1 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
1 acun s’efforçait de montrer que l’événement ne le prenait pas au dépourvu. — Rien de neuf en somme, disait le docteur, par pose
2 rtu de la masse, mais bien à celle du retrait. Il prend un gramme de remède et le dilue dans cent litres d’eau ; puis il dilu
3 bsence, on dirait presque par le souvenir. Elle a pris des propriétés toutes nouvelles du seul fait qu’on lui a retiré une s
4 ajouté que les médecins n’avaient pas lieu de le prendre de si haut, puisqu’ils sont notoirement incapables d’expliquer le rhu
5 . Ce matin, le docteur a voulu se rattraper. Nous prenions le breakfast sur la jetée. Conduit semblait-il à deux rênes par une s
2 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
6 dulés par des effectifs considérables. Il faut en prendre son parti : l’ère des militaires a pris fin le 6 août à Hiroshima. L’
7 aut en prendre son parti : l’ère des militaires a pris fin le 6 août à Hiroshima. L’arithmétique élémentaire qui suffisait à
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
8 condamnés au nomadisme. Mais après tout, si vous prenez les statistiques des compagnies de transport de ce pays, vous verrez
9 spéculations les plus “folles” ! Libre à vous de prendre pour but l’évocation des fées du Moyen Âge : jamais une fée n’a fait
10 ée les explosions cosmiques, etc. Libre à vous de prendre pour but la construction d’un moteur atomique : jamais un moteur atom
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. Ni secret, ni défense
11 as, envoie deux ou trois bombes sur New York. (Je prends l’exemple le plus invraisemblable, pour qu’on n’aille pas y voir je n
5 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
12 scute encore la question de savoir si la guerre a pris fin légalement le 14 août ou le 2 septembre ; quand je vois les savan
13 , et que je dévore les tapis ? Voulez-vous que je prenne des airs ? Ou que j’écrive avec un style pesant de politicien et une
14 es rendez-vous urgents. Mon rendez-vous à moi est pris avec l’époque. Je vois que la mort en masse l’attend d’une heure à l’
6 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les quatre libertés
15 tés New York, le 24 novembre 1945. Puisque j’ai pris une espèce d’habitude de vous entretenir des lieux communs qui enchan
7 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
16 ire New York, le 30 novembre 1945. …Que je n’ai pris de front presque aucun des problèmes ? (Vous pensiez, je le suppose,
17 ue ces lions sont des hommes, qui d’ailleurs nous prenaient nous aussi pour des lions. (Il ne manque pas de Persans pour se deman
8 1946, Lettres sur la bombe atomique. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
18 ez-vous également remarqué que les militaires qui prennent la plume (comme ils disent) ont coutume de dénoncer sous le nom d’« é
9 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
19 ial. Ceux qui pensent que c’est tout le contraire prennent le mot patrie dans le sens de nation, le mot nation dans le sens d’Ét
10 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
20 és des États, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambre
11 1946, Lettres sur la bombe atomique. Appendice. Les cochons en uniforme, ou le nouveau déluge
21 imaux d’un des États de l’Est de l’Amérique qui a pris l’initiative d’un mouvement d’opinion contre les essais projetés. Cet