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’aura d’utilité que s’il convainc ceux qui auront
pris
conscience, en le lisant, des raisons qu’ils pouvaient avoir de le tr
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le plus profond du mythe, c’est le pouvoir qu’il
prend
sur nous, généralement à notre insu. Ce qui fait qu’une histoire, un
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déguisé et d’en jouir par l’imagination, sans en
prendre
toutefois une conscience assez claire pour qu’éclate la contradiction
4
ntisocial, qui est la passion. Le mot « contenu »
prend
ici toute sa force : la passion de Tristan et d’Iseut est littéraleme
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roi Marc de Cornouailles, frère de Blanchefleur,
prend
l’orphelin à sa cour et l’éduque. Première prouesse ou performance :
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entre leurs corps son épée nue. Ému par ce qu’il
prend
pour un signe de chasteté, le roi les épargne. Sans les réveiller, il
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steté, le roi les épargne. Sans les réveiller, il
prend
l’épée de Tristan et dépose à sa place l’épée royale. Les trois ans
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de ces faits dont l’envergure échappe souvent aux
prises
de l’érudition scrupuleuse. Je veux parler de l’opposition qui se man
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ens gratuits, c’est-à-dire qu’ils ne sont, à tout
prendre
, que des artifices romanesques. Or il résulte de nos remarques au suj
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d’où le rebondissement de l’action. Et ici le mot
prend
un sens symbolique : l’action empêche la « passion » d’être totale, c
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que non seulement ceux qui la vivent ne sauraient
prendre
aucune conscience de sa fin, mais que ceux qui la veulent dépeindre d
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qu’à partir de soi, non de l’autre. Leur malheur
prend
ainsi sa source dans une fausse réciprocité, masque d’un double narci
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stre d’une manière d’autant plus efficace qu’elle
prend
la forme du désir, et que ce désir, à son tour, se déguise en fatalit
14
ner » le sublime à l’infime, l’étrange erreur qui
prend
pour cause suffisante une condition simplement nécessaire. C’est auss
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de l’homme. » Ainsi l’aspiration vers la lumière
prend
pour symbole l’attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé, aux
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trine de Manès (qui était originaire de l’Iran) a
pris
, selon les peuples et leurs croyances, des formes très diverses, tant
17
’origine et la portée mystique de valeurs qu’elle
prenait
pour une mode et qu’elle accommodait à ses plaisirs. Elle ne devait p
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dans son inspiration elle-même, puisque celle-ci
prend
sa source dans un système fixe de lois, qui seront codifiées sous le
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eanroy (quitte à reprocher à chacun de ces poètes
pris
à part de n’avoir montré aucune espèce d’originalité et de s’être bor
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Satan et la femme d’une beauté éclatante, ont été
prises
dans des corps matériels, qui leur étaient et leur demeurent étranger
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de Manès, ne s’est pas vraiment incarné : il n’a
pris
que l’apparence d’un homme. C’est ici la grande hérésie docétiste (du
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remerciements pour de gracieuses hospitalités »,
prend
ainsi le caractère imprévu d’une sorte de lettre pastorale ! Et pourt
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! Et ce cri de Bernard de Ventadour : Elle m’a
pris
mon cœur, elle m’a pris moi-même, elle m’a pris le monde, puis elle s
24
de Ventadour : Elle m’a pris mon cœur, elle m’a
pris
moi-même, elle m’a pris le monde, puis elle s’est elle-même dérobée à
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a pris mon cœur, elle m’a pris moi-même, elle m’a
pris
le monde, puis elle s’est elle-même dérobée à moi, ne me laissant que
26
lmodique des symboles fondamentaux. De même, pour
prendre
un exemple moderne, le « sentiment chrétien » que l’on reconnaît chez
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muler le sens des symboles qu’il emploie, ni d’en
prendre
une conscience distincte. Il est indemne de ce rationalisme qui nous
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ais l’offre à Marie qui le donnera à son fils. Il
prend
sa boisson en cinq traits pour les cinq plaies du Seigneur ; mais il
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ce cas, le symbole se double d’une allégorie, et
