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le de poser la question ? N’est-il pas évident, à
première
vue, que le chrétien ne peut plus rien, que personne ne l’écoute plus
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la justice de Dieu ? Et qu’il trahit sa vocation
première
? Je pense que beaucoup d’entre vous ont, dès longtemps, résolu ces q
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première question. Et si l’on répond non à cette
première
question, est-il possible alors, ou désirable, qu’un chrétien entre d
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araît qu’aucun doute n’est permis. De Constantin,
premier
empereur chrétien commandant aux chrétiens de faire la guerre, à Char
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davantage, et qu’aucun ne saurait m’apparaître, à
première
vue, plus conforme à notre espérance de justice. Vous dirai-je que c’
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ssi les mêmes, dans bien des cas. Mais les motifs
premiers
, les buts derniers sont autres. Et ce sont ces motifs et ces buts qui
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essoires du stupide xixe siècle. ⁂ Je résume ces
premières
conclusions : ni politique chrétienne, ni parti chrétien, ni parti po
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é ne se borne pas là : prêcher, certes, c’est son
premier
devoir, mais ce devoir en appelle d’autres. Kagawa recueille dans sa
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étudiants, c’est-à-dire des intellectuels. Notre
premier
devoir dans la cité n’est-il pas de travailler en tant qu’intellectue
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conomique et culturel. Ici, la vérité est mise au
premier
rang : le succès même lui est subordonné. Je demande où est le parti