1 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
1 sent et sortent. Les deux plus petites filles ont pris le bébé et rentrent dans la maison.) Scène ii. Dorothée. —  P
2 re autres juges surgissent quatre démons qui leur prennent la main droite et l’élèvent.) Le 1er juge. —  Plaignant, tu es débo
3 fou ! Il a raison ! Oui ! Non ! Le curé. —  Tu prends toujours le parti du pauvre ! Ce n’est pas juste non plus ! 1er ju
4 la porter avec moi. Dorothée. —  Ainsi, tu as pris ta décision ? Nicolas. —  Je dois partir, et vous quitter. Dès cet
5 ! que je ne sois plus un obstacle sur ton chemin… Prends ceci pour la route, cher époux. (Elle lui tend un baluchon. Une lueu
2 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
6 trop sereine qui baigne aujourd’hui ces rochers. Prends ta garde, ô guetteur ! l’attaque est proche ! (Nicolas s’est retiré
7 Dieu me pardonne si je me suis jamais vanté de ne prendre aucun aliment ! Je me nourris du pain du ciel, à la très sainte commu
8 les pauvres l’ont payée, de leur famine. Si vous prenez les armes, on vous écrasera, et vous perdrez votre seule force, la ju
9 r ! Choral ii. Nicolas ! Nicolas ! Nicolas ! Prends ta garde ! De ta Patrie voici la tentation ! Ô sentinelle, guetteur a
3 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
10 e s’est accomplie : on a trouvé le cadavre du duc pris dans la glace des marais ! Je tiens les Suisses pour invincibles.
11 s : Vous voulez aujourd’hui être forts. Nos pères prenaient les armes pour défendre leur droit : Vous parlez aujourd’hui de conqu