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es travaux m’ont inspiré, il me plaît de citer au
premier
rang Gonzague de Reynold et son monumental ouvrage en 8 volumes sur l
2
enue prochaine, qui entreprendront d’améliorer ce
premier
essai téméraire d’orientation dans un sujet illimité, puiseront sans
3
Première
partieLes Origines d’Hésiode à Charlemagne (du ixe siècle av. J.-C.
4
ral, à Pierre Dubois, juriste de Philippe le Bel,
premier
auteur d’un plan d’union de nos États, au début du xive siècle. Nous
5
Hésiode nomme encore Asie, et Métis ou la Raison,
première
épouse de Zeus. Beaucoup plus tard, nous retrouvons Europe non plus d
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que les hommes puissent y vivre. Il prendra pour
première
femme l’Océanide Métis, qui est la raison ; mais il l’absorbera en so
7
état du continent dans la seconde moitié de notre
premier
millénaire : ce mélange originellement « indifférent » (à l’égard de
8
orrespond en tout cas à la grande aventure de ces
premiers
descubridores que furent les Phéniciens. Voici comment Victor Bérard
9
de nouveau G. de Reynold21 : Europe est dans son
premier
sens un adjectif féminin : eurôpé. Cet adjectif est le pendant du mas
10
es secondes prêtant le secours de leurs armes aux
premières
qui les aident à leur tour des productions de leur sol, des travaux d
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évhémériste avant la lettre — qui écrit dans son
premier
livre : Certains Grecs… abordèrent en Phénicie, à Tyr, et ravirent la
12
. 38. L. Moreri, Grand Dictionnaire Historique,
première
édit. Prias, 1674, 20e édit. 1759 en 10 vol. 39. R. Cagnat, Inscrip
13
Rome (xiiie s.) le pape est à l’instar de Dieu,
premier
Moteur. Il est la source de l’ordre cosmique, du mouvement des choses
14
son autorité. Cependant, l’empereur est la cause
première
de l’ordre social, et nul baron ne commande sans tenir de lui son pou
15
incipes universels.60 Si, depuis la chute de nos
premiers
parents, cause de toutes nos erreurs, nous considérons les mœurs des
16
reprend un projet similaire, peut-être inspiré du
premier
. Georges Podiebrad (1420-1471), pauvre gentilhomme tchèque, s’était
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nos futurs successeurs, à perpétuité. Les trois
premiers
articles du traité statuent : que les contractants s’abstiendront de
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anglais Denys Hay 73, et quand il devint pape, sa
première
tâche fut de défendre la chrétienté par la force de la persuasion et
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de chrétienté pour désigner « toute l’Europe » :
première
esquisse de cette définition de notre culture par ses trois sources p
20
ibres de son être, il a bien mérité le titre de «
premier
Européen », sinon par l’intention, du moins par le fait. De sa Querel
21
Le « Nouveau Cynée » d’Émeric Crucé De ce
premier
auteur d’un plan d’union qui engloberait non seulement l’Europe chrét
22
plus nous possédons plusieurs versions : les deux
premières
parties datées de 1638 et qui ne furent pas « mises dans le commerce
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de l’Europe. » Ainsi débute l’ouvrage. Ses trois
premières
sections sont consacrées à montrer combien la paix est désirable ; qu
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on semble donner lieu à certaines difficultés, au
premier
abord, en ce qui concerne les suffrages à donner à chacun des princes
25
jets, je pris la résolution de pénétrer jusqu’aux
premières
sources du mal, & de chercher par mes propres réflexions si ce ma
26
turs… Ce sont ces réflexions qui sont le sujet du
premier
Discours. Je les ai toutes rapportées à deux chefs ou à deux Proposit
27
& tirées par des conséquences nécessaires des
premiers
principes ; mais je vis bien qu’ils ne suffiroient jamais pour déterm
28
jamais pour déterminer entièrement les esprits du
premier
ordre, que l’on trouveroit toûjours des différences, des disparitez e
29
l faudroit aussi que les papes ressemblassent aux
premiers
évêques de Rome. Voilà des projets qui réussiront aussi aisément que
30
pour y vivre. Carl von Linné (1707-1778), le «
premier
botaniste de l’Europe », aussi zoologiste, et ici anthropologue : Ho
31
ne « liste des auteurs qui parlent de l’Europe » (
premier
sommaire pour une Anthologie européenne !) qui va de Strabon et Ptolé
32
re ce projet en exécution… Je n’ai pu refuser ces
premières
lignes au sentiment dont j’étais plein. Tâchons maintenant de raisonn
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logne et sur sa réformation projetée en 1772. Son
premier
souci, qui dominera tout l’essai, est de détourner les Polonais d’imi
34
ne, et tout jeune homme il prononce en latin un «
Premier
discours, sur les avantages que l’établissement du christianisme a pr
35
nous ont du moins épargné l’excessive lenteur des
premiers
pas. Par elle seule enfin, ce génie qui distinguait la Grèce et Rome
36
andes révolutions qui remettent les choses à leur
premier
point, la nature vienne renouveler ses traités avec un autre genre hu
37
existe des « lois » d’évolution, il en résulte à
première
vue qu’à toute ascension vers la grandeur doit succéder une décadence
