1 sponsable de ces carnages ». Naguère il était des premiers  ; il s’affirme aujourd’hui des seconds. C’est pour avoir contemplé Ve

2 u-dedans de moi. Qu’est-ce que c’est donc ? » Ses premiers dessins sont de gauches copies de Millet. Mais son manque de talent n

3 autre sujet du roman, qui se mêle étroitement au premier … Mais combien cette analyse trahit Barbey : son art est justement de

4 Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)an Ces trois nouvelles n’ont guère de commun ent

5 t Denis de, « [Compte rendu] Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours  », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, août

6 ente dans la production actuelle. On retrouve aux premiers chapitres de Catherine-Paris cette magie des sensations et des rêves

7 hose. C’est pourquoi j’ai lu ce livre, malgré son premier chapitre, variation sur un mot bien français et ses applications faci

8 primer en un tel drame, et voici André Malraux au premier rang des romanciers contemporains. au. Rougemont Denis de, « [Comp

9 s encore apparaître sous cet aspect dans ces deux premiers tomes, où il décrit des scènes de son enfance et de sa jeunesse comme

10 ut que vous les trouviez médiocrement riantes, au premier coup d’œil, assez dénuées de ces effets faciles qu’on aime à ménager

11 ut-être faut-il venir du Japon pour accueillir du premier regard, dans un matin plein de mouettes — « Un beau bruit d’ailes me

12 mis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentati

13 ien d’ailleurs ; tout à ma chance hongroise en ce premier réveil — délivré. Chez moi je suis la proie de l’angoisse du courrier

14 l. Que Charles Du Bos mérite aujourd’hui l’un des premiers rangs dans la critique européenne, l’ampleur du champ qui lui est nat