1
et de la grande économie capitaliste se trouvent
pris
au dépourvu, au beau milieu de leurs calculs : ils avaient oublié l’h
2
s. Ils cesseront d’ailleurs de jouer dès qu’on ne
prendra
plus la peine de croire à ce qu’ils font. Victimes de l’obscurantisme
3
ts leur possible valeur de témoignages, de partis
pris
accidentels, plutôt que de leur imposer un style indépendant de leur
4
endre position, comme si ce n’était pas là, déjà,
prendre
une position, mais, à coup sûr, la pire ! Nous nous sommes laissés en
5
urs, qu’un siècle ait un destin, c’est que l’on a
pris
l’habitude d’attribuer une sorte de valeur indépendante à des êtres c
6
nt, à nos yeux, un destin, il faut que nous ayons
pris
l’habitude de les considérer comme autant de réalités autonomes, poss
7
notre domination et poursuivant, en dehors de nos
prises
personnelles, leur évolution fatale, leur destinée. Autant dire que n
8
iques surtout que ceux des fascistes et racistes.
Prenez
le dernier article de Trotski contre Hitler. C’est d’une logique parf
9
ens, se déclarer une épidémie de suicides, qui ne
prit
pas toujours la forme romantique du coup de revolver, qui prit même b
10
ours la forme romantique du coup de revolver, qui
prit
même beaucoup plus souvent la forme d’un enrôlement dans quelque trou
11
e choix, la décision que chacun d’entre nous peut
prendre
. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte pe
12
ir qui le possède, mais c’est une consolation. Je
prends
ce mot dans son sens le plus fort, tel que le donne l’étymologie. Con
13
ns pudeur la part honteuse de leur nature réelle.
Prenons
donc d’abord la thèse matérialiste en elle-même, dans son expression
14
certains socialistes français, « pour n’être pas
pris
de vitesse par les fascistes ». Aussi bien a-t-on vu apparaître, au c
15
ccupe des moyens, et néglige bientôt les fins, ou
prend
les moyens pour des fins ; la foi ne veut connaître que les fins, et
16
ce des partis politiques. S’il rejette les partis
pris
, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau prendre parti. Comme le réact
17
rester aux ordres de l’esprit. Nous n’avons pas à
prendre
d’assurances sur l’avenir. Nous n’avons pas à nous garantir à l’avanc
18
humour à deux tranchants. Le chrétien ne peut pas
prendre
totalement au tragique le problème de l’aménagement des intérêts terr
19
toujours aux dépens du communiste. Le communiste
prend
au tragique « jusqu’à la gauche » son sort terrestre. C’est que le sa
20
u, à discuter ici la question des humanités. Nous
prendrons
le mot humanisme au sens plus général, non moins précis, qui désigne
21
lle du monde. Et l’antagonisme des deux attitudes
prend
une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux volon
22
dire sur l’invisible, contre toute vraisemblance.
Prenons
des exemples concrets. Un chrétien qui contracte une assurance sur la
23
at. Il est sans raison. Il est un acte véritable.
Prenez
l’alternative christianisme-communisme. Si vous essayez de mettre en
24
que nous ne le pensons. Mais de là à accepter, à
prendre
sur soi et assumer en toute conscience la conception communiste, il y
25
s deux voies. Il en résulte d’autres oppositions.
Prenons
, par exemple, ces trois notions : le travail, le service, l’amour du
26
out ce que je viens de dire, je voudrais qu’on le
prenne
au sens le plus littéral. Je crois littéralement qu’il n’y a aucun po
27
oïsme personnel. L’État fasciste a réussi à faire
prendre
pour une fièvre d’héroïsme le conformisme tremblant des militants. Ma
28
qui ne sont pas les intérêts réels d’un être aux
prises
avec la condition humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui
29
; je ne dirai plus nous mais je. À la question «
Prenez
-vous au sérieux vos idées, y croyez-vous ? », les hommes de ce temps
30
e un certain nombre de vertus officielles, et qui
prenne
pour modèle le Citoyen-Respectable ou le Travailleur en soi. Mais une
31
ir. Elle veut connaître ce qui est. Surtout, elle
prend
ses responsabilités, et c’est cela qui est le plus nouveau et qui pro
32
est en train de se créer un nouveau style de vie.
Prendre
ses responsabilités, c’est renoncer à justifier ses actes par le reco
33
la ne peut pas être expliqué par les dispositions
prises
au départ, encore qu’elles jouent un certain rôle, mais non pas décis
34
le succès inespéré de ses efforts techniques, qui
prend
peur et porte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion
35
du crédit. Mais il faudrait auparavant qu’il ait
pris
une conscience vraiment révolutionnaire de son vice interne, vice qui
36
, comme s’ils n’étaient plus des hommes. On les a
pris
d’ici pour les poser là, côte à côte, additionnés, soustraits, multip
37
tellement fondamentale, qu’elle nous interdit de
prendre
au tragique l’opposition toute relative du communisme et du capitalis
38
rutissement de tous par la propagande électorale.
Prendre
le travail comme point de départ d’un système économique ou d’une cul
39
de leur point de départ. Alors que les partis aux
prises
dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondament
40
ent chrétienne. La revue a d’ailleurs franchement
pris
position dans un numéro spécial intitulé : Rupture entre l’ordre chré
41
us variées et complexes que celles qu’on lui voit
prendre
dans les États totalitaires (URSS et fascismes). J’essaierai de la dé
42
iocrates », nous voyons, depuis peu, la politique
prendre
l’aspect d’un mysticisme, et cela surtout chez les intellectuels du F
43
sa création, quelle qu’elle soit, se répercute et
prend
toute sa valeur dans le domaine national80. Les grandes lignes de la
44
osophes libéraux — fût partiale, pleine de partis
pris
, et même politique ! 83. Je fais exception pour deux ou trois d’entr
45
alité. Il existe un mouvement personnaliste qui a
pris
pour tâche de démêler ces notions et de fonder sur elles un ordre soc
46
ncarner, de nos jours sans doute plus que jamais.
Prenons
d’abord l’individu. Contrairement à ce que peut nous faire croire une
47
ues, les Grecs sont les premiers à se détacher, à
prendre
figure, donc à s’individualiser. Dans la tribu primitive, certains ho
48
c puissant vis-à-vis de l’extérieur ; un bloc qui
prend
l’allure d’une armée. Le vice d’un tel système, c’est qu’il stérilise
49
u même coup engagés dans un corps social nouveau.
Prenons
le cas de l’esclave qui devient chrétien. Alors que l’État romain lui
50
ujours étroitement dépendante de l’attitude qu’il
prend
vis-à-vis de l’Église et du fait religieux en général. Un régime est
51
orps malade, certaines antitoxines commencent à «
prendre
». Et peu importe qu’elles soient ou non de notre marque, si elles ag