prend
un sens cryptographique. Je veux parler de l’école du trobar clus, dé
30
e processus minimum d’inspiration et d’influence,
prenons
un exemple moderne. Un exemple dont je crois pouvoir dire que les don
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t soutenu une théorie de la libido ; et qu’il ait
pris
une attitude déterministe : or le surréalisme fut une école littérair
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sultan des amoureux », Omar Ibn Al Faridh — pour
prendre
un exemple entre cent — l’auteur décrit la passion terrible qui l’env
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ave, ont dit : Pourquoi ce jeune homme a-t-il été
pris
de folie ? Et que peuvent-ils dire de moi, sinon que je m’occupe de N
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, un grand courant religieux manichéen, qui avait
pris
sa source en Iran, remonte par l’Asie Mineure et les Balkans jusqu’à
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aient le jeu primitif, on voit la Dame (ou Reine)
prendre
le pas sur toutes les pièces, sauf sur le Roi, celui-ci se trouvant d
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omis. (Marcabru.) Voici le Service de la Dame :
Prenez
ma vie en hommage, belle de dure merci, pourvu que vous m’accordiez q
37
es : il s’agit des choses spirituelles. Et vous y
prîtes
la couronne d’orgueil : c’est pourquoi le chevalier vous renversa si
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qu’il a, s’il n’eût pas été le sien : son cœur ne
prend
en aversion que le bonheur qu’il est contraint d’avoir. Le lui eût-on
39
s religieuses, c’est-à-dire une décision que nous
prenons
presque toujours inconsciemment, en toute ignorance de cause, de fins
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op. cit., I, p. 20. Et de même, les dieux gaulois
prennent
des noms latins sans se transformer autrement. 17. Par E. Benveniste
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eligions, juin 1938) va jusqu’à proposer que l’on
prenne
certains poèmes des troubadours comme sources d’études sur l’hérésie.
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emble avoir deviné le caractère « tantrique » que
prend
l’amour courtois, dans le cycle breton plus réellement, je crois, que
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s bizarres, comme disait à peu près Schopenhauer.
Prenons
le problème tel que nous le pose le mythe, et tel qu’il se posait au
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sage de l’admirable cri de Ventadour : « Elle m’a
pris
le cœur, elle m’a pris moi-même, elle m’a pris le monde, puis s’est e
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de Ventadour : « Elle m’a pris le cœur, elle m’a
pris
moi-même, elle m’a pris le monde, puis s’est elle-même dérobée à moi,
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’a pris le cœur, elle m’a pris moi-même, elle m’a
pris
le monde, puis s’est elle-même dérobée à moi, ne me laissant rien que
47
s le débat au bénéfice de ce qui est le plus bas.
Prenons
le cas des métaphores : on dit d’un goût qu’il est amer mais on dira
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est contraint de se servir de métaphores. Il les
prend
où il les trouve et telles qu’elles sont, quitte à les modifier par l
49
ette décision tout arbitraire, il est temps de la
prendre
ici, et de la prendre en faveur de l’esprit, c’est-à-dire de sa prima
50
itraire, il est temps de la prendre ici, et de la
prendre
en faveur de l’esprit, c’est-à-dire de sa primauté. Qu’elle soit arbi
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humanité sacrée en laquelle il a déclaré lui-même
prendre
sa complaisance. » 100. Nulle part, en effet, les généralisations ne
52
nt Jean de la Croix, p. 613), si nous tentions de
prendre
une vue générale des diverses mystiques connues, « l’expérience mysti
53
t expression ne sont guère séparables. La passion
prend
sa source dans cet élan de l’esprit qui par ailleurs fait naître le l
54
s les Saints implorent cette faveur. Seule, Pitié
prend
notre parti, car Dieu dit, et c’est de ma Dame qu’il entend parler :
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is, c’est nous ; ses petits, qu’un chasseur lui a
pris
, ce sont les vertus, et le chasseur c’est le démon, qui nous fait voi
56
e profanée. Nous allons voir Pétrarque se laisser
prendre
« à ce qui n’est pas », c’est-à-dire à l’image de sa Laure, qui trop
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espérance. Où Pétrarque triomphe, c’est quand il
prend
la harpe de Tristan130, c’est dans le cri de la « torture délicieuse
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el. Mais cela, jusqu’alors, à rien ne m’a servi…
Prends
ton parti avec prudence ! Prends ! Et arrache de ton cœur toute racin
59
n ne m’a servi… Prends ton parti avec prudence !
