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ns qui, revêtus de leurs manches de lustrine, ont
pris
une carte de l’Afrique et ont tracé des frontières toutes droites de
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spécialisée. Rien n’empêchera ces associations de
prendre
très au sérieux les avis des experts, alors que les circulaires qui v
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ucoup : « la puissance, c’est le pouvoir que l’on
prend
sur autrui ; la liberté, c’est le pouvoir que l’on prend sur soi-même
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ur autrui ; la liberté, c’est le pouvoir que l’on
prend
sur soi-même. » Vous avez aussi parlé de « la peur d’être libre »… C’
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a mort du Führer : Hitler s’est tu. L’aventure a
pris
fin dans la catastrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’homm
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homme ? Sa liberté, c’est-à-dire le pouvoir qu’il
prend
non sur autrui mais sur soi-même. La réforme que vous admirez le plus
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l’Occident. Et en effet, certains d’entre eux ont
pris
pour devise le fameux Better red than dead (plutôt rouge que mort) la
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lieu l’illusion économiste, celle qui consiste à
prendre
pour « la Suisse » et pour « l’Europe » deux groupes de phénomènes in
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la Suisse n’est pas réductible à son économie, et
prendre
l’une pour l’autre n’est pas une simple façon de parler pour aller vi
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s de notre acceptation éventuelle, c’est-à-dire à
prendre
l’initiative, à proposer et très probablement à innover. Les principa
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e de céder, c’est-à-dire d’adhérer à la CEE, doit
prendre
sans plus tarder des initiatives créatrices, ainsi que l’a proposé ic
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tant que lieu où n’importe quel homme libre peut
prendre
ses responsabilités, d’abord en paroles, puis, s’il convainc, si un g
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un Hitler dix ans plus tard n’auraient jamais pu
prendre
ou garder le pouvoir s’ils n’avaient pas disposé — et eux seuls — des
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rmet à l’homme de s’exprimer librement et donc de
prendre
publiquement ses responsabilités. L’homme libre et responsable, formu
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, féliciter vivement la Fondation Veillon d’avoir
pris
cette initiative qui est une création en son genre, et dont peut-être
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Rencontres internationales de Genève, qui avaient
pris
comme sujet « L’Esprit européen ». C’était au lendemain de la guerre.
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r notre Campagne d’éducation civique européenne a
pris
pour thème l’enseignement de l’écologie à l’école. J’ai senti qu’il y
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dée des circonstances dans lesquelles mon livre a
pris
naissance, sans rappeler une soirée mémorable chez un ami, Erico Nico
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conomie en eût été complètement bouleversée —, je
prenais
l’image d’une grosse boule de pierre déposée sur le pont d’un bateau
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allégeances. J’ai l’habitude, je m’en excuse, de
prendre
mon cas personnel pour illustrer mon exposé. Je suis né dans l’ancien
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idences historiques qui m’ont toujours empêché de
prendre
l’économie comme base de la construction européenne. Je voudrais que
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ntières — et les questions économiques, pour n’en
prendre
que trois. J’ai trouvé, et vous pouvez facilement le vérifier, que le
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abilité des langues est de l’ordre du millénaire.
Prenons
le triangle dont le sommet est Belfort, et dont la base va du Val d’A
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sa part, il répète cette phrase : « Vivre, c’est
prendre
des risques ! » Il s’agit de savoir quels risques on prend. Nous ne p
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risques ! » Il s’agit de savoir quels risques on
prend
. Nous ne prendrions pas le risque ni les uns, ni les autres, de saute
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s’agit de savoir quels risques on prend. Nous ne
prendrions
pas le risque ni les uns, ni les autres, de sauter du 50e étage d’un
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rs que de Neuchâtelois et de Suisses additionnés.
Prenons
l’exemple de la génération qui compte 32 ancêtres d’Henri de Rougemon
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rsonne ne se prouvant libre qu’à la mesure de ses
prises
de responsabilités dans la communauté, cela ne peut se faire pratique
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s, en 1946, après six ans d’absence, ç’a été pour
prendre
la parole aux Rencontres internationales de Genève sur « l’Esprit eur
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éenne se résume d’une manière exemplaire dans les
prises
de position successives de J.-P. Sartre. Dans le texte qu’il m’avait
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syndicalistes et des représentants des Églises —
prennent
l’engagement solennel d’appuyer de tous leurs efforts la création d’u
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es mêmes angles de vision. Et c’est tout cela qui
prend
la place principale dans nos conversations, discussions politiques, é
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es de l’automatisation tirent de ces chiffres. Je
prendrai
la plupart de mes données dans un très long article de Business Week
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cipiter vers un avenir dont nous n’avons pas même
pris
le temps d’évaluer les enjeux humains, obsédés que nous sommes par de
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nos industries. Je demande à savoir pourquoi l’on
prend
ce risque, de dimension sans précédent dans toute l’histoire des civi
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comment il avait été perçu. Si les notes que j’ai
prises
pendant qu’il parlait sont exactes, John Hellman voit dans le personn
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res devant nous. Tout d’un coup, Artaud s’arrête,
prend
un objet dans sa poche et en fait jaillir une lame brillante. Le visa
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ondre… Attendez… Michaux est très mince… » Je lui
prends
le bras doucement. Il est haletant, sa bouche écume. « Comment allez-
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j’ai été m’asseoir à son côté. Je le salue. Il me
prend
la main. Moment de silence. Puis il dit, devant lui, sur un ton crisp
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d, sur le quai de la gare de Berne, où nous avons
pris
rendez-vous. Il arrive, lentement, poussant son vélo à la main, louvo
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clé ! Le téléphone sonne toujours, là-dedans ! Je
prends
la valise, je la secoue, cela décroche l’appareil, moi je peux parler
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leur auteur. Dans le premier temps, Montaigne se
prend
pour sujet : « Je me suis présenté moi-même à moi, pour argument et p
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e, cours légal… Le mensonge se cache si peu qu’il
prend
figure de convention universellement reçue ». Dans une telle crise —
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’un théâtre, tout n’y est que masques ! Montaigne
prend
alors le parti de l’être vrai, de son identité foncière aux prises av
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arti de l’être vrai, de son identité foncière aux
prises
avec le mensonge universel. Mais il ne la connaît d’abord que par la
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ne », Starobinski baisse le masque du critique et
prend
la parole en son nom. Ce passage est pour moi bien émouvant. Je cite
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ejetait en bloc fascisme et communisme, mais s’en
prenait
aussi aux démocraties occidentales qu’il jugeait rongées de l’intérie
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mander à Denis de Rougemont de préciser certaines
prises
de position de l’époque, de les revoir dans le climat intellectuel d’
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État », chère à Marx. Il y a notamment beaucoup à
prendre
dans les écrits du jeune Marx, que nous avait révélés Arnaud Dandieu,
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s aussi petites que possible où le civisme puisse
prendre
un sens concret, actif, c’est-à-dire où le citoyen soit appelé à se p
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ents de communauté qu’il présentait, des éléments
pris
par malheur au plus bas, par exemple dans la race, ce qui ne nous ava
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dans le vide. Je dois inventer mon sentier. Si je
prenais
les routes nationales, j’arriverais au mieux à la capitale, avec un p
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tant que lieu où n’importe quel homme libre peut
prendre
ses responsabilités, d’abord en paroles, puis, s’il convainc, si un g
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surtout ils peuvent s’occuper de leurs affaires,
prendre
en main leur destin, ce qui est exclu dans les grands États. Autremen