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u, à discuter ici la question des humanités. Nous
prendrons
le mot humanisme au sens plus général, non moins précis, qui désigne
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le du monde. Et l’antagonisme des deux attitudes
prend
une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux volon
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dire sur l’invisible, contre toute vraisemblance.
Prenons
des exemples concrets. Un chrétien qui contracte une assurance sur l
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d’un récit, la marque de la vie et des passions ?
Prenons
, à peu près au hasard, l’exemple de Marc, chapitre 16. De ce que l’an
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u monde, c’est la promesse de celui qui a dit : «
Prenez
courage, j’ai vaincu le monde. » — Christ est ressuscité. Il est viva
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u’on nous propose, entre socialiste et chrétien ?
Prenons
bien garde ici au sens des mots : protestation et justice. Oui, ces m
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ppelle la grande presse, et qui voudrait se faire
prendre
pour l’opinion publique, alors qu’elle n’est en fait que l’opinion de
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si ne peut-on lire ces méditations sans se sentir
pris
à partie et directement engagé par les réactions et les réponses qu’e
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est révélé à nous en Jésus-Christ, exige que nous
prenions
les exigences de Dieu vraiment au sérieux, que nous « laissions Dieu
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l’accent sur le devoir plutôt que sur les droits.
Prenons
l’exemple de l’armée : les règlements militaires ne fixent pas les dr
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l’abri de la nécessité, ne signifie pas que l’on
prend
pour but la prospérité, mais que l’on demande la possibilité matériel
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poque. Je pense qu’avec la guerre, cette époque a
pris
fin. Et je fonde cette croyance sur quelques faits. C’est un fait que
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eler, tout ce système de gênes où l’élan créateur
prend
son appui. Voilà sans doute pourquoi les premières générations du xxe