Prends
! Et arrache de ton cœur toute racine De ce plaisir qui heureux ne le
60
n lisait de son temps avec passion139. Il ne s’en
prend
, dans son Quichotte, qu’aux romans d’aventures profanes. Cette omissi
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e. Mes yeux regardez une dernière fois ! Mes bras
prenez
votre dernier embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du souffle,
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« Cette bonne femme, écrit-il tristement, a dû me
prendre
pour un apprenti serrurier. » ⁂ En vérité je me sens fort capable d’e
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jours ? Alors que les mystiques et les religions
prennent
au contraire une grande vigueur dans les réfutations et railleries qu
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qu’il s’arrête aux sentiments vulgaires ? Il le
prend
de haut : méfions-nous. C’est qu’il se dispose à mentir. Il ne faut
65
, cette « tristesse » à laquelle il nous invite à
prendre
on ne sait quel « plaisir », cela révèle en définitive d’assez morbid
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ne la désire pas comme une transfiguration : il a
pris
le parti du jour, la mort n’est plus que le châtiment de ses trop lon
67
nd impossible la passion. Et voici comment il s’y
prend
: en rendant Hippolyte amoureux d’Aricie, dont on va voir qu’elle est
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tout obstacle détruit, la passion n’a plus où se
prendre
. Et l’on parle de « passionnettes ». Le dieu d’Amour n’est plus un du
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l’aventure scélérate, tels sont les parangons qui
prennent
la place de l’idéal détruit par le xviie siècle. Ce refoulement du m
70
ns avec une sorte de dépit à peine voilé : « J’ai
pris
pour toi des sentiments plus paisibles, il est vrai, mais plus affect
71
nudité même, je sens trop bien qu’ils risquent de
prendre
figure d’arguments, à cet endroit de notre voyage, du seul fait de le
72
indiciblement chère… Notre engagement n’était pas
pris
pour ce monde… Maximes de Novalis : Toutes les passions finissent
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l’aventure des mystiques unitives qui de nouveau
prend
son départ dans la conscience occidentale, c’est, éternelle hérésie p
74
out cela composait une sorte de complexe que l’on
prenait
pour la « nature » elle-même, bien qu’il ne représentât qu’une surviv
75
ut esprit. Voilà ce que peut faire l’homme qui se
prend
pour son dieu. Voilà le mouvement dernier de la passion, dont l’exasp
76
iait cette diffuse exaltation de l’amour. Nous la
prenions
pour un printemps de l’instinct et pour une renaissance des forces di
77
e ne revêtait pas ce caractère absolu qu’il avait
pris
dans les pays nordiques. Les femmes de la haute société recevaient un
78
» délicate et toute hédoniste. La « courtoisie »
prenait
son sens moderne de politesse et de civilité. Il n’était plus questio
79
le considéra comme une réussite glorieuse d’avoir
pris
une ville assiégée et ne faisant de part et d’autre que trois morts.
80
usse avec horreur. Car l’engagement religieux est
pris
« pour le temps et l’éternité », c’est-à-dire qu’il ne tient aucun co
81
dans le mariage paraît légèrement ridicule : elle
prend
figure de conformisme. Il n’y a plus, à proprement parler, conflit de
82
jours — et ce n’est qu’un début — un homme qui se
prend
de passion pour une femme qu’il est seul à voir belle, est un névrosé
83
dit ! Étant donné que les humains des deux sexes,
pris
un à un, sont généralement des coquins — ou des névrosés, pourquoi se
84
n