plus banales et complaisa

35 ps ce modèle de l’amour-passion, dans sa grandeur première et drue, les philologues nous ont mis au défi d’apporter un peu plus

36 nt a parlé le Times au lendemain de sa mort. Reçu premier sur cent à l’agrégation d’allemand, traducteur incomparable de Keyser

37 luations) lui permettaient de donner le change au premier venu. Il protégeait en lui le grand poète qu’il se sentait devenir da

38 ite que notre aurea mediocritas saute aux yeux du premier venu, tandis que la grandeur de la Suisse reste un mystère, même aux

39 arité, cette courte vue matérialiste se révèle au premier examen non seulement fausse en soi mais particulièrement dangereuse p

40 ée que l’Inde et beaucoup plus pauvre en matières premières , l’Europe avait moins de chances matérielles que l’Inde de sortir de

41 de nos peuples, respectant leurs diversités. Aux premiers vous direz : votre Europe technicienne marcherait sans nul doute, ell

42 iste et colonialiste — seconde moitié du xixe et première moitié du xxe siècle — en s’appuyant sur la diversité de nos langues

43 troupe. C’était au mois de mars 1940. L’un de mes premiers projets de plan révèle l’idée qui me hantait à cette époque : il décr

44 Gazette . Mon article — je n’y pensais plus — en première page, à côté d’un appel à se taire lancé par le gouvernement vaudois 

45 La Ligue du Gothard : premier mouvement de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)ac

46 s pour les réfugiés. ac. « La Ligue du Gothard : premier mouvement de résistance : Journal d’un témoin II », Tribune de Genève

47 iser les volontés de résistance, voyait ainsi son premier objectif atteint. Elle s’orientait vers un programme plus vaste d’ent

48 politique. Elle avait au départ formé le noyau du premier mouvement de résistance, au sens que ce mot devait prendre un peu plu

49 , si mes souvenirs le sont aussi. Ses buts et ses premières activités sont correctement définis, sauf sur un point, qui est d’imp

50 lication, ou par leur manière d’être différents : première formule de l’unité paradoxale qui permettra de définir l’Europe, Unit

51 es idées et des morales. L’Europe, initiatrice et première bénéficiaire ou victime de la civilisation technique, désormais unive

52 et collabora à la Nouvelle Revue française . Son premier livre, Politique de la personne (1934) lança le mot d’ordre d’engag

53 nt a parlé le Times au lendemain de sa mort. Reçu premier sur cent à l’agrégation d’allemand, traducteur incomparable de Keyser

54 » ou sociale de l’esprit, que j’ai tenté dans mes premiers ouvrages de décrire par le terme d’engagement, — dont il semble qu’on

55 , de mars à août, les cinq-cent-vingt pages de sa première Institution, puis en français l’épître liminaire au roi de France. Il

56 ion la nécessité me fut imposée de retourner à ma première charge… ce que je fis avec tristesse, larmes, grande sollicitude et d

57 gênant, peut-être même plus utile outre-mer. Mes premières rencontres avec Victoria dataient tout juste de deux ans auparavant.