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un homme devient-il chrétien ? Tout simplement :
prends
n’importe quelle règle d’action chrétienne, — ose la mettre en pratiq
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stère du temps se dévoile ; mais un temps nouveau
prend
son cours, et sa mesure est plus mystérieuse encore. Voici : le péche
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Mais le chrétien qui marche dans la nouveauté ne
prend
mesure que de ce qu’il transforme. Sa connaissance est acte et vision
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t affolant de jouer avec des choses vivantes. » ⁂
Prenons
cinq mots parmi les plus fréquents dans le langage et les écrits de n
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ine ? Et si la propagande et la publicité qui ont
pris
la place des lieux communs spirituels et effectifs ne nous ordonnent
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e, si la culture est justement la part active que
prend
l’homme à tout ce qui est création dans la nature, dans l’histoire, d
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ela précisément que la sagesse vulgaire appelle «
prendre
les choses avec philosophie »… Ceci nous amène à constater que : 1° S
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ne première garantie dans les groupements qui ont
pris
l’initiative de la création et du fonctionnement des clubs de presse.
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fin la trêve des démagogues. En réalité, les mots
prennent
tous les sens qu’on veut dans la bouche des politiciens. Ils prennent
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ns qu’on veut dans la bouche des politiciens. Ils
prennent
de préférence un sens contraire à celui de l’usage courant. (Staline
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om de ce qu’il appelle sa liberté, etc.) Mais ils
prennent
aussi toutes sortes de sens intermédiaires dans la bouche de nos dépu
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ès probablement une anthologie de « mineurs » qui
prendra
le charme d’un style, et très vite, une patine rassurante. Quant au r
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ais M. Vandérem est réaliste : il trouve que j’en
prends
à mon aise et que je néglige un peu cavalièrement les contingences.
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Vous avez le temps de lire beaucoup ? — Oh, on le
prend
. Comme nous ne voyons jamais personne… (En France, cela étonne.) 16 o
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aires du pays. Ils vont à toutes les conférences,
prennent
la parole au Cercle d’hommes, citent des livres sur la politique. 12
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surtout des questions, des affirmations de partis
pris
ou des récits entremêlés d’allusions à des célébrités locales, provoq
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e sa vie consiste à connaître ces choses, il faut
prendre
le mot dans le sens le plus actif : car l’homme dont je parle n’est p
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catholiques descendent de la montagne et viennent
prendre
la place. « On les appelle ici les illettrés. Ça veut dire que c’est
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bientôt vers le fascisme. Un beau chaos de partis
pris
, d’erreurs de faits et de formules électorales ! Je demandai la parol
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En homme qui veut savoir pour quelles raisons il
prend
ou ne prend point parti. Mais l’électeur veut qu’on soit pour ou cont
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i veut savoir pour quelles raisons il prend ou ne
prend
point parti. Mais l’électeur veut qu’on soit pour ou contre, et il se
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’amener à réfléchir sur les raisons de ses partis
pris
? Mars 1935 (à Marseille) J’ai parlé à R. de mon projet de publier so
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rrière dans le monde, à supposer que l’envie m’en
prenne
. Tout ce que je compte dire dans mon journal, c’est qu’on peut être t
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mmes que j’ai dit, revenez deux fois, vingt fois,
prenez
-les sur le fait au détour d’une phrase maladroite, rendez-les attenti
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tons les observations que formulent des individus
pris
à part, dans leur vie concrète. Je constate qu’elles vont toutes dans
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son dans le monde des dieux, voudraient bien être
pris
pour des gens raisonnables. Voilà pourquoi, pensais-je, ils méprisent
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création qui vient à se détacher de l’auteur pour
prendre
corps dans l’œuvre poétique. Et le poème ensuite — plus beau et plus
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étage, où l’on parvient par un petit escalier qui
prend
au fond de la cuisine, deux autres chambres assez vastes et presque v
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et, Pédenaud, qui a voulu en avoir le cœur net, a
pris
des instructions par téléphone au chef-lieu. Son supérieur lui a conf
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ces. J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai
pris
sept sur mon pyjama dans l’espace de deux minutes, ce qui doit consti
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parle-t-on lorsqu’on parle de communisme ? Où le
prendre
? En quoi peut résider l’identité d’une doctrine qui prétend justifie
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changer le monde. Or une telle volonté ne saurait
prendre
son élan que dans le sentiment insupportable d’un défaut inhérent au
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onomique ? On voit ainsi comment Marx lui-même se
prend
à son jeu polémique. Ce ne fut guère qu’à la fin de sa carrière que s
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sme63. Il lui faut donc en préparer une autre, et
prendre
enfin parti, positivement, dans l’immense lutte qui va mettre aux pri
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itivement, dans l’immense lutte qui va mettre aux
prises
l’étatisme totalitaire et le fédéralisme libre. Responsabilité des
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uerre de religions qui ne sont pas les nôtres. Je
prends
ici parti contre une telle entreprise, pour les mêmes raisons, mais a
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» n’est ainsi qu’une mesure critique que l’Église
prend
de son message sous le rapport de sa fidélité à son fondement, à son
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à la foi dont l’homme refuse les ordres. 58. Je
prends
l’expression dans ce sens, qui n’est pas le sens jésuite courant : qu
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us connaissons de leur « histoire » — mais le mot
prend
ici un sens nouveau — c’est la suite des gestes de Dieu dont ils ne f
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che. Mais la pire des idolâtries, c’est celle qui
prend
pour objet de son culte la mesure même, la Loi en soi, abstraite des
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lement de préciser en quelques traits le sens que
prend
l’héritage d’Israël pour la foi chrétienne protestante. On sait le rô
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e, l’ânesse de Balaam, David et Jonathan, Absalon
pris
par les cheveux, le jeune Samuel appelé trois fois par Jéhovah, — que
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hit, soit qu’il rejette ses ordres, soit qu’il la
prenne
pour idole, refusant d’en reconnaître la vraie fin lorsqu’elle lui ap
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e le devient qu’accessoirement, à mesure que l’on
prend
les « signes » de la vocation pour des réalités valables en elles-mêm
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c leurs adversaires ». Il leur demande ensuite de
prendre
le pouvoir. Mais avant de prendre le pouvoir, il faut convaincre, sin
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ande ensuite de prendre le pouvoir. Mais avant de
prendre
le pouvoir, il faut convaincre, sinon l’on se verra contraint d’exerc
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ersonnaliste ne s’est constitué comme tel, et n’a
pris
ce nom, que parce que dans l’Europe actuelle se déchaînent des puissa
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ligés, par leurs menaces instantes et brutales, à
prendre
une conscience active de ce qui, depuis nos origines, n’était que le
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est l’instant de l’acte d’obéissance. Cessons de
prendre
le christianisme « à bon marché », comme les évêques. Pensée centrale
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mes à être attentifs et à juger, c’est exactement
prendre
le chemin du vrai martyre. Un vrai martyr n’a jamais eu recours à la
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per le lecteur mille manières. On peut se laisser
prendre
à la fantaisie baroque de certaines paraboles, de certaines ironies p
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s qu’on la pose dans le concret d’une vie connue.
Prenons
deux hommes qui furent tous deux de prodigieux producteurs d’idées :
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istraite et vraie d’un être isolé près de moi. Je
prends
le métro, malgré l’odeur de buanderie et ce relent de fauves de certa