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es s’ouvraient aux Européens : — ou bien l’Europe
prend
sa retraite et tente de vivre sur son passé culturel ; — ou bien l’Eu
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de travail, qu’au total ses 10 000 km lui auront
pris
environ 1700 heures de son temps, et cela fait du 6 à l’heure — l’all
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rt des régions intéressantes qui sont en train de
prendre
forme en Europe sont transnationales, donc par-dessus les frontières.
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olument étonnants, quelles que soient les mesures
prises
officiellement, surtout les discours faits sur l’« indépendance total
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it pas de le renverser, vous ne sauriez par où le
prendre
. La révolution violente n’a jamais abouti à autre chose qu’à renforce
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nir, et il faut se décider d’après ça, et non pas
prendre
une carte et quelques barèmes, quelques statistiques, quelques courbe
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ues, et à tous les degrés de sa vie. Il se trouve
pris
dans un réseau de nécessités techniques, économiques, avec ordinateur
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? Je ne suis pas du tout d’accord avec le terme «
prendre
le pouvoir ». Et c’est là que je me sépare radicalement des marxistes
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s énergies à nous attaquer à un Pouvoir mythique.
Prendre
en main notre destinée, voilà le mot de toute l’affaire, notre affair
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sa commune d’origine. Presque tous sont déplacés.
Prenez
la ville de Genève, vous avez une minorité de Genevois, je crois 27 %
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e génie du lieu » agit ainsi, c’est que l’on peut
prendre
des racines, et même si l’on change de lieu. L’important c’est d’en a
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s et sociales et en interdisent d’autres. Si l’on
prenait
la ville communale au Moyen Âge c’est autour d’une grande place, où i
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caserne, comme tout le monde l’a dit, et il faut
prendre
cela au sens le plus précis du terme, c’est-à-dire que l’on est en tr
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on de 2 % du salaire. Quant à l’autogestion je la
prends
dans un sens absolument global, général : responsabilités. C’est le m
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e la dimension des communautés qui sont amenées à
prendre
des décisions. C’est cela le fédéralisme : que chacun fasse à son niv
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liberté de ton. Nous faisions des jeux que Breton
prenait
très au sérieux. Pour lui, le jeu était une sorte d’expérimentation d
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us qui entrerez, je l’espère, dans le débat — aux
prises
avec une question simple tout au moins dans son énoncé : quelle socié
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élinquance, la démocratisation du terrorisme, des
prises
d’otages, du chantage à la bombe, naguère privilèges des seuls États
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éner, c’est le mécaniser — au sens argotique qu’a
pris
le mot — c’est-à-dire le manipuler, lui imposer un comportement qui m
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-nations et de nos villes les font échapper à nos
prises
, et rendent vaine notre idée de participation à leur gestion, donc de
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tesse au poteau, pendant les journées d’Octobre. (
Pris
dans une rafle, des tracts plein les poches, on le pousse dans une fi
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vec la Société, le gouvernement, la Nation, voire
pris
comme source du Droit, est probablement le thème fondamental des écri
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glomérats politiques que l’on essaie de lui faire
prendre
pour « sa patrie » : ils sont beaucoup trop grands… ou trop petits po
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ient de quitter l’Office of War Information, pour
prendre
un poste à la légation suisse de Washington. La place à l’OWI sera dé
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s histoires. Soudain j’ai dit : « Voilà que ça me
prend
, tout justement ! Attendez, que je vous dise… Sur mon assiette de pet
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Théodore Strawinsky dans l’aventure du siècle, je
prendrai
référence du mot figuration en des sens opposés que lui donnent trois
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donneurs de sens. Les mœurs dépendent du langage.
