1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 s 1922, suscitera le Mouvement paneuropéen. Cette première action militante pour l’Europe n’aboutira qu’au beau texte du mémoran
2 sens très sûr de la publicité, en attribue l’idée première à Henri IV. 5. Il s’agit surtout d’ Esprit et de L’Ordre nouveau
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
3 ’éléments de synthèse. Au carrefour hasardeux des premiers siècles de notre ère, ce n’est pas une fusion organique ou logique qu
4 e de Rome. Cependant que l’esprit évangélique des premières paroisses autonomes et fédérées, où tout était mis en commun, prend c
5 t égale au produit de sa masse (étendue, matières premières , population), soit m, par une culture dont les effets induits se mult
6 usique. La musique naît avec le chant grégorien —  premier langage musical européen — au vie siècle en Italie, s’enrichit au co
7 res d’espérer, c’est-à-dire d’agir pour l’Europe. Première raison : La civilisation européenne est la seule qui soit effectiveme
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
8 urd’hui, cette même confusion sert de prétexte au premier nigaud venu pour mettre en doute, au nom du « réalisme », toute possi
9 , les extirper de l’enseignement, c’est l’une des premières tâches du fédéralisme en Europe : qu’on se le dise dans les écoles no
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
10 aient et ne l’annonçaient dans l’enthousiasme des premiers congrès, aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale. Du moins, cett
11 ’identification d’une unité territoriale dont, en première approximation, les limites correspondent à celles des aires d’influen
12 52. Objections courantes Depuis 1963, date du premier essai quelque peu développé dans lequel (revenant d’ailleurs aux posi
13 xixe siècle, et pas du tout les nations au sens premier — peuples, régions, ethnies ; elles sont du type France, Espagne, Gra