1
sant à une vanité profitable autant que vulgaire,
prend
l’aspect d’une assez prétentieuse modestie. Comment, après cela, l’au
2
liaient à la campagne, se ceinturent d’usines, et
prennent
aussitôt cette fièvre caractéristique des organismes humains isolés d
3
mposé. Passant à la limite du sentiment, là où il
prend
une valeur d’acte ou de jugement, l’on peut symboliser l’opposition d
4
les secondes voix de Schumann. Mais la crainte me
prend
qu’on aille chercher en ces remarques je ne sais quelle défense d’un
5
passé imaginaire, ou peut-être pour essayer de se
prendre
encore au rêve de valse qu’on était venu chercher parce que cela vaud
6
que moi, il n’entend pas ma question. L’envie me
prend
d’aller le rejoindre. Me voici tout abandonné à l’évocation d’un amou
7
enir entre la réalité de ma vision et mon cerveau
pris
au défaut de sa carapace de principes et d’évidences opaques. Nous so
8
d refusa obstinément de progresser. Gérard dut le
prendre
sous le bras, et les paires de pinces s’accrochèrent désespérément à
9
t vraiment gentils ! » Il n’y avait plus qu’à lui
prendre
chacun un bras, une femme pour deux hommes — et ce fut bien dans cett
10
es. Gérard bâillait : « Voilà ce que c’est que de
prendre
des femmes au hasard, disait-il. Je sens très bien que nous allons no
11
t ne savent plus ce que c’est que le plaisir. Ils
prennent
au hasard des liqueurs qui n’ont pas été préparées pour leur soif. Il
12
. Il en demanda donc une petite portion et la fit
prendre
au homard avec toutes sortes de soins. Les chauffeurs regardaient d’u
13
rdinaux du xviiie , — de cet air mystérieux qu’on
prend
ici à rester seul. Il faudrait se cacher dans les plis de ces hauts r
14
fin, serré dans un petit manteau, visiblement aux
prises
une fois de plus, avec le dilemme hamlétique, — celui pourtant, depui
15
, et ceux qu’elle baigne d’une grâce furtive sont
pris
du désir d’adorer. Du sein de tant de contraintes polies et dans la p
16
se presse au bar assourdissant et les visages se
prennent
à vivre, dangereusement. Ô fête d’une époque où tout ce qui vaut qu’o
17
’ai vu. On passe une barrière, une cour vide ; on
prend
le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont les arbuste
18
si toutefois perdre conserve ici le sens qu’il a
pris
dans ce monde, — j’entends : leur monde, avec leurs « problèmes du pl
19
à Bude, est une place vraiment royale. Vide, elle
prend
toute sa hauteur. Silencieuse, solennelle de nudité, entre le Palais
20
s ne renient pas leur romantisme. Quelle revanche
prendrait
la Hongrie, sur une Carte du Tendre d’après le traité de Trianon ! Ce
21
ons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot
prend
des photos, Gyergyai fouille la plaine à la longue-vue et rêve qu’il
22
e ». J’attends, j’appelle quelqu’un qui vienne me
prendre
par la main. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout ce qu’elle
23
s, pieux mensonges du cœur qui traduisent, à tout
prendre
, une vérité particulière plus importante que cette vérité générale do
24
te, élargie en cet endroit, avant l’écluse qui la
prend
de biais sur la droite. Un nageur passe à travers les reflets jaunes,
25
La domestique a cet air de victime attristée que
prennent
souvent les servantes de la bourgeoisie. Quant au chien, de l’espèce
26
d’ivresse lente et majestueuse, et bientôt je me
pris
à composer des phrases, tout en allant comme en rêve sur l’herbe où s
27
utôt d’en devenir un. — Parmi ces gens d’ici, qui
prennent
leur temps. Parmi ces arbres. 26 mai 1929 Curieux comme ces lec
28
n bel enterrement ! » Et de même, ceux qui auront
pris
soin de moi au moment de ma mort et tôt après devront être largement
29
à cause de ce que je venais d’écrire, la faim me
prit
et je demandai une paire de saucisses croquantes et de la moutarde do
30
re des courses en ville, probablement ; elle a dû
prendre
le train des ouvriers, — et c’est à elle que va ma sympathie ?… Les h
31
és », disait un amoureux de la France. Quand vous
prenez
un taxi passé onze heures, c’est double tarif, et pourquoi ? Regardez
32
vous, si vous êtes seul, un fantôme, d’office, a
pris
place. On lie bien vite connaissance, pourvu qu’on sache un peu d’all