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de persona. C’est ce même terme qui va servir aux
premiers
philosophes chrétiens à désigner la réalité de l’homme dans un monde
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ite à l’Église dans les pays totalitaires ? Cette
première
question est capitale. Car la politique d’un régime est toujours étro
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rer à ce genre de simplifications brutales. Notre
premier
devoir me paraît, au contraire, de défendre l’intelligence contre un
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persuadent petit à petit qu’on pourrait jouir des
premières
sans se soucier trop des secondes. Sous prétexte de réalisme, et de d
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enti à l’occasion des sanctions contre l’Italie :
premier
avertissement que nous donnaient les faits d’avoir à repenser notre n
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tant voici Berne et le « grand Haller », après ce
premier
cosmopolite : Béat de Muralt. Puis Zurich et l’hégémonie passagère de
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t peut-être, de la sorte, d’égaler les maîtres de
première
grandeur. Nicolas Manuel fut peintre, architecte, soldat, dramaturge
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d’élite. Oui, Rambert nous le dit fort bien : ce
premier
de nos privilèges, une belle nature, doit être considéré par nous, av
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qué. Ils jugent suspect tout ce qui n’entre pas à
première
vue dans des catégories moyennes et bien connues, telles que bon ou m
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age le Gott mit uns de Guillaume II que le « Dieu
premier
servi » de Jeanne d’Arc. Bref, l’intérêt qu’ils portent à la religion
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ce exemplaire. Je ne puis parler ici que des deux
premiers
points. Du troisième, que dirais-je ? Il faut le vivre. ID’où vient
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nne l’impulsion décisive lors de la fondation des
premières
ligues, dans les Grisons et au Tessin, dès la fin du xiie siècle ; p
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ont le pacte de la Torre, au Tessin, fut l’un des
premiers
: 1182. 35. Voir sur ce point capital Richard Feller : Von der alten