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et peu importent les moyens.) On voit donc mal, à
première
vue, comment une ère technique conduirait aux religions. L’ascèse éta
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urquoi la connaissance des dogmes et des opinions
premières
de nos religions sera demain la première condition des hérésies et gn
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es hindous, au terme d’un voyage dont l’impulsion
première
avait pris pour tremplin la très ferme croyance en la réalité de la m
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on prochain comme toi-même ». Religion qui met au
premier
rang de toutes les vertus, l’Amour : « Maintenant ces trois choses de
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par sa soudaineté et son ampleur. Il est daté du
premier
tiers du xxe siècle, et même si on lui trouvait des parallèles en d’
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fusion » permettant de toucher les peuples. Cette
première
grande révolution de l’Amour, si soudaine dans son explosion, fut len
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elle correspond, quel que soit l’âge, à l’état de
première
adolescence, quand l’amour « point le cœur », oppresse le souffle, br
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il faut voir l’Europe comme il l’a vue d’avance :
première
étape d’une organisation mondiale dont elle serait à la fois le centr
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lle, née des promesses du Marché commun et de ses
premiers
succès, permet de multiplier les ententes industrielles, sans plus te
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st, mais bien plus riche en hommes et en matières
premières
, n’offre guère aux yeux de l’historien qu’une décadence millénaire, d
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Orient. Après la disparition presque totale « des
premiers
habitants du bois et du rocher » (comme dit Vigny) dont ne nous reste
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d’un cœur humain, quoique fort inégales de durée.
Premier
mouvement : concentration des valeurs religieuses et culturelles du P
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plication ou par leur manière d’être différents :
première
formule de l’unité paradoxale qui permettra de définir l’Europe. Une
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e vue de l’hygiène autant que de la morale. Cette
première
explosion de la technique a fait beaucoup plus de mal à notre espèce
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nant mettre en valeur la nature et les relations.
Premier
fait : c’est au cours des quinze années pendant lesquelles nos États
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nt les mêmes dates, exactement, que celles de nos
premières
étapes vers l’union 1945 à 1962, et tout porte à prévoir que les deux
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Décolonisation, union, prospérité simultanées. Ce
premier
fait, définissant les rapports de l’Europe avec le monde actuel, je m
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ntière, mais surtout parce qu’elle lui a donné sa
première
civilisation effectivement universelle. Cette civilisation, nous le s
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de toute signification : production de savants de
premier
ordre, calculée en prix Nobel pour les sciences de 1901 — date la cré
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era désormais, dans l’ère technique, l’obligation
première
d’une civilisation. Un regard sur le globe nous fait voir, au contrai