1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 ens de signaler, j’inclinerais à penser que cette première forme de sécularisme, la désacralisation de l’existence, peut être un
2 manqué d’éveiller la méfiance des Apôtres et des premiers chrétiens. Il tend à se reformer spontanément chaque fois qu’une soci
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
3 mal aux Églises que les persécutions romaines aux premiers temps leur avaient fait du bien. Partout, l’on vit au cours du xviiie
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
4 aginaires. Ce n’est donc point parce que les tout premiers chrétiens avaient une liturgie que nous devons en avoir une, mais c’e
5 es elles-mêmes par les rédacteurs des épîtres des premières liturgies de l’Église. C’est du moins la thèse soutenue par le profes
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
6 es nefs, et autour des architectures sacrées. Nos premiers rythmes poétiques ont été propagés par le latin d’Église. Et ce n’est
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
7 sième remarque, tout à fait indépendante des deux premières , prendra la forme d’un aveu. Je me sens incapable de faire usage du c
8 d’abord l’artiste vrai de l’amateur, j’entends du premier venu qui se sent inspiré ou ému, et croit pouvoir remplacer la rhétor
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
9 re romain, et ne désigne pas sa destruction comme premier objectif aux chrétiens. Pourtant l’Empire leur ôte toute liberté, et
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
10 diverses Églises, mais au contraire, elle a pour premier effet de les renforcer en les rendant plus conscientes de leurs valeu
11 rôle social). C’est ce même terme qui servira aux premiers philosophes chrétiens à désigner la réalité de l’homme dans un monde
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
12 l, optimiste de style baroque et fonctionnaire du premier rang ; mais sa phrase est plus subversive que tout ce qui passe pour
13 ndance générale au réveil des valeurs de liberté. Première illusion fataliste : « L’URSS est l’avenir ». L’URSS était le paradis
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
14 elle risque de produire plus de mal que de bien. Première conclusion : la civilisation occidentale peut préparer les voies du c
15 le mouvement œcuménique ne devra pas s’arrêter au premier succès que représenterait pour lui l’union fédérale de toutes les con
16 voies et moyens de sa communication universelle, première inspiratrice et par là même modératrice prédestinée de la civilisatio