1 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
1 eux chemin, mouvement indéfini. C’est pourquoi je prendrai les routes d’Amérique comme un symbole du rêve et de la volonté du No
2 une curiosité rêveuse. Mais soudain le regard est pris par un panneau rutilant sur la droite, puis mitraillé à bout portant
2 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
3 du village, la route bifurque : l’une des routes prend à droite, vers la plaine, escortée de quelques maisons ; l’autre s’in
4 ais arrêté à cet endroit, hésitant sur la route à prendre . Et soudain je vis à mes pieds, tracé à la craie sur le sol, un grand
3 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
5 nfaillible führer suisse. On lui répond que ça ne prend pas, que j’ai fait exactement le contraire. On me fusille et on le pe
4 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
6 nt les savants, les poètes et les philosophes qui prendront enfin la parole. (Ils auraient dû la prendre les premiers.) Et M. Spa
7 ui prendront enfin la parole. (Ils auraient dû la prendre les premiers.) Et M. Spaak, seul homme d’État invité à la conférence,
5 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
8 un laboratoire de recherches nucléaires, pour ne prendre que cet exemple. Mais qu’on ne dise pas qu’elles sont trop petites po
9 it des mêmes réalités spirituelles et morales, et prend ses sources dans les mêmes attitudes de pensée que la culture créatri
6 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
10 Il se souviendra toujours du choc. Un mythe avait pris corps… “J’ai lu votre bouquin sur la bombe atomique”, dit le père de
11 vres, un de ceux qui a fait, avec simplicité, les prises les plus sensationnelles. Quelque chose m’inquiète, dis-je. L’Amour
12 nt épuisées. Elles ne font, pour l’essentiel, que prendre ce que nous leur donnons. Mais si nos mythes sont morts… Ils sommeill
13 é une forme nouvelle. Cette forme lui a permis de prendre un envol extraordinaire. Croyez-vous que l’étude systématique du xie
7 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
14 e est aujourd’hui. Ces données numériques, que je prends pour images, sont probablement vraies en gros dans le domaine des sci
15 e en tant que tels par le fait même qu’ils auront pris conscience de ce qu’ils ne peuvent se contenter d’être seulement des
8 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Stampa, vieux village… (15-16 janvier 1966)
16 es théories bien saugrenues, et nous sommes allés prendre un verre sur la terrasse du Café de la Poste, au grand soleil. J’écri
9 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
17 ré à l’Office of War Information, où je venais de prendre un poste. J’écrivais deux longs textes par jour : « La Voix de l’Amér
10 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
18 tes à la politique d’un parti, quand il s’agit de prendre une position publique. L’engagement supposait à mon sens tout le cont
19 dit : quelle peut être aujourd’hui, au fait et au prendre , la responsabilité de l’écrivain dans la cité ? ⁂ Responsable est cel
11 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
20 nstituer dans différentes universités. Nous avons pris contact avec des historiens, des professeurs d’enseignement secondair
21 Heuer et Christian Roux-Petel. Cet entretien, qui prend ici la forme d’un long propos rapporté, non d’un échange de questions
12 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
22 tus majeures de l’œuvre entière : Victor Hugo se prenait pour un pape, Lamartine pour un homme d’État et Barrès pour un généra
23 rte : la poésie lui semble chose si grave qu’il a pris le parti de se taire. Je ne sais s’il est vrai que les hommes de lett
13 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
24 e occidentale, dans l’une de ces cités d’Ionie où prit naissance la dialectique de notre histoire, Héraclite écrivait cette
25 s tous, c’est notre mal et notre bien, il faut en prendre son parti, et c’est là-dessus qu’il faut bâtir notre union, si l’on v
14 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
26 se trouve posé par la soudaineté d’un afflux qui prend l’allure d’un raz de marée, et par le motif principal de cet afflux,
15 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
27 , dirent les observateurs. Mais ici le personnage prend ses vraies dimensions qui sont celles d’une glorieuse ambiguïté et d’
16 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
28 ns. Mais comment pourrait-il en aller autrement ? Prenez le Petit Littré, qui est encore le dictionnaire de référence des Fran
29 oyez pas la vraie réalité parce que vous êtes aux prises avec l’administration. La réalité, c’est tout le système scolaire. Ma
30 locaux. Le fédéralisme doit commencer à la base. Prenez le couple : la femme et l’homme doivent exister à la fois pour soi et
17 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Merveilleux Lavaux (23-24-25 décembre 1972)
31 us y contribuent. Mais, parallèlement, les images prennent la parole. L’objectif de Michèle Duperrex, qui donne peut-être le ref
18 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
32 lle. Et c’est cela, précisément, qui m’autorise à prendre la parole parmi vous. […] Quelques-uns de ceux qui sont ici ce matin,