1
obligatoires.) Les subventions à la culture
Prenons
un exemple précis. Dès qu’il s’agit de créer un institut de recherche
2
t pour informer une manière de penser européenne.
Prenons
trois exemples précis. Notre Commission des historiens a cessé de se
3
t brochures. La Commission universitaire n’a pas
pris
corps, des plans analogues au sien ayant été annoncés de divers côtés
4
résenter leur rapport, en sorte que chacun pourra
prendre
une vision plus claire de ce que font les autres, ainsi que de l’ense
5
la discussion. Après quoi les auditeurs pourront
prendre
la parole. Le public pourra être admis dans les tribunes à certains d
6
s depuis longtemps qu’elle se déclare. Nous avons
pris
sur elle six ans d’avance ( congrès de Montreux, 1947). Normalement,
7
ue d’union, appellent dangereusement l’Amérique à
prendre
en main le sort de débiteurs chroniques. Déjà, dans plusieurs de nos
8
il a formé 3 commissions de savants (dont l’une a
pris
l’initiative du Laboratoire européen de recherches nucléaires), lancé
9
d’en commenter certains thèmes dominants. Mis aux
prises
avec un problème, l’esprit latin exige quelques définitions, l’esprit
10
omment ce modèle d’un système politique fédéral a
pris
naissance en 1848 ? Jusqu’à cette date, la Suisse n’était qu’une alli
11
tout angoisse de perdre son identité. Elle a donc
pris
les caractères cliniques d’un complexe. D’où la difficulté, pour ceux
12
ns internationales existantes (telles que l’OTAN)
prennent
aujourd’hui les décisions principales et le peuple n’a sur elles aucu
13
s réussies. L’ambition du Centre est d’agir. Il a
pris
au sérieux l’action européenne. Il voit qu’elle commence dans les cou
14
e paradoxe s’explique d’une manière assez simple.
Prenons
l’exemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritures « qu’i
15
oduite par sa foi, c’est-à-dire par sa certitude.
Prenons
ensuite l’exemple de l’homme scientifique. Celui-ci lit l’histoire de
16
borer en commun. ⁂ L’influence des Amis du Centre
prendra
des formes multiples et en partie imprévisibles, selon ce que chacun
17
la cause de l’union de nos peuples. Une série de
prises
de contact préalables aboutit à la convocation d’une quinzaine de per
18
ormais le champ de ses activités, l’association a
pris
une série de décisions pratiques, tendant toutes à manifester l’espri
19
te d’attaque nous est connue… Toutefois, ceux qui
prendront
connaissance de l’histoire de notre pays… pourront voir à quel point
20
hypothèses de travail, non pas d’un plan rigide à
prendre
ou à laisser. A. Séminaires Examinons d’abord la possibilité d’u
21
de Genève, l’extension des liens culturels allait
prendre
« un énorme essor ». Et Cholokhov ajoutait : Les écrivains du monde
22
ractère limité et technique, dans les précautions
prises
de part et d’autre pour empêcher qu’elles ne se transforment en abusi
23
mporté d’Allemagne, rendues obligatoires. Le tsar
prenait
plaisir à organiser d’indécentes parodies de processions ecclésiastiq
24
erres napoléoniennes, la Russie va se trouver aux
prises
directes avec l’Occident. Les officiers russes qui ont vu l’Europe re
25
irituelle déclenchée par le romantisme ; elle y a
pris
part, elle l’a continué, elle n’a rien désavoué de son héritage. La m
26
adition occidentale moderne. La philosophie russe
prend
son point de départ dans Schelling et dans Hegel, la science ne saura
27
complémentaires. La connaissance intime que l’on
prenait
de l’Occident ne faisait, du reste, que seconder celle de la Russie.
