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ante et par là même justifiée jusqu’à l’évidence.
Prenons
sa phrase pour ce qu’elle est, dans sa simplicité : tout un programme
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que à nos yeux de décadentisme bourgeois. Nous ne
prenons
pas à la légère le drame de la Révolution. Il est des crises nécessai
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haïssent la religion parce qu’elle les met à nu,
prend
en pitié leur sale caractère : tous ceux qui poursuivent l’humanité d
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ationalisme traître à la patrie. Notre réponse ne
prendra
pas la forme d’une justification, mais d’une accusation. Au nom de la
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— ou mieux encore, le conflit personnel, et nous
prenons
pour norme ce conflit, étendu à tous les ordres de l’activité humaine
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terrain positiviste où ils les placent. Elles ne
prennent
leur vrai sens que dans le plan de la personne, où nous les reposons.
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ans le plan de la personne, où nous les reposons.
Prenons
par exemple le problème du « minimum de vie matérielle » destiné à as
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s que le problème du minimum de vie matérielle ne
prend
son sens que dans le plan de la personne qui est, nous allons le voir
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ine. Nous nous excusons de l’aspect théorique que
prend
forcément cet exposé, et qu’il perdrait si nous avions la place néces
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ccupe des moyens, et néglige bientôt les fins, ou
prend
les moyens pour des fins ; la foi ne veut connaître que les fins, et
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ce des partis politiques. S’il rejette les partis
pris
, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau, prendre parti. Comme le réac
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it ne sera jamais perdu, pour ceux d’abord qui en
prennent
l’initiative. Mais ici je poserais une question inverse de celle que
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de leur point de départ. Alors que les partis aux
prises
dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondament
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dans un conflit concret). Sur cette notion d’acte
pris
comme point de départ 18 se fondent ses analyses du pouvoir et des va
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ent chrétienne. La revue a d’ailleurs franchement
pris
position dans un numéro spécial intitulé : Rupture entre l’ordre chré
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lle du phénomène qu’on voudrait expliquer. A-t-on
pris
garde à ce fait simple et général : que la révolution naît dans les v
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d’être vidé, d’être dominé par un milieu qu’on se
prend
à mépriser parce qu’il vous tient. Neurasthénie. Il y a aussi ces com
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ous louerez un de ces studios bien nus, où la vie
prend
un visage tellement abstrait qu’on n’arrive plus même à s’y aimer : C
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J’ai peut-être tort de penser qu’on aurait pu s’y
prendre
autrement. Après tout, il ne faut pas souhaiter à Kierkegaard une int
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des questions aussi vaines que celle qui mit aux
prises
, par exemple, un Thomas d’Aquin et un Scot, le premier affirmant que
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on celui qui voit l’esprit dans son action, et le
prend
sur le fait de la métamorphose ? Et si l’on sait que la vision est ac
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n’en reste pas moins que les années d’avance qu’a
prises
L’ON lui permettent de passer, dès à présent, à des tentatives de r
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s voir prendre position dans la lutte qui met aux
prises
un Front dit « national » et un Front dit « populaire ». Nous demando
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s « un écrivain digne de ce nom » ne va pas, pour
prendre
un exemple, déconcerter son public à plaisir ; ce qui l’amuse, c’est
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vingt endroits des Mélanges sentimentaires qu’on
prendrait
pour du bon Montherlant. En voici un qui résume fort bien la morale p
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par un serviteur agréable, que tous les deux ont
pris
soin d’avouer ! Certes, il y a toutes les différences que l’on voudra
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mais pas si fortes qu’elles ne nous permettent de
prendre
une vue plus juste de ce qui est propre à Montherlant. Il est bien mo