Prenez
un seul exemple : le mot amour ; La Rochefoucault a dit : « Combien d
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immense conditionnement. Et sans doute lorsqu’on
prend
les gens par grandes masses on ne peut pas gouverner autrement. Cette
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ait libre, considéré, décoré même. Depuis qu’il a
pris
le parti de la paix, toutes les polices le pourchassent y compris la
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re et de ses actes. On n’a pas oublié qu’il avait
pris
publiquement la défense de l’un de ses anciens étudiants, objecteur d
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s de participation où les citoyens puissent enfin
prendre
en main leurs affaires communes — qu’il s’agisse de réalités culturel
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us êtes perdu ! La liberté, c’est une chose qu’on
prend
, qu’on mérite et, surtout, dont on se montre digne en étant responsab
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ralité peut se justifier dans bien des cas, on en
prendra
trop facilement prétexte pour nier que Barth ait raison de la refuser
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a refuser en tant que vertu générale. Essayons de
prendre
une vue globale, et objective au moins par l’intention, de la manière
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inction entre labeur et jeu, entre la peine qu’on
prend
et le plaisir qu’on en a, entre les contraintes de la matière et la l
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s solutions suisses puissent être un seul instant
prises
au sérieux par les « puissances » de l’époque. Et pourtant il est cla
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nt en faire. Dans la partie romande surtout, on a
pris
l’habitude de confondre le fédéralisme avec le réflexe de résistance
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de la tâche appellent normalement. Ainsi l’Europe
prend
ses racines dans le terreau de l’authentique fédéralisme suisse. De c
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scientifiques » et psychanalystes de toute école
prennent
leurs repères, leurs modèles structurels et leurs termes de base dans
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e, flambe et « se déclare ». C’est l’amour qui se
prend
pour son objet, qui aime sa propre intensité et non pas l’Autre. C’es
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ur nous le sentiment, le désir et la passion, n’a
pris
ce sens qu’avec la poésie des troubadours. Cette poésie apparaît subi
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u de l’inceste. Tous les autres étant évacués, il
prend
une importance majeure et régit des domaines psychosociaux toujours p
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s. Le roi Marc de Cornouailles, frère de sa mère,
prend
l’orphelin à sa cour et l’éduque. Or, chez les Celtes, comme chez bie
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omme chez bien d’autres peuples, l’oncle maternel
prend
la place du père (même vivant) et devient le « père nourricier » et v
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ssionnettes », mais bien plus souvent de femmes «
prises
» (comme une ville après un siège en règle). Mais ces femmes ne sont
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on journal intime : Notre engagement n’était pas
pris
pour ce monde. Et dans les Hymnes à la nuit : Que ton feu spirituel
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symbolistes. Car l’amour passionné, répétons-le,
prend
sa source dans cet élan qui par ailleurs fait naître le langage. Et l
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ie par nous, et non par les centrales nucléaires.
Prenez
cette conversion pour une image, si vous voulez, mais je suis convain
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ition régionale mais aussi des premiers qui aient
pris
conscience de leur commune appartenance au grand ensemble culturel qu
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ot-clé de notre Centre. Je prie les historiens de
prendre
note d’un petit fait qui a son importance symbolique : l’Association
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et du coup quelque peu restreint ou assagi — qu’a
pris
le mot dans l’ère moderne, est une forme de vie et d’activité artisti
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communautés qui formeront plus tard la Romandie,
prenons
à titre d’exemple l’état de la région au xviie siècle. Au nord, la P
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nocrates : on bâtira des centrales nucléaires qui
prendront
la relève. Mais l’uranium qui les nourrit sera aussi épuisé, pense-t-
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ersonnes. La puissance, c’est le pouvoir que l’on
prend
sur les autres, la liberté, c’est le pouvoir que l’on prend sur soi-m
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les autres, la liberté, c’est le pouvoir que l’on
prend
sur soi-même. ac. « Il faut changer de cap », L’Aurore, Paris, 27 s
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idée d’« économie nationale » est une absurdité.
Prenons
l’exemple du lac Léman, puisque nous l’avons sous les yeux : il est e
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urs idées sur le sujet ne sont pas très précises.
Prenez
l’exemple de Sartre : en 1949, à l’époque où je créais le Centre euro
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remier numéro paraît en 1933, au moment où Hitler
prend
le pouvoir, c’était un titre bien fâcheux… Tout d’abord, je vous rapp
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u IIIe Reich. Pourtant, il n’ignorait rien de mes
prises
de position antinazies. Voulait-il donc me convertir ou m’éclairer ?
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en, au départ, ne laissait prévoir le croisement.
Prenez
l’exemple de Ford, l’inventeur de l’automobile, et de Hitler. À prior
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un, chacun doit inventer son chemin, car, si l’on
prend
les routes nationales, on arrive toujoursau à la capitale, au centre,
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au à la capitale, au centre, et alors, au lieu de
prendre
le pouvoir, c’est le pouvoir qui nous prend et nous phagocyte. Vous p
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de prendre le pouvoir, c’est le pouvoir qui nous
prend
et nous phagocyte. Vous parlez du pouvoir comme vous parliez de la pa
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gemont, manifestement agacé par les libertés qu’a
prises
le journaliste en transcrivant l’entretien. ag. Rougemont propose de
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r de très hautes autorités scientifiques. Je vais
prendre
encore un exemple dans mon propre pays, la Suisse. On a appris, à un
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èrement la Suisse, mais ce n’est là qu’un exemple
pris
dans un seul pays. Détrompez-vous, le problème a été très sérieusemen
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eux qui n’ont rien à gagner de la position qu’ils
prennent
. » Et il observe que sur les vingt-six universitaires qui ont signé l
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nt plus puissant qu’eux. C’est un mythe dévorant.
