1 a Deuxième Guerre mondiale. « Écrivain engagé » a pris couramment le sens d’écrivain procommuniste ou gauchiste, beaucoup pl

2 intellectuels embrigadés. D’où la colère qui nous prend , à Esprit comme à L’Ordre nouveau devant la rapide dévalorisation

3 ’artiste, du savant et du militant qui consiste à prendre appui, en se définissant par rapport à l’Europe, sur les civilisation

4 urope rêvée, « décentralisée et fédérative », qui prendrait ses modèles, plutôt que « du pouvoir centralisé de la France absoluti

5 ité, les Pères ne trouvaient pas de mot grec. Ils prirent alors le terme romain de persona, qui avait signifié d’abord le masqu

6 vitablement de ces propositions. Le civisme c’est prendre ses responsabilités ; c’est agir en homme libre dans la société, cess

7 ifficilement évitable, dans la mesure où seraient pris au sérieux les propos de l’ancien Premier ministre.) M. Debré poursui

8 osés par notre union22. Le français a rapidement pris une position dominante dans les Six et il l’a conservée même depuis l

9 ussi son départ ». Il disait par exemple : « J’ai pris la bonne sortie devant l’histoire, parce que j’ai attiré l’attention

10 ce qu’en pense le tiers-monde.) En fait, si nous prenons un peu de recul pour considérer le phénomène dans son ensemble, c’est

11 e, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, a pris soudain des proportions à ce point alarmantes que les gouvernements d

12 ale et de sa police se heurtent les tentatives de prises de responsabilités régionales. 4. Or, au-delà des exigences écologiq

13 mène européen peut être décrit comme résultant de prises de conscience successives, nées chaque fois de l’émergence d’une mena

14 lue, constitué sous Philippe le Bel et qui allait prendre sa forme la plus radicale lors de la substitution de l’État au Roi en

15 . J’ai demandé qu’on me donne une preuve que l’on prend la culture au sérieux, qu’elle n’est pas un simple ornement. J’ai pro

16 e paraît résumée d’une manière exemplaire par les prises de position successives de J.-P. Sartre. Sur ma demande, il avait env

17 aël ajoute une exigence encore plus neuve, et qui prend de nos jours sa plus brûlante actualité : c’est dans la préface De l’

18 taël n’a pas prévu que l’économie, au xxe siècle prendrait le pas non seulement sur la culture, mais sur la morale, et que c’est

19 son Idéologie française M. Bernard-Henri Lévy me prend à partie nommément à une douzaine de reprises, sur la foi de citation

20 te en premier lieu « cette nausée, ce dégoût, qui prend à la gorge le peuple des petits devant des “parlementaires ventrus” e

21 me irresponsable est la masse agglomérée, — qu’il prend pour une « communauté » ? (J’ai écrit souvent dans les années 1930 :

22 le les attaques dont il a été l’objet, pour mieux prendre sa défense. La présence de Mounier parmi les « idéologues » du fasci

23 s : impies (Ostervald), crapules (TOB). 59. On a pris l’habitude d’appeler « génération des années 1930 » celle qui lança d

24 t national d’abord 1. Le cas de la France Prenons ce pays de la clarté pour illustrer de manière exemplaire une situati

25 e fédérée ? Il résulte de cette situation que les prises de position des partis « nationaux » et des verts allemands, dans la

26 jectivement, qu’ils le veuillent ou non, avec des prises de position soit pour l’Europe « impossible » des États-nations, soit

27 s plus spécialement. Le mot natio au xiie siècle prend un sens très précis, désignant au sein et autour des universités où l

28 u partout à façonner les nations. Ces nations ont pris conscience d’elles-mêmes dans l’affrontement des États. » (p. 68) « O

29 entir la nécessité impitoyable de ces confusions. Prenons encore nos exemples dans Littré, indicateur bien plus naïf, donc plus

30 t-pourri conceptuel, c’est vouloir, au fait et au prendre , l’une des trois solutions que voici : — une amicale des misanthropes

