1 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
1 e qui n’imposera le silence à personne, mais fera prendre les armes à quelques-uns. Phrase cardinale, au seuil de l’ère révolut
2 ierkegaard4. Désormais, nous les retrouverons aux prises à tous les degrés de notre activité. Ainsi, le plus profond antagonis
3 le pourraient-ils ? Car il faut qu’un idéal ait «  pris corps » pour qu’il devienne « applicable ». On ne crée rien de vivant
4 re de la solitude. Une pensée et une vie sont aux prises  : qu’on les laisse donc seules à ce débat silencieux et obscur comme
5 Marxisme et Religion.) 7. « Et l’ange me dit : «  Prends le livre et avale-le. » Ainsi Jean reçoit le pouvoir de prophétiser.
2 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
6 udente à quoi l’on reconnaît l’intellectuel qui a pris son temps. Mais ce temps, où le prendre en conscience, et à qui ? De
7 ectuel qui a pris son temps. Mais ce temps, où le prendre en conscience, et à qui ? De toutes parts ce serait trahir. Si l’on v
3 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
8 sez exactement une faiblesse de cette œuvre, qu’à prendre celle-ci dans sa totalité, l’on découvre constitutive. D’autres poète
4 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
9 ngage. (Exemples : vocation, au sens strict où je prenais le mot, ne signifie pas « message », ni « impression » ou même « fort
5 1946, Présence, articles (1932–1946). Le Nœud gordien renoué (avril 1946)
10 s. Et si personne n’en veut, il est à moi ! Je le prends  : il est ma liberté… Celui qui murmurait parfois : — C’est consolant 
11 de le refaire, de le comprendre ou de s’y laisser prendre , c’est-à-dire de connaître ou d’aimer. ⁂ On ne peut opposer au mythe
12 tout espoir perdu, on sollicitait son conseil. Il prit la corde qui servait de ceinture à sa pauvre robe. Il en fit une bouc