1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
1 ail, sentiment de la journée vide, du temps qui a pris le rythme des vies simples. Et la nuit retrouvée, la vraie nuit noire
2 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
2 s qu’on la pose dans le concret d’une vie connue. Prenons deux hommes qui furent tous deux de prodigieux producteurs d’idées ;
3 istraite et vraie d’un être isolé près de moi. Je prends le métro, malgré l’odeur de buanderie et ce relent de fauves de certa
3 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
4 s fort de cet article et s’est lâchement refusé à prendre la défense de ma vertu et de mon honneur vilipendés. Il s’en fiche, i
5 n peu mesquines. Donc, cette dame de Romorantin a pris en main ma cause méprisée et, s’adressant courageusement à mon auteur
6 de décrire une poule noire, savez-vous qu’il s’en prenait en vérité à la petite épargne, aux petits rentiers ! C’est ce que per
4 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
7 ampe fait une flaque rose. « Je ne trouve pas les prises  ! explique-t-elle, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salo
5 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
8 rsonnes peuvent à peine se croiser. L’angoisse me prend chaque fois que j’y pénètre. (Rappel inconscient de la naissance, me
6 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
9 n à celle de son client. « Si ces deux hommes ont pris ensuite des chemins opposés, le départ est le même », affirme l’avoca
10 nfaillible führer suisse. On lui répond que ça ne prend pas, que j’ai fait exactement le contraire. On me fusille et on le pe