1 e les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un climat de m

2 t de se rendre à l’évidence ; décidément, cela ne prenait pas, cela n’entrait pas dans les coutumes germaniques. Alors parut M.

3 qui ne cesseront de venir jusqu’au Jour éternel ! Prenons notre régime de vie tendue ; il suffit de savoir ce qui compte, et qu

4 té stellaire, comme tous aménagements personnels. Prenons la situation telle qu’elle s’offre en Allemagne et aujourd’hui, aux y

5 e au rang de grande puissance d’invention — et je prends le mot puissance au sens de potentiel. Si elle doit cesser demain de

6 dulés par des effectifs considérables. Il faut en prendre son parti : l’ère des militaires a pris fin le 6 août à Hiroshima. L’

7 aut en prendre son parti : l’ère des militaires a pris fin le 6 août à Hiroshima. L’arithmétique élémentaire qui suffisait à

8 ue, même de bon sens, et j’ai quelques raisons de prendre la France plus au sérieux, plus au tragique, que les chiffres stupide

9 geste naturel, et partir annonce revenir comme on prend un billet d’aller et retour. La poésie des voyages a vécu, la tragédi

10 de l’enfermer dans sa misère. Ces deux dernières prises de position, minoritaires sans doute, mais seules capables de définir

11 train d’adopter l’attitude ferme qu’il eût fallu prendre , et maintenir en dépit des Anglais, de 1919 à 1938 ? N’est-on pas en

12 « péril allemand » d’une tout autre nature ? J’en prends le risque. Voici les faits tels que je les vois. Un glacis désolé

13 dentes, j’indiquerai leur possible élargissement. Prenons les Quatre Libertés proclamées par Franklin Roosevelt : elles suppose