1 encore ? dit-elle. — Dans tes voiles. — Tu les as pris . — Viens dans mes bras, ma fille. II. Le marché de l’aube — Cho

2 e reposerai dans la fraîcheur de son éclat. Il la prit . Elle était brûlée. — L’hiver a fait son temps, songea-t-il, dans ma

3 elle était consolante. Mais c’était l’autre qu’il prenait alors entre ses mains, la pierre du vœu triste et présomptueux de sa

4 éparer en conséquence. Nous n’avons pas encore su prendre le tempo de ce xxe siècle. C’est que nous sommes devenus un peuple d

5 r paix, et l’être enfin comblé ne sait plus où se prendre . Il se ramène en soi, se divise en ses ombres. Ainsi passent les heur

6 e les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de m

7 nent à leur régime normal de vie (comme un moteur prend son régime normal à tant à l’heure) que dans le drame et le boulevers

8 la sortie du village, la rue bifurque : une route prend à droite, vers la plaine, escortée de quelques maisons ; l’autre s’in

9 is arrêté à cet endroit, hésitant sur le chemin à prendre . Et soudain, je vis à mes pieds, tracé à la craie sur le sol, un gran

10 os cœurs. Hitler se taira d’ici peu. Son aventure prendra fin dans la catastrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’homm

11 r vivre impunément, jusqu’à ce que Hitler vînt en prendre avantage. Devant un monde à reconstruire, les grandes questions peuve

12 t réellement une attitude nouvelle de l’homme aux prises avec le destin d’un siècle nouveau. Alors que la plupart des révoluti

13 lle solution immédiate, utopique ou opportuniste. Prenons le problème du prolétariat. Le groupe de l’Ordre nouveau proposa l’in

14 n’est pas jouer du violon. Tout d’un coup vous le prenez à double corde, et l’on distingue mal les passages, vous changez de t

15 naïve dans la modestie cartésienne. Car enfin où prend -on dans le monde rien qui soit « clair, simple et facile » en soi ? L

16 ion. C. Comment expliquez-vous le plaisir que je prends à la lecture de certaines paraboles dont le sens eschatologique m’éch

17 out et de la Fin, mais signes seulement, résumés, prises partielles et significatives… Certes celui qui pourrait les fixer ret

18 es héros de la tribu. Mais à mesure que les dieux prennent figure d’hommes, que les statues se mettent à ressembler aux hommes,

19 connues et communes : dès Conan Doyle, elles ont pris force contraignante. Ses personnages sont constants comme ceux de la

20 es ou rythmes, et non pas simplement juxtaposées. Prenons l’exemple des lettres. D’après Elie Alta (et donc Etteilla), « les Ég

21 tiateurs de toute la poésie occidentale, auraient pris le maquis dans plusieurs pays, mais n’auraient pas cessé de répandre

22 Fou ». 6. De l’usage des tarots Nous avons pris l’habitude de considérer les tarots avant tout comme un moyen de divi

23 s ? En passant à travers eux tous, mais sans être pris par un seul… Ayant accompli son être dans la coïncidence des contrair

24 , un spirituel sans emploi, un vagabond cosmique. Prenons bien garde à la manière dont nous le traiterons ! Il se pourrait qu’i

25 ue ces lions sont des hommes, qui d’ailleurs nous prenaient nous aussi pour des lions. (Il ne manque pas de Persans pour se deman

26 és des États, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambre

27 ue, même de bon sens, et j’ai quelques raisons de prendre la France plus au sérieux, plus au tragique, que les chiffres stupide

28 n signifier revenir après quelque temps, comme on prend un billet d’aller et retour. La poésie des voyages a vécu, la tragédi

29 erai à des recherches récentes deux résultats qui prennent figure de paraboles : ils me paraissent propres à nous persuader de l

30 Ses disciples ont passé des chiens aux singes. On prend dix singes, on les range dans une chambre, le long d’une des parois.

31 ue ces lions sont des hommes, qui d’ailleurs nous prenaient nous aussi pour des lions. (Il ne manque pas de Persans pour se deman

32 ez-vous également remarqué que les militaires qui prennent la plume (comme ils disent) ont coutume de dénoncer sous le nom d’« é

33 ial. Ceux qui pensent que c’est tout le contraire prennent le mot patrie dans le sens de nation, le mot nation dans le sens d’Ét

34 commandes pour accomplir le Temps… Et nous serons pris au dépourvu, comme nulle autre génération. Car, tandis que le temps s

35 Parut un soleil nouveau. Et ceux qui le voyaient prenaient un visage neuf, leurs yeux devenaient forts et s’attendaient à l’écla

36 ênés, balourds, ne sachant trop quelle contenance prendre . Et la lumière ne cesse de grandir. Ils tombent déjà par rangs entier

37 t que celui qui a soif vienne, que celui qui veut prenne de l’eau de la vie, gratuitement. » Car maintenant tout est payé. Tou

38 cet adversaire ou ce partenaire possible. Qui va prendre avantage sur l’autre ? Ainsi se présentent-ils, comme s’ils venaient

39 qu’il ne spécule pas à leur sujet. Comment ils prennent la vie Le Français est profondément sérieux, c’est même à mon avis

40 u Monde : leur manière de réagir à la souffrance. Prenons l’exemple de la mort à la guerre. Le Français, élevé dans l’idée que

41 corrects… Well… Quand un gangster de Chicago vous prend votre portefeuille, il vous donne quelquefois cinq sous pour rentrer

42 Je poursuis non sans peine : « — Si nous allions prendre quelque chose dans un restaurant ? — Bonne idée », fait-elle d’une vo

43 g. Je décide de rentrer le jour même à Berlin, et prends congé de mon ami qui se montrait fort inquiet de mon sort. Il y avait

44 is il faut que je la revoie une dernière fois. Je prendrai donc l’express du soir. J’arrive à Berlin le lendemain. Sur le seuil