28
l’insomnie. On n’arrivait plus à travailler ni à
prendre
du repos. On hésitait entre l’angoisse et le bâillement. Enfin on ouv
29
e, dont le professeur V. Arangio-Ruiz, de Rome, a
pris
la présidence, tandis que le professeur M. Mouskhély, de Strasbourg,
30
s par le sacré, la transmission des connaissances
prend
régulièrement la forme d’une initiation (au sens religieux ou magique
31
remier lieu l’élite virtuelle. À l’autre extrême,
prenons
le cas de l’URSS, dont la doctrine d’État, marxiste d’étiquette, bien
32
e monde où nous vivons paraît trop vaste pour nos
prises
et trop complexe pour notre jugement. L’individu se sent perdu dans l
33
peut les comprendre, son sens critique reste sans
prises
sur elles. Comment détecter leur action dans son existence quotidienn
34
té ou ses communautés locales. Car celui qui aura
pris
conscience de ce qu’il peut faire dans son rayon découvrira bientôt,
35
ctures et courants deviennent visibles. Il pourra
prendre
enfin, à son échelle, des décisions qui auront un sens, un prolongeme
36
alisation toujours plus poussée). L’instruction y
prend
toute la place, aux dépens de l’éducation. Il convient donc de se tou
37
variés de la culture (au sens très large où nous
prenons
le mot), voilà qui pose des problèmes passionnants pour le très petit
38
t partout en recul. Et l’idée d’un parti européen
prend
corps. Que manque-t-il donc encore pour que l’Europe se fasse ? Pour
39
es festivals, et foisonnement des entreprises qui
prennent
ce nom. Sur la définition d’un festival Les promoteurs de cette
40
e. Ce qui serait absurde, ce serait évidemment de
prendre
cette idée au pied de la lettre, dans un esprit « totalitaire » comme
41
cida en outre que le secrétariat du pool — lequel
prit
le nom d’Editeuropa — serait assuré par le CEC, selon les directives
42
vons ici une équation célèbre : E = mc2, que nous
prendrons
la liberté de lire comme suit : Europe = cap de l’Asie multiplié par
43
ommun ne sont pas nationales mais humaines, et ne
prennent
leur plein sens qu’à l’échelle de l’Europe, unité de civilisation. D’
44
se donnera. Seuls jusqu’ici, les communistes ont
pris
ce problème au sérieux, avec le succès que l’on sait. Dans les deux c
45
s actuels des moyens matériels de puissance aient
pris
au sérieux ce grand fait. Il ne serait donc pas réaliste d’exposer la
46
re « la cause de la liberté » ne doivent pas être
pris
au sérieux, et ne le seront pas, tant qu’ils n’auront pas décidé de c
47
États-nations ; une troisième entend fomenter les
prises
de conscience nécessaires et préalables à toute action commune, tandi
48
lites tout en informant les masses peut très bien
prendre
trop de temps et réunir trop peu de concours, face aux méthodes total
49
eut la méthode éducative et culturelle, mais cela
prendra
toute une génération. 2. Le Marché commun prévoit douze à dix-sept an
50
exige des choix sans équivoque, voire des partis
pris
polémiques. On ne fait rien de grand sans passion, c’est-à-dire sans
51
conformes ou non aux décisions qui pourront être
prises
ailleurs, et qu’il vous appartient d’influencer, si toutefois vous pa
52
l pas toujours ainsi ? Nous avons pensé qu’à tout
prendre
, le plus tôt serait encore le mieux. En fait, il s’agit aujourd’hui d
53
cette nécessité. Ils offriraient ces occasions de
prises
de contact personnelles avec l’avant-garde d’une science, en réunissa
54
le ? Justifie-t-elle le pessimisme à la mode ? Je
prendrai
tout d’abord l’exemple du disque. Le microsillon, créé aux États-Unis
55
érieuse donnée par la radio et la télévision. Je
prendrai
maintenant un autre exemple dans le domaine du livre. Depuis que je c
56
lupart, recrutés, détectés à domicile, et qui ont
pris
l’habitude de lire. Quant aux éditeurs, absolument hostiles au projet
57
ecteurs inconnus. Sur ce nombre, des milliers ont
pris
l’habitude d’acheter des livres aussi chez des libraires. Bien d’autr
58
urt à encourager les producteurs de mass médias à
prendre
une attitude générale de confiance envers le public. Il faut qu’ils r
59
its s’inspirant les uns des autres, plutôt que de
prises
de position « concrètes » face à la conjoncture historique et sociale
60
Il entend seulement nous donner une histoire des
prises
de conscience successives et contradictoires de notre unité de cultur
61
u animateurs de centres locaux de culture — ayant
pris
connaissance de nos tentatives, verront mieux non seulement les erreu
62
vers les vastes récoltes futures. (Quand rien n’a
pris
, le jardinier cherche à savoir pourquoi ; et s’il le trouve, il se ra
63
ous avons senti qu’ici ou là, quelques germes ont
pris
, et que telle méthode, désormais, peut être généralisée : ainsi dans
64
emise en question, l’Europe se voit contrainte de
prendre
une conscience neuve de ses buts généraux, et de ce qu’elle veut de l
65
ntiquité, Asie) la transmission des connaissances
prend
la forme d’une initiation, tandis que la formation morale et sociale
66
aux injonctions de la TV. b) À l’autre extrême,
prenons
le cas de l’URSS, dont la doctrine d’État, marxiste d’étiquette, bien
67
e doit choisir sans cesse, résister aux courants,
prendre
ses risques. On ne l’a préparée qu’à « voler de ses propres ailes ».
