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re que d’un dernier élan.) Mais l’idée fédérale a
pris
corps. À la veille du congrès de Montreux (27 août 1947) c’était enco
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t premier regard, une lucidité sans recours. Vous
prenez
cette amie dans vos bras, vous ne trouvez à dire que des phrases bana
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pas un résistant ne me contredira. Des habitudes
prises
dans la lutte clandestine, ce sont les pires qui se perpétuent, non l
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ncore, et, à vrai dire, c’est le plus difficile à
prendre
! Mais c’est aussi le plus difficile à maintenir en état d’efficacité
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de l’autre, je n’ai pas à chercher bien loin. Je
prendrai
simplement l’exemple de l’entreprise qui nous rassemble ici. En Améri
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out cela repose sur l’idée simple que nous sommes
pris
entre deux grands empires également impérialistes, également avides d
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que nous avons chez nous un parti stalinien, qui
prend
ses ordres à Moscou, mais aucun parti trumanien qui voterait selon de
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rise d’une guerre civile, en 1847, l’ait forcée à
prendre
forme et force de loi. Et ce n’est guère qu’au xxe siècle que nos pe
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races » en un État qui les respecte, cette union
prend
l’allure à la fois d’un antiracisme déclaré et d’un antinationalisme.
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ation sera l’œuvre de groupes et de personnes qui
prendront
l’initiative de se fédérer en dehors des gouvernements nationaux. Et
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nt en souriant assez gentiment : « Vous avez donc
pris
part à ces parlotes ? Encore un congrès d’utopistes, de généreux asse
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réveille, aux citoyens du continent. Ils vont la
prendre
dans quinze jours, aux états généraux de l’Europe, convoqués à La Hay
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de la vie. Se cultiver, bénéficier de la culture,
prendre
une part à sa création, cela signifie d’abord pour chacun de nous : é
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e, c’est-à-dire pratiquement d’union de l’Europe,
prend
à leurs yeux, et sans autre examen, l’allure d’une manœuvre antirusse
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pas à détourner le sens des mots qu’ils nous ont
pris
, et à nous accabler d’injures homériques. Elle se traduit par un fait
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rticulière. Et il en va de même pour les nations.
Prenez
les socialistes, que veulent-ils ? Élever le niveau de vie des masses
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c’est l’Europe rejoignant le xxe siècle, pour en
prendre
la tête et inventer l’avenir. C’est le fédéralisme, qui veut que la T
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blée unanime, alors que la majorité des délégués,
pris
un à un, se fussent sans doute avoués fort étrangers à la doctrine qu
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nt La Haye, que le conflit principal mettrait aux
prises
le Labour et les conservateurs. C’était bien mal connaître les Anglai
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dans une certaine imprécision des formules et des
prises
de position, favorable aux ententes pratiques. Mais il n’est pas cert
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l’Europe est essentiellement culturelle, si l’on
prend
le mot dans son sens le plus large. La culture véritable n’est pas un
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es forces vives de toutes nos nations. 5) Et nous
prenons
de bonne foi l’engagement d’appuyer de tous nos efforts, dans nos foy