1 reste de votre séjour ne fera que confirmer cette première impression. Vienne : assis sur les banquettes rembourrées de profonde

2 ivain moderne, telle que je la décrivais dans mon premier article, a notablement empiré du fait de la crise générale. Et cela p

3 i peu ? Pourquoi, en temps de crise, a-t-on comme premier réflexe d’économiser sur les livres, plutôt que sur toute autre distr

4 t le sommeil (bien plus semblable au second qu’au premier ) la lecture, aujourd’hui, n’est plus du tout ce qu’elle était au sièc

5 e donner, avec une maîtrise qui le met du coup au premier rang des historiens modernes de la culture. C’est en effet au romanti

6 une harmonie qui fait venir les larmes aux yeux. Premier bruit de pas dans la rue. Semelles de bois. Une femme de ménage sort

7 ncre. Votre Comité des ministres néglige donc son premier devoir. À qui la faute ? L’opinion, sur ce point, entretient des soup

8 s. On trouverait dans les procès-verbaux de votre première session consultative (au second degré) de quoi faire un collier à tro

9 attendus. Les socialistes continentaux seront des premiers , et les conservateurs britanniques des seconds. On devine que ces con

10 par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présenteront leurs candidats. Et le

11 agé au sens actif du mot que j’ai défini dans mon premier livre, publié à Paris en 1934, Politique de la personne et qui est

12 ne gravité extrême. Curieusement, d’ailleurs, mon premier article, qui fut publié dans une revue — j’avais alors un peu plus de