68
oi-même. Quel est le but de la discipline ?
Prenez
n’importe lequel de nos problèmes traditionnels ou modernes, sociaux,
69
re, la plus littéralement conforme au règlement :
prendre
la crosse en tournant avec la main droite, prendre le cran d’arrêt, m
70
rendre la crosse en tournant avec la main droite,
prendre
le cran d’arrêt, mettre en ligne le viseur, le point de mire et la ci
71
USA : « Comment devenir un bon citoyen ? » Je
prends
un manuel de civisme publié à New York en 1948 : We, the Citizens, pa
72
à Vienne au matin d’un voyage épuisant qui lui a
pris
trois jours au lieu des douze heures habituelles, et se rend aussitôt
73
à quel point les Polonais d’Amérique sont prêts à
prendre
fait et cause pour les Alliés, si ceux-ci garantissent la libération
74
-même de son échec, car il ne les oubliera pas et
prendra
le plus grand soin de les éliminer lorsqu’il lancera plus tard sa cam
75
te à prix. Dans la hâte de son départ, il n’avait
pris
sur lui que peu d’argent, comptant faire venir par la suite les fonds
76
e passer du Mexique aux États-Unis. (On lui avait
pris
tous ses papiers, à sa sortie de France.) Par son frère, professeur d
77
Il lui restait 4 dollars en arrivant au port. Il
prit
un taxi, dit au chauffeur de lui faire voir tout ce qu’on pouvait voi
78
nis avec 1500 dollars : comme la police les lui a
pris
en l’incarcérant, il ne peut prouver qu’il a de quoi vivre. Entre-tem
79
union de l’Europe. Mais Ernie Bevin, sollicité de
prendre
la direction de l’affaire, refuse, jugeant le projet « trop théorique
80
n dépit de toutes les précautions qui avaient été
prises
à Londres et en Italie, la présence de Retinger à Varsovie semble avo
81
roulait selon les plans. Les contacts avaient été
pris
dans la capitale et en province avec les responsables politiques et l
82
sous-voie, Retinger enjoignit à son compagnon de
prendre
la sortie réservée aux Allemands, qui était toute proche. Celt l’ayan
83
ains. Le dernier soir, un char de paysan vint les
prendre
. Deux hommes y avaient déjà pris place, et J.H.R. reconnut en l’un d’
84
ysan vint les prendre. Deux hommes y avaient déjà
pris
place, et J.H.R. reconnut en l’un d’eux M. Arciszewski, le futur Prem
85
rie était signalé, qu’un groupe d’aviateurs avait
pris
ses quartiers à deux kilomètres de là, et qu’un appareil de chasse s’
86
, passait par là, se rendant à Moscou, et voulait
prendre
connaissance de toute urgence de la situation en Pologne. Fin des
87
nstigation de Retinger, le général Sikorski avait
pris
l’initiative de grouper périodiquement les ministres des Affaires étr
88
vements pour l’Europe unie, qui était en train de
prendre
corps. Aucune décision formelle ne fut annoncée ce jour-là. Cependant
89
rchill, et de me donner sa réponse. M’ayant ainsi
pris
dans son jeu, il vint chez moi et me demanda de me charger de la part
90
dont certains remontaient à 1932. Je me trouvais
pris
au mot, littéralement. De février à fin avril, dans toutes les villes
91
’est accompli dans cet ordre, depuis douze ans, a
pris
son départ à La Haye. Le Conseil de l’Europe, conçu par ce Congrès, n
92
’est encore grâce à Retinger que l’idée réussit à
prendre
corps. Ses avis et ses interventions furent de loin les plus efficace
93
il répondit très vite comme on signale qu’on sera
pris
ce jour-là : « L’année prochaine, je serai mort » — et avec autorité,
94
st pas feinte, et n’admire guère que ceux qui ont
pris
la peine de briguer ses applaudissements, selon les règles publicitai
95
u 15 au 17 septembre 1961. Sa préparation n’a pas
pris
moins d’une année, consacrée à des voyages, à des contacts personnels
96
urope, ou entre les musulmans et l’Inde — pour ne
prendre
que ces trois exemples — sont de nature politique avant tout. Et que,
97
éséquilibres sociaux et psychologiques, suivis de
prises
de position défensives et fermées, ou revendicatives et propagandiste
