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ail, sentiment de la journée vide, du temps qui a
pris
le rythme des vies simples. Et la nuit retrouvée, la vraie nuit noire
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s qu’on la pose dans le concret d’une vie connue.
Prenons
deux hommes qui furent tous deux de prodigieux producteurs d’idées ;
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istraite et vraie d’un être isolé près de moi. Je
prends
le métro, malgré l’odeur de buanderie et ce relent de fauves de certa
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s fort de cet article et s’est lâchement refusé à
prendre
la défense de ma vertu et de mon honneur vilipendés. Il s’en fiche, i
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n peu mesquines. Donc, cette dame de Romorantin a
pris
en main ma cause méprisée et, s’adressant courageusement à mon auteur
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de décrire une poule noire, savez-vous qu’il s’en
prenait
en vérité à la petite épargne, aux petits rentiers ! C’est ce que per
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ampe fait une flaque rose. « Je ne trouve pas les
prises
! explique-t-elle, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salo
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rsonnes peuvent à peine se croiser. L’angoisse me
prend
chaque fois que j’y pénètre. (Rappel inconscient de la naissance, me
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n à celle de son client. « Si ces deux hommes ont
pris
ensuite des chemins opposés, le départ est le même », affirme l’avoca
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nfaillible führer suisse. On lui répond que ça ne
prend
pas, que j’ai fait exactement le contraire. On me fusille et on le pe