31 manière risquent de provoquer en s’aggravant des prises de conscience inquiétantes. Certains modèles de dépassement de l’État

32 e militaires au loin. Elle est déterminée par ces prises de conscience imprévisibles, survenant dans des groupuscules d’où sor

33 t puis tout s’est détendu quand notre président a pris la parole pour dire que les propos de Georges Nivat lui avaient suggé

34 inir la culture commune des Européens, c’est pour prendre mieux conscience de ce que l’Europe a fait dans le reste du monde, en

35 tes, notre civilisation scientifico-technique. Je prends le DDT comme exemple typique de cette ambivalence de notre science. A

36 de notre manifestation fondatrice, qu’il y avait pris part parmi les délégués français, et que bien des décisions qui ont f

37 ons qui ont fait l’histoire du xxe siècle furent prises ici. Et il ajoutait un peu plus tard à Strasbourg, devant le Parlemen

38 nt après la fin de la guerre, l’idée européenne a pris forme, c’était au congrès de La Haye. J’y étais et j’y croyais. » Le

39 es forces vives de toutes nos nations. 5. Et nous prenons de bonne foi l’engagement d’appuyer de tous nos efforts, dans nos foy

40 nd E vert sur fond blanc. Après quelques jours de prises de contact avec une cinquantaine de « délégués » — puisqu’ils ne sont

41 les que je les ai vécues, et dans l’ordre où j’en pris connaissance. Il s’agit de mes Lettres aux députés européens et de

42 n ne peut rien faire sans elle. » C’est qu’ils se prennent pour l’opinion, qu’ils ont négligé d’écouter. Tous les sondages préci

43 fait d’une importante fraction de l’Assemblée, et prit le nom de Conseil de vigilance. Sur une initiative dont, aujourd’hui,

44 urs que « l’aide américaine » les dispenserait de prendre les risques. 4. La Marche sur Strasbourg. Mais l’odyssée des 6000 je

45 ntants des souverainetés nationales — qui avaient pris soin de lier son sort à celui de la CED, comme on vient de le rappele

46 les préoccupations culturelles du CE n’ont guère pris force qu’à partir de 1953, c’est-à-dire là aussi à la suite de la sér

47 ure ». Encore faut-il que le verbe commencer soit pris ici dans toute la force de son sens d’initiation, d’instauration, de

48 ise en marche ; et que le concept de culture soit pris au sens actif de création (non de consommation ni d’ornement) ; au se

49 ’historien Arnold Toynbee.v Des groupes d’études prirent la suite de cette table ronde, à Strasbourg, en mars 1956, chargés de

50 éenne des objectifs culturels susceptibles d’être pris en compte dans leur politique en tous domaines et de contribuer ainsi

51 puis. On dirait que les Européens, désormais, ont pris l’habitude du sur-place ; qu’ils ont pris leur parti d’avoir passé un

52 is, ont pris l’habitude du sur-place ; qu’ils ont pris leur parti d’avoir passé un tiers de siècle à ne plus avancer, à parl

53 s encore voulue, mais qui consiste, au fait et au prendre , à confier l’union à deux organisations dépourvues de tout lien const

54 Vers quoi tend cette prise de conscience ? Qui va prendre l’initiative d’en tirer d’immédiates conclusions ? Qui est le mieux p

55 te Ligue du Gothard avec des gens que nous avions pris à droite et à gauche conformément à ma philosophie « ni gauche ni dro

56 comme on dit en anglais : un cadeau du ciel. J’ai pris un avion pour la première fois de ma vie, ou à peu près. Superbe trav

57 résume, la puissance, c’est le pouvoir qu’on veut prendre sur autrui, la liberté, c’est le pouvoir qu’on veut prendre sur soi-m

58 r autrui, la liberté, c’est le pouvoir qu’on veut prendre sur soi-même. Voilà, je crois que je n’ai rien à ajouter là-dessus. J