38
çant l’idée de Progrès. Volney cède au contraire,
premier
des romantiques, aux vertiges de la Décadence. Quant à Wieland, derni
39
nstances n’est pas moins nécessaire que celle des
premières
. Le tableau que j’ai tracé des causes et des événemens dont l’influen
40
ées par ceux-là mêmes qui donnèrent son impulsion
première
au plus brutal bouleversement subi par l’Europe depuis sa formation c
41
une nécessité concrète, à la négation même de ses
premiers
principes : à l’« égoïsme national », au nationalisme agressif. On ne
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x. Après avoir discuté tambour battant les douze
premiers
articles de son plan, Bentham remarque au sujet du treizième : Établ
43
it donc ainsi ; mais n’est-ce pas déjà le cas des
premières
? Comment, ensuite, pourrons-nous concentrer l’approbation des peuple
44
ur l’Allemagne. Schiller est d’ailleurs l’un des
premiers
à mettre en valeur l’unité de mœurs et la similitude des institutions
45
nsporter en tout pays leur ennui. Les voyages des
premiers
s’effectuent pour le plus grand bien de l’humanité et de l’État ; loi
46
personne n’y songe.158 Ce que Herder, l’un des
premiers
, a su comprendre, c’est que l’Europe ne peut se concevoir comme entit
47
agitation des peuples, et l’ascendant passager du
premier
empereur des Francs, le passage de la vie des anciens Germains à l’ét
48
’union des États, mais cette fois sous l’égide du
Premier
Consul, puis de l’empereur : ainsi le Tableau politique de l’Europe p
49
esprit humain. Il existe si peu de productions du
premier
rang ; le génie, dans quelque genre que ce soit, est un phénomène tel
50
al. Toutefois, c’est en Européen qu’il réagit aux
premières
manifestations du nationalisme culturel, tant en France que dans son
51
indre d’une couronne d’éléments qui saluassent sa
première
résurrection ? » Cf. Dora Melegari, La Jeune Italie et la Jeune Europ
52
cupés ailleurs, ils se sont placés tout à coup au
premier
rang des nations, et le monde a appris presque en même temps leur nai
53
outume, Leopold von Ranke écrit en 1824, dans son
premier
ouvrage : Il faut se garder de mettre en contraste l’Europe et l’Amé
54
Marx (1818-1883) partagea toute sa vie, avec son
premier
maître, Hegel, la conviction absolue que l’Europe de l’Ouest était la
55
ing, publie en 1836, dans une revue de Moscou, sa
première
Lettre philosophique (traduite du français en russe). Toutes les ambi
56
de la fin de l’Europe. Je n’oublierai jamais mes
premiers
instants d’Europe… Je te raconterai une de mes premières impressions
57
rs instants d’Europe… Je te raconterai une de mes
premières
impressions d’alors, un songe que j’ai eu, un véritable songe. Il y a
58
Eh bien, mon ami, eh bien ! ce soleil couchant du
premier
jour de l’humanité européenne, que je voyais dans mon songe, se trans
59
sations, le professeur allemand David Strauss. Sa
première
lettre est datée du début de la guerre, sa seconde lettre de la fin.
60
t soutenu le jeune philologue prodige lors de ses
premiers
cours à Bâle, mais il a poliment écarté les avances pathétiques du pr
61
urope est grecque, puis Renaissante ; elle met au
premier
rang les moralistes français et la musique non romantique, les valeur
62
Id. ibid., t. 43-44, p. 518. 245. E. Renan, «
Première
Lettre à M. David Strauss », 16 sept. 1870, in Réforme intellectuelle
63
le. Ses deux maîtres sont Goethe et Nietzsche. Au
premier
, il emprunte (abusivement peut-être) une théorie organiciste de la cu
64
tômes de notre événement, absolument semblable au
premier
par son cours et sa durée et appartenant aux premiers siècles du proc
65
mier par son cours et sa durée et appartenant aux
premiers
siècles du prochain millénaire, le « déclin de l’Occident ».267 Am
66
re, — et l’on pressent qu’elle n’est encore qu’au
premier
Acte. … Paul Valéry (1871-1945), en quelques pages du plus haut ton,
67
lheurs supportables, par des milliers d’hommes du
premier
ordre, par des chances géographiques, ethniques, historiques, innombr
68
torique du Couchant ? Le pays du Soir vient-il en
premier
? Sera-t-il, par-delà l’Occident et l’Orient et à travers ce qui est
69
type de l’Européen, en même temps que le héros du
premier
roman d’aventures de l’Occident. Il apparaît dans sa pleine stature,
70
étant, selon Reynold, la doctrine trinitaire des
premiers
conciles : L’organisation politique et sociale (des Germains) les op
71
me amour. La diversité devient alors la condition
première
de l’unité. C’est le fédéralisme dont on est en droit de dire qu’il e
72
, mais il faut se garder de le sous-estimer : aux
premiers
pas de toute enquête sur les jugements que le Monde porte sur nous, c
73
utuellement devient pour la conscience une vérité
première
. Certes, Keyserling ne sous-estime pas les dangers d’un « supranatio
74
té de ses éléments métriques. Voici le rythme des
premiers
vers saxons, le rythme du franco-normand, le rythme gallois, et l’inf
75
e d’isolation, cependant qu’Hitler remportait son
premier
grand succès électoral, le 14 septembre 1930. La dernière tentative p
76
ui vont tenir à Montreux, en septembre 1947, leur
premier
grand congrès européen après la guerre, sont animés par de jeunes che