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nements ont marché vite, depuis deux ans. Dès mes
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écrits, vers 1932, je n’ai cessé d’appeler l’union de l’Europe au nom
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e de la parole, mais donne aussi parfois, au tout
premier
regard, une lucidité sans recours. Vous prenez cette amie dans vos br
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mmédiatement, dans l’état présent de l’Europe.
Premier
principe. — La fédération ne peut naître que du renoncement à toute i
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ilà donc le fédéralisme. L’opposition Il semble à
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vue qu’un tel programme soit si clairement inscrit dans les données d
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oit possible de faire appel dès maintenant. Notre
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contribution à l’union que nous voulons former doit être d’éveiller e