1 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
1 le de poser la question ? N’est-il pas évident, à première vue, que le chrétien ne peut plus rien, que personne ne l’écoute plus
2 la justice de Dieu ? Et qu’il trahit sa vocation première  ? Je pense que beaucoup d’entre vous ont, dès longtemps, résolu ces q
3 première question. Et si l’on répond non à cette première question, est-il possible alors, ou désirable, qu’un chrétien entre d
4 araît qu’aucun doute n’est permis. De Constantin, premier empereur chrétien commandant aux chrétiens de faire la guerre, à Char
5 davantage, et qu’aucun ne saurait m’apparaître, à première vue, plus conforme à notre espérance de justice. Vous dirai-je que c’
6 ssi les mêmes, dans bien des cas. Mais les motifs premiers , les buts derniers sont autres. Et ce sont ces motifs et ces buts qui
7 essoires du stupide xixe siècle. ⁂ Je résume ces premières conclusions : ni politique chrétienne, ni parti chrétien, ni parti po
8 é ne se borne pas là : prêcher, certes, c’est son premier devoir, mais ce devoir en appelle d’autres. Kagawa recueille dans sa
9 étudiants, c’est-à-dire des intellectuels. Notre premier devoir dans la cité n’est-il pas de travailler en tant qu’intellectue
10 conomique et culturel. Ici, la vérité est mise au premier rang : le succès même lui est subordonné. Je demande où est le parti
2 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
11 mal aux Églises que les persécutions romaines aux premiers temps leur avaient fait de bien. Partout, l’on vit au cours du xviiie
3 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
12 onvient aussi peu que celle de romain, surtout au premier . Que nous reste-t-il ? 2° On ne peut déduire de ce fait que le cathol