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t cette façon de séparer un mari de sa femme ? Où
prenez
-vous le droit de juger l’un comme s’il ne formait pas avec l’autre «
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et les remplace une fois pour toutes, et si l’on
prend
le mariage au sérieux, c’est aussi mon métier, on ne se permet plus d
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e grâce, et d’ailleurs le danger n’est pas grand.
Prenez
le vieil empereur d’Autriche, François-Joseph : tous les cochers d’op
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i des héros ? L’agent. Nous sommes fiers d’avoir
pris
les portraits du fameux amiral Grandisson et du général MacAlfred. Ma
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ommes dans un pays démocratique, nous avons aussi
pris
quelques GI tout couverts de décorations. X. Bien entendu, ces portr
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l’époque ? X. Quelqu’un, Monsieur, dont vous ne
prendrez
jamais le portrait. Et j’ose dire que l’idée ne vous en viendra même
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vous attendais. Toutes choses égales d’ailleurs,
prenez
deux physiciens. Ils ont trouvé tous les deux, le même jour, le secre
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que la photo pleine page et en couleurs que nous
prendrons
une autre fois. (Il va pour sortir.) Attendez un instant, je crois qu
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n’est pas jouer du violon. Tout d’un coup vous le
prenez
à double corde, et l’on distingue mal les passages, vous changez de t
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naïve dans la modestie cartésienne. Car enfin où
prend
-on dans le monde rien qui soit « clair, simple et facile » en soi ? L
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recours aux formes du langage courant. L’auteur.
Prenons
la 3e règle de sa méthode : « Conduire par ordre mes pensées en comme
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ritique. Comment expliquez-vous le plaisir que je
prends
à la lecture de certaines paraboles dont le sens eschatologique m’éch
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out et de la Fin, mais signes seulement, résumés,
prises
partielles et significatives… Certes celui qui pourrait les fixer ret
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i-même. « Il se ramène en soi, n’ayant plus où se
prendre
». Ainsi parle un de nos classiques. Repoussé par le monde parce qu’i
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n il court se voir : il est laid. Lâchement il se
prend
en pitié. Ces séances lui font du mal, l’énervent, mais l’aveu qu’il
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son dans le monde des dieux, voudraient bien être
pris
pour des gens raisonnables. Voilà pourquoi, pensais-je, ils méprisent
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création qui vient à se détacher de l’auteur pour
prendre
corps dans l’œuvre poétique. Et le poème ensuite, plus beau et plus v
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r paix, et l’être enfin comblé ne sait plus où se
prendre
. Il se ramène en soi, se divise en ses ombres. Ainsi passent les heur
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» Je poursuis non sans peine : « Si nous allions
prendre
quelque chose dans un restaurant ? — Bonne idée », fait-elle d’une vo
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g. Je décide de rentrer le jour même à Berlin, et
prends
congé de mon ami qui se montrait fort inquiet de mon sort. Il y avait
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is il faut que je la revoie une dernière fois. Je
prendrai
donc l’express du soir. J’arrive à Berlin le lendemain. Sur le seuil
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moralement pour s’imposer à l’animal, et aussitôt
prises
les rejette, comme si c’était le fait du crime et non le plaisir qu’i
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z comme elles ont vite cédé ! Il faudra donc s’en
prendre
à Dieu et à son Fils. Déjà « le Dieu moral est réfuté ». Que va dire
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s. Et si personne n’en veut, il est à moi ! Je le
prends
: il est ma liberté… » Celui qui murmurait parfois : C’est consolant
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de le refaire, de le comprendre ou de s’y laisser
prendre
, c’est-à-dire de connaître ou d’aimer. On ne peut opposer au mythe du
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tout espoir perdu, on sollicitait son conseil. Il
prit
la corde qui servait de ceinture à sa pauvre robe. Il en fit une bouc
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commandes pour accomplir le Temps… Et nous serons
pris
au dépourvu, comme nulle autre génération. Car, tandis que le temps s
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Parut un soleil nouveau. Et ceux qui le voyaient
prenaient
un visage neuf, leurs yeux devenaient forts et s’attendaient à l’écla
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ênés, balourds, ne sachant trop quelle contenance
prendre
. Et la lumière ne cesse de grandir. Ils tombent déjà par rangs entier
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t que celui qui a soif vienne, que celui qui veut
prenne
de l’eau de la vie, gratuitement. » Car maintenant tout est payé. Tou
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me lave… C’est le contraire ! Ils disent que j’y
prends
ma force. C’est pas vrai. Ça ne coule pas comme qui dirait de la terr
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umeurs ? C’est toujours dans les villes que ça me
prend
. Quand ils m’ont bien lavé, massé, poudré comme un bébé… et allez ! l