98
is certains motifs varient de l’une à l’autre. Je
prendrai
ici, à titre d’exemple, les besoins spécifiques de la culture europée
99
ous nous bornerons donc à citer quelques exemples
pris
dans chaque catégorie d’activités, et donnant une idée de la variété
100
us, initient le dialogue nécessaire, parce qu’ils
prennent
pour sujet réel la confrontation des cultures, considérées dans leur
101
Afrique. La Fondation européenne de la culture a
pris
pour thème de son congrès annuel de 1959, à Vienne, la formation euro
102
hie, du droit et de la politique, etc. Nous avons
pris
pour guide, dans ce classement, l’utilité pédagogique. J’entends par
103
r ? Par un regroupement de ceux, d’abord, qui ont
pris
conscience de ces problèmes. Par des stages de discussion, d’informat
104
r établissement, leur ville, leur région dont ils
prendraient
l’initiative. Les textes que nous publions ici ne représentent qu’une
105
e est aujourd’hui. Ces données numériques, que je
prends
pour images, sont probablement vraies en gros dans le domaine des sci
106
e en tant que tels par le fait même qu’ils auront
pris
conscience de ce qu’ils ne peuvent se contenter d’être seulement des
107
u complexe européen ; — il faut que les Européens
prennent
l’initiative de coopérer à l’établissement d’un équilibre mondial, et
108
où ils ne se contentent pas d’écouter mais où ils
prennent
la parole ! Participer, ce n’est pas seulement prendre sa part, c’est
109
nt la parole ! Participer, ce n’est pas seulement
prendre
sa part, c’est aussi apporter sa part. Ce n’est pas seulement recevoi
110
iler, de les analyser, de les comprendre. Il doit
prendre
connaissance des chefs-d’œuvre, apprendre quand et comment ils ont ét
111
la religion qu’il suit ou qu’il a rejetée, ou ses
prises
de parti idéologiques et politiques, ou encore sa formation professio
112
vingt-cinq petits États suisses et bien leur en a
pris
. Mais les vingt-cinq États-nations européens, depuis le congrès de La
113
de côté les héritages du passé dont l’unification
prendrait
trop de temps, demanderait trop d’énergie, et soulèverait trop d’oppo
114
omène complexe et neuf, que nous voyons lentement
prendre
forme au seuil de ce dernier tiers de notre siècle, comme un visage d
115
ation des États européens. Le concept de région a
pris
une place considérable non seulement dans les préoccupations des soci
116
les, et que ses six États-nations membres y aient
pris
part. C’est l’arriération, le sous-développement de nombreuses région
117
ières, d’unités socioéconomiques plurinationales.
Prenez
la région lilloise, qui touche la Belgique. Vue de Paris, Lille est u
118
qu’ils acquièrent de la force : lorsqu’ils auront
pris
en fait (sinon en droit) plus d’importance économique et culturelle q
119
de notre société occidentale. À peine avons-nous
pris
la mesure des perspectives qu’il nous invite à explorer, notamment in
120
s nationalismes, et de cette religion civique qui
prend
la place de la foi chrétienne dans l’esprit des masses et la morale d
121
nification comme unités fonctionnelles. Si on les
prend
trop petites, le nombre et l’importance des fonctions économiques et
122
t bord. Les phénomènes majeurs qui ont motivé ces
prises
de conscience successives sont faciles à énumérer : a) la CEE, dès se
123
. La fédération des cent régions, d’après eux, a)
prendrait
trop de temps, b) poserait des problèmes trop complexes pour les inst
124
lles et virtuelles, recenserait leurs ressources,
prendrait
la mesure de leurs pôles de croissance, de l’intensité de leurs échan
125
raines aux régions fédérées sans transition. Cela
prendra
des décennies. Ce qui est urgent, c’est le prix du lait et le taux d’
126
problème d’éducation ou de recyclage qui va nous
prendre
au moins douze ans si nous commençons tout de suite. Il nous faut app
127
ile à comprendre, dans le concret de l’existence.
