1 er s’il est possible d’échapper au fatal dilemme. Premiers pas vers la solution : l’existence du dilemme. Second pas : en poser

2 ’en attendre aujourd’hui d’un jeune écrivain. Son premier roman, Les Conquérants, décrivait la révolution communiste en Chine,

3 par Rembrandt, et qui permet de les identifier au premier coup d’œil, ce « commun dénominateur » d’expression et de masques si

4 ues, artistes ou écrivains, s’est muée le soir du premier vernissage en une sympathie sincère et souvent fort admirative. Le ti

5 ans ces indignations sentimentales la réponse aux premiers troubles que la grâce jette dans son âme. D’autre part, tous les cath

6 t d’attention soutenue que plusieurs chapitres du premier tome risqueraient de lasser, par une multiplicité de notations toucha

7 i répugne encore ? Il s’en rend compte lors de sa première visite aux bas-fonds : Eiichi était partagé entre deux désirs. L’un

8 e à lire tout l’Évangile selon saint Matthieu, du premier chapitre au dernier, priant continuellement pour obtenir la grâce de

9 mots : Kierkegaard, — et c’est Gide qui, l’un des premiers , l’a prononcé en France. Kierkegaard, un homme qui ne vous lâche plus

10 à celui des athées, — au lieu qu’il eût fallu du premier coup le dénoncer, comme radicalement contraire à notre foi originale.

11 , qui n’ont eu de pensée raisonnable qu’avec leur première sensation religieuse, et croient qu’on ne peut aller plus loin parce

12 ste du genre. Son succès en Allemagne remonte aux premières années de l’après-guerre, illustrées par les livres monumentaux de Sp

13 ent, maintenant, cela se voit. Depuis la chute du premier homme, depuis le déluge, le monde se débat dans une crise millénaire

14 voilà peut-être les divinités maîtresses de cette première moitié du siècle. Qu’il s’agisse bien là de dieux, c’est ce que nous

15 7. Converti au catholicisme après avoir écrit ses premières œuvres, et devenu l’un des chefs du parti catholique parmi les intell

16 qu’il était le meilleur écrivain de son pays. Sa première œuvre eut un immense succès ; mais à mesure qu’il se fit mieux compre

17 isme officiel et les évêques qui avaient loué ses premières œuvres, il se vit abandonné dans la plus complète solitude qu’ait jam

18 oi sur les vérités qui font vivre, cette solitude première devant Dieu, est-ce bien cela que revendiquent les défenseurs du prim

19 somptueuse paraît le Très Vénérable et Très Noble Premier Prédicateur Général de la Cour, le favori élu par la bonne société ;

20 ndus seraient ici possibles ; que l’on écarte, au premier pas, trois mots qui faussent tout : anarchie, romantisme, individu. I

21 e quoi tu agiras, si tu agis. Un « moi pur », son premier devoir, c’est de persévérer dans son être agissant : en cette extrémi

22 e qu’il faut penser d’une allégation qui paraît à première vue aussi exorbitante : je n’ai lu que de courts fragments des posthu

23 ieu, en la liberté et en l’immortalité, comme ses premières dents ; ce n’est qu’ensuite que vous pousse la véritable dentition.

24 (bien plutôt que « désarmé », comme il le dit aux premières pages) par les procédés de l’humaniste et du sceptique que se vantait

25 diverses Églises, mais au contraire, elle a pour premier effet de les renforcer en les rendant plus conscientes de leurs valeu

26 rôle social). C’est ce même terme qui servira aux premiers philosophes chrétiens à désigner la réalité de l’homme dans un monde

27 usieurs hommes politiques, dont quatre ou cinq du premier rang, en Amérique du Nord comme en Europe de l’Ouest, se voient amené

28 petites communautés à la fédération du continent, première base d’un ordre mondial. Déjà, lors d’élections locales ou nationales

29 ? — Des milliers de mouvements sont à l’œuvre. Au premier rang, ceux des écologistes. On leur dispute ce nom, ils assurent la f