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s principales, Esprit et L’Ordre nouveau . Mon
premier
livre publié à Paris, Politique de la personne 1, s’ouvre par un ch
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contraire, dans sa démarche intime, dans son élan
premier
, dans sa prise sur le réel et dans sa volonté de la transformer, donc
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t voilà qui évoque une fois de plus l’exemple des
premiers
Confédérés, et de leur Suisse d’avant le secret des banques. C’est ce
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n Monnet, inspirateur de l’Europe économique, son
premier
objectif pleinement atteint. Faut-il en conclure que « L’Europe n’int
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que ce souci se soit manifesté d’abord en Europe,
première
partie du monde à s’être développée industriellement, donc à avoir su
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st un souci de riches ! » Non. C’est le souci des
premiers
atteints par le mal industriel, qu’ils ont d’ailleurs inventé. C’est
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d’exil américain, de fin 1940 à 1946. Mais à mon
premier
retour en Europe, en 1946, ce que je découvre, c’est que le problème
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t de totalité, c’est-à-dire d’universitas au sens
premier
. Séparées les unes des autres, les Facultés ne sont plus que des écol
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uteur. « L’esprit européen », ce fut le titre des
premières
Rencontres internationales de Genève, en 1946, où l’on put voir Berna
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nt des attachements locaux — patriotiques au sens
premier
— des réalités régionales et des libertés provinciales, sous le préte
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t de ses profondes analogies avec le jacobinisme,
premier
modèle bien français du fascisme, ou comme il dit : « d’un fascisme a
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eau : « Grandeur des nations, étendue des États :
première
et principale cause des malheurs du genre humain. » La grandeur est u
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endant la Révolution française, à la formation du
premier
État moderne, et de nos jours à l’État-nation, « libéral » ou totalit
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t se fédéraliser à l’intérieur. À l’occasion des
premières
« Élections européennes », en 1979, j’ajoutais à cette critique fonda
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ssurer l’approvisionnement nécessaire en matières
premières
et en combustibles producteurs d’énergie ; — ni, finalement, tirer pa
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is entre la cité-État et la communauté impériale,
première
approche d’une communauté continentale. Et il compare cette situation
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système alternatif. On voudrait esquisser ici, en
première
approximation, deux séries de valeurs ou « vertus », caractéristiques
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u’on ne l’a fait vraiment. Sur le Forum culturel,
premier
thème, je vous avouerai que j’ai tout appris ici. Je n’en savais rien
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sme — la Loi et l’Évangile. Déjà, entre ces trois
premières
sources, que de « diversités », de valeurs antinomiques, d’où tension
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aussi. Donc, la culture européenne peut-être, en
première
approximation, définie comme ce qui admet un nombre non limité et san
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de l’Europe a été conçu durant la préparation du
premier
Congrès de l’Europe, qui allait se tenir à La Haye du 8 au 12 mai 194
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aliser…) En fait, il ne va rien se passer à cette
première
session, que des échanges de congratulations et de conseils de pruden
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s. On trouverait dans les procès-verbaux de votre
première
session consultative (au second degré) de quoi faire un collier à tro
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par les États, en vue de nommer leurs députés au
premier
Parlement de l’Europe. Les partis présenteront leurs candidats. Et le
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art. 38 du traité instituant la CED… Elle tint sa
première
session cinq jours plus tard et nomma une commission constitutionnell
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, religieux, philosophiques et politiques au sens
premier
du terme, de l’unité fondamentale des Européens. Ces Sept Sages étaie
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saire — et je dis halte ! Si la culture n’est pas
première
, n’est pas directrice et rectrice, elle n’est rien qui mérite qu’on s
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ocument… On nous apprend ensuite que le fondement
premier
de ces cultures est une tradition d’« humanisme laïque » (d’où l’adje
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etc.101 Le programme de travail établi par cette
première
Conférence, très activement poussé par le secrétariat au CE, vit ses
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de l’Europe, sans contredit, s’est placé au tout
premier
rang des constructeurs d’une Europe fédérale. Conclusion : une urg
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terventions rapportées par Le Monde m’ont paru de
premier
ordre. Il me dit : « Monsieur, vous êtes l’homme qui nous oblige tous
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anne sans plus penser à mon article. Il était en
première
page, et le titre en était : « À cette heure où Paris exsangue voile
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et allez ouste, départ avec toute ma famille (ma
première
femme et deux enfants qui avaient 5 ans et 5 mois). Cela a été toute
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’Amérique. Sans que je m’en doute, cela a été mon
premier
acte d’engagement européen. J’avais conçu une théorie de l’engagement
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cident ? Eh bien, c’était dans les deux ou trois
premières
années de mon premier mariage. Je sortais d’une jeunesse que l’on aur
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it dans les deux ou trois premières années de mon
premier
mariage. Je sortais d’une jeunesse que l’on aurait qualifiée, en mili
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r des États-Unis, Denis de Rougemont participe au
premier
Congrès de l’Europe à La Haye en 1948, présidé par Winston Churchill.
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at de sa vision d’une Europe nouvelle. Une de nos
premières
activités issues du congrès de La Haye fut de mettre ensemble des sav
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ec le Centre européen de la culture. Ce fut notre
première
création. Puis, sous l’égide de l’Unesco, le CERN a passé aux gouvern
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os mains : mais nous en avions fait la conception
première
. Ensuite nous avons créé de nombreuses associations, très différentes
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re que je suis optimiste. J’ai intitulé un de mes
premiers
articles politiques : « Principes d’une politique du pessimisme actif
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nes et la société. C’est nous qui devons faire ce
premier
choix : voulons-nous à tout prix la puissance sur les autres, la puis