1 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
1 organisateur de la Conférence, comme l’une de ses premières tâches. La Commission de coopération scientifique du Centre, présidée
2 ire doit être édifié à Genève, c’est aussi que sa première ébauche a été établie à Genève. Par un juste retour, l’honneur de l’a
3 de son initiative. Itinéraire d’une idée (I) : Premières lueurs dans l’œil d’un physicien, puis d’un ingénieur Colloque d
4 u manque de grands savants, au manque de matières premières , au manque de moyens mécaniques ou autres, car l’Europe en est riche,
5 i elle pouvait rassembler les sources de matières premières de Belgique, de Norvège et d’autres pays, aux puissantes industries m
6 e évalué à 5 millions de dollars pendant les cinq premières années. c) le choix d’un emplacement qui satisfasse divers critères t
7 lars (soit 20 pour cent des besoins pour les cinq premières années) aurait probablement paru acceptable à la France, qui avait ba
8 t paru acceptable à la France, qui avait basé ses premiers calculs sur des estimations plus élevées. En outre, M. Capron, rappel
9 n) Il est estimé que le Laboratoire permettra de premières recherches environ deux ans après que l’on aura commencé la construct
10 rnational. Il est également convenu qu’une de ses premières tâches sera d’envoyer un de ses membres en mission à Brookhaven, pour
11 Bakker, peut annoncer que « le Synchrocyclotron, premier des deux accélérateurs en construction au CERN (Organisation européen
12 rter la discussion devant un groupe de savants de premier ordre afin de préciser le domaine dans lequel devait raisonnablement
13  » et principal responsable de la construction du premier CERN. Professor John Adams’ speech I came along to listen to Pi
2 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
14 l, comme si déjà l’Europe était unie. Fort de ces premières réalisations, qui lui assurent une base d’utilité technique, le Centr
15 re le nom de Club européen, et de s’assigner pour première tâche concrète la réalisation rapide d’une Fondation européenne de la
16 t l’un de nos membres, M. Marcel van Zeeland, est premier directeur général. Sont étudiés les problèmes posés par le nom, le si
17 à l’adoption des statuts, et à la nomination des premiers membres (choisis dans son sein) du Conseil de la Fondation. Celui-ci
18 ésident du CNPF, Paris ; et le baron van Zeeland, premier directeur de la BRI, Bâle. Excusés : MM. Louis Camu, Hermann Reusch,
19 Luciano Berio et Yannis Xenakis. Là encore, cette première expérience « d’aide stimulante » à la culture créatrice fut un succès
20 ns, avaient été faites et réitérées lors des deux premiers conseils. Or, constate le directeur dans son rapport sur les activité