Prenez
, par exemple, l’idée de l’unité qui est déjà chez les rois de France
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’il n’y ait plus aucune possibilité matérielle de
prendre
son destin en main. Il y aurait donc, si je vous entends, une taille
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s totalement inadaptés aux tâches de notre temps.
Prenez
l’exemple de la France : sur le plan international on ne l’écoute pas
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ain de s’éveiller selon vous ? Certainement et je
prendrai
comme exemple la « Regio Basiliensis » où des Allemands, des Français
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s ? Pourquoi reste-t-il au pouvoir, alors qu’il a
pris
conscience de l’impuissance de ce pouvoir ? Car c’est une vérité dont
73
r politique n’existe plus, le pouvoir n’est pas à
prendre
, comme le croient les révolutionnaires, le pouvoir est à créer. On ne
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ntre les producteurs qui « essaient de nous faire
prendre
leurs désirs pour nos fatalités ». La vraie politique de l’énergie n’
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s de maturation qui a été nécessaire, car j’ai pu
prendre
de la distance par rapport à l’actualité immédiate. Comment caractéri
76
réponds que la puissance est le pouvoir que l’on
prend
sur autrui et la liberté le pouvoir que l’on prend sur soi-même. C’es
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rend sur autrui et la liberté le pouvoir que l’on
prend
sur soi-même. C’est de nous-mêmes que nous devons tirer l’énergie tra
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dinaire jeunesse, un ouvrage percutant où il s’en
prend
avec autant de courage que d’efficacité aux grands périls qui menacen
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fère me plaindre », comme il dit. Quand quelqu’un
prend
le pouvoir, c’est le pouvoir qui le prend. Il suffit qu’un homme s’as
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elqu’un prend le pouvoir, c’est le pouvoir qui le
prend
. Il suffit qu’un homme s’assoie dans les fauteuils de l’État, qu’il u
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Comme Lénine le constatait quelques mois avant de
prendre
le pouvoir, les révolutions entraînent toujours un renforcement de l’
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conduirait à des désastres politiques. Nous avons
pris
le parti de l’homme, multiple et libre, face aux « systèmes ». L’e
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, les uns m’ont taxé de folie et les autres m’ont
pris
pour un agent allemand chargé de leur faire peur… Ce qui est tragique
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rgence de quelque chose de neuf : des groupements
prennent
en main des intérêts précis, dans une région précise. Il me semble qu
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elle effleuré D. de Rougemont lorsqu’en 1969 il a
pris
brutalement conscience que notre monde glissait vers le néant. Un rap
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mmes, de leur volonté et de leur voix. Et de s’en
prendre
à l’école avec la véhémence du professeur courroucé. L’école ! mais c
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éaux sociaux, longtemps avant que la foule en ait
pris
conscience. Cette idée neuve et hardie est de mon ami Bertrand de Jou
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sance démographique est négative depuis deux ans.
Prenons
le cas de Ferney-Voltaire. En 1947, il y avait 1050 habitants, six ca
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it pas, non plus, d’essayer de le renverser, de «
prendre
le pouvoir », comme le dit l’expression consacrée, car nous ne savons
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ns que trop à quoi cela mène : ceux qui croyaient
prendre
le pouvoir sont pris par lui. Le pouvoir abusif de l’État est fait de
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mène : ceux qui croyaient prendre le pouvoir sont
pris
par lui. Le pouvoir abusif de l’État est fait de toutes nos démission
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« prise du pouvoir », dont on parle toujours, va
prendre
les agresseurs, va les « phagocyter ». Je vous rappelle l’exemple de
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ceux qui voulaient s’en emparer. Là-dessus, il a
pris
le pouvoir, et a illustré lui-même, d’une manière parfaite, tout ce q
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vante : « La puissance, c’est le pouvoir que l’on
prend
sur autrui ; la liberté, c’est le pouvoir que l’on prend sur soi-même
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ur autrui ; la liberté, c’est le pouvoir que l’on
prend
sur soi-même. » [Réagissant aux remerciements et demande de précisio