1
oupements militant pour l’union de l’Europe avait
pris
le nom de Mouvement européen, ses quatre présidents d’honneur étant L
2
nt la « protection de la monnaie nationale » pour
prendre
des mesures qui se révèlent inefficaces du point de vue économique, m
3
ifs politiques (ou d’intérêt privé) des décisions
prises
. À l’Est — il faut toujours y revenir pour marquer l’aboutissement ex
4
faut cependant de beaucoup que les Européens les
prennent
pratiquement au sérieux. Ce qui est sérieux, croient-ils, ce sont les
5
s présentes, le groupe réuni par le CEC décida de
prendre
le nom de Club européen, et se donna pour première tâche concrète la
6
e côté les héritages du passé, dont l’unification
prendrait
trop de temps, demanderait trop d’énergie, et soulèverait trop d’oppo
7
éenne) conformément au plan initial. D’autres ont
pris
fin parce qu’elles avaient atteint leurs objectifs, ou au contraire p
8
emble de la civilisation moderne de l’Europe. (Je
prends
ici le mot dissociation au sens que suggère son étymologie : défaire
9
et prouve à lui seul que notre pensée a perdu ses
prises
sur la réalité. Mais cette révolte de la culture contre le monde où n
10
me le soupçon qu’elle existe. Si l’un d’entre eux
prenait
un jour le temps de s’en apercevoir, il se garderait d’en parler, cra
11
, ni l’existentialisme, ni le néo-thomisme — pour
prendre
des exemples au hasard — ne peuvent offrir des remèdes acceptables po
12
pour l’union fédérale de l’Europe, cette défense
prend
l’aspect positif d’un rassemblement créateur. On peut donc dire que l
13
au de genre, au pleinairisme, au réalisme, et qui
prend
pour la tradition ces innovations d’avant-hier, voit ses goûts confir
14
dans son avenir. Heureux donc ceux qui auront pu
prendre
de leur âge cette vue d’ensemble assurément sans précédent, et qui ne
15
us a jetés dans un complexe nouveau de paradoxes.
Prenons
l’exemple de l’artiste pénétrant les structures de l’Inconscient. Qu’
16
ns entendu depuis quinze jours une quarantaine de
prises
de position toutes personnelles faisant le point d’une évolution dont
17
es, romanciers, critiques et philosophes, qui ont
pris
part à ces entretiens, pour nous dire : « Et maintenant, allons-y, se
18
as que là, et là seulement, le mot de communion a
pris
son sens, et qu’il tend à le perdre à mesure qu’il s’éloigne du sacri
19
it celle qui apporterait un ordre nouveau, prêt à
prendre
la relève du désordre ancien, ce que j’appelle le « désordre établi »
20
il est esclave de certaines de ses tendances qui
prennent
les machines comme paravent ou cible de projection. L’homme n’est pas
21
l’autre actif et militant. Ce n’est pas seulement
prendre
sa part, c’est aussi apporter sa part, et non pas seulement recevoir,
22
nter de les assimiler, de les comprendre. Il doit
prendre
connaissance des chefs-d’œuvre, apprendre quand et comment ils ont ét
23
nvironnement. Mais en réalité, c’est à l’homme de
prendre
toutes les décisions, et de comprendre que la guerre qu’il fait à la
24
checs, d’actes et d’inventions, de discours et de
prises
de conscience, de décisions et d’accidents, mais leur valeur de « fai
25
est aujourd’hui. » Ces données numériques, que je
prends
pour images, sont probablement vraies en gros dans le domaine des sci
26
e en tant que tels par le fait même qu’ils auront
pris
conscience de ce qu’ils ne peuvent se contenter d’être seulement des
27
inutile, et il est même parfois indispensable, de
prendre
de la distance par rapport à l’action quotidienne, afin de mieux voir
28
e paradoxe s’explique d’une manière assez simple.
Prenons
l’exemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritures « qu’i
29
oduite par sa foi, c’est-à-dire par sa certitude.
Prenons
ensuite l’exemple de l’homme scientifique. Celui-ci lit l’histoire de
30
nt inverse : l’homme moyen n’éprouve le besoin de
prendre
le train, l’avion, ou son auto, que parce que quelques fous et rêveur
31
icieuses. L’homme moderne est-il très différent ?
Prenons
quelques exemples de ses inventions techniques les plus spectaculaire
32
re de rêver, c’est justement un train que je vais
prendre
. Dans mon wagon, je lis, je dors, je mange, et puis méditer à loisir.
33
e les deux engins atomiques largués sur le Japon.
Prenons
un autre exemple, moins tragique : l’esclavage du téléphone est un de
34
ant de négations et de ruptures, tant de refus de
prendre
la suite de quoi que ce soit, de ressembler à qui que ce soit, finiss
35
autres temps. D’où l’aspect forcément étrange que
prennent
les musiques d’aujourd’hui. De là peut-être aussi chez nos compositeu
36
ition régionale mais aussi des premiers qui aient
pris
conscience de leur commune appartenance au grand ensemble culturel qu
37
ot-clé de notre Centre. Je prie les historiens de
prendre
note d’un petit fait qui a son importance symbolique : l’Association
38
éséquilibres sociaux ou psychologiques, suivis de
prises
de positions agressives et fermées, revendicatives et démagogiques, d
39
ialistes de tel ou tel aspect de leur culture. Je
prends
le terme d’amateur au sens étymologique : celui qui aime et voudrait
40
politologues et des économistes à leur suite ont
pris
le problème à l’envers : soucieux de s’appuyer sur le réel, ils ont v
41
alistes ? En réalité, les États ne les ont jamais
prises
le moins du monde au sérieux. — À quoi attribuez-vous cette situation
42
mélange des deux. Une grande souplesse la régit.
Prenons
un exemple précis : le gouvernement anglais, dans son effort de décen
43
par ce qui était censé diviser les nations, elles
prennent
pour axe ce qui les scindait ou bornait : un fleuve (la région rhénan
44
tes à la politique d’un Parti, quand il s’agit de
prendre
une position publique. L’engagement supposait à mon sens tout le cont
45
dit : quelle peut être aujourd’hui, au fait et au
prendre
, la responsabilité de l’écrivain dans la cité ? Responsable est celui