Prenons
l’exemple le plus simple. La Regio basiliensis s’étend sur trois pays
128
ue des enjeux municipaux ou provinciaux… ». Voilà
pris
en flagrant délit l’abus du terme politique et de l’adjectif politisé
129
o ». J’éprouve la nécessité d’analyser quelques «
prises
» opérées sur l’immédiate réalité civique européenne, dans l’espoir d
130
omment cela se traduit dans la réalité du siècle.
Prenons
le problème majeur de l’écologie. C’est décidément la droite patrona
131
encore que de la bourgeoisie que traduisaient les
prises
de position pro-Est des jeunes gens de l’Ouest de Paris ?) Mais au fa
132
les réalités proprement politiques d’aujourd’hui.
Prenons
l’exemple des réalités écologiques. Dès lors que les hypothèses calcu
133
s. L’acte politique par excellence va consister à
prendre
, au nom de l’humanité, un ensemble organique de décisions conservatoi
134
é des chefs des offices fédéraux, sera capable de
prendre
de telles décisions. Or, il n’y aura de gouvernement européen que sur
135
e. Il faut que les relations proches et concrètes
prennent
le pas sur les relations schématiques et légales avec la capitale — l
136
historien futur l’évolution de l’union européenne
prenne
jamais la forme d’une chaîne de « Sommets », ou d’une route si riche
137
olitiques, au contraire, proposent aux régions de
prendre
en main leurs destinées, car sinon personne n’y songera. Les premiers
138
ose qu’il convient de louer, à condition que l’on
prenne
bien soin de ne pratiquer que la prudence. Les seconds estiment avec
139
mmédiatement aux lèvres est celle-ci : Qui pourra
prendre
ces décisions et les imposer ? Un gouvernement mondial ? Il n’existe
140
isation de collectivités agrandies hors de toutes
prises
de l’individu, la différenciation sécurisante de petites communautés
141
une définit une région réelle, selon sa fonction.
Prenons
l’exemple d’une région à constituer autour de Genève. Genève est une
142
t avec les autres régions de l’intérieur pourront
prendre
la forme d’associations, d’abord privées, s’étendant à tout le contin
143
ue l’histoire porterait sur son retrait ». « J’ai
pris
la bonne sortie devant l’histoire », ce thème revient dix fois dans l
144
capitale, c’est-à-dire le plus loin possible des
prises
concrètes, de ceux qui en subiront les conséquences. Quelles sont, pa
145
x de participation où des citoyens puissent enfin
prendre
en main leurs affaires communes — qu’il s’agisse de réalités culturel
146
t, existentiellement, concrètement, au fait et au
prendre
: si l’homme moderne vit dans l’angoisse parce qu’il sent que « tout
147
éfinie en ce point comme l’ensemble des mesures à
prendre
pour lutter contre l’entropie, dans les limites du destin de l’homme
148
e façon sans nous, sans notre action, hors de nos
prises
, « parce que c’est nécessaire, si ce n’est pas raisonnable » ainsi qu
149
qu’il manipule un avenir réel ? (D’autant qu’il a
pris
soin d’introduire dans le modèle quelques bribes de réalité d’un futu
150
être aussi bien baptisée subjective, puisqu’elle
prend
son appui dans l’homme sujet de l’Histoire. La futurologie serait alo
151
, et à quelle heure il faudra que je me lève pour
prendre
le train ou l’avion : elles n’ont pas à me dire que je le prendrai en
152
ou l’avion : elles n’ont pas à me dire que je le
prendrai
en vertu de leurs statistiques. Car je n’ai pas à deviner mais à déc
153
’un avenir qui serait déjà déterminé, hors de nos
prises
, et que nous n’aurions qu’à subir. C’est l’art d’aménager des chemins
154
de l’espèce ou d’un groupe. Mais elle reste sans
prises
sur une mécanique : là, il s’agit de savoir, ou d’avoir su ; et « l’i
155
’essayer de faire le point — très provisoire — je
prendrai
le sujet de la modernité, comme le prétexte d’une nouvelle approche,
156
rt de ce terme.143 B. Mon second exemple sera
pris
au niveau macroscopique du contact de l’Europe et d’un empire, la Chi
157
eçu de l’Europe ? et qu’en fait-elle ? La Chine a
pris
d’abord l’idée de révolution, qui est bien l’idée la plus contraire à
158
me. Il semble bien que Mao en ait vu le danger et
prenne
des mesures pour immuniser son peuple, si l’on en juge par l’une des
159
, peut-être, le croisant dans la rue, l’aurais-je
pris
pour un homme dur et violent. Mais à l’entendre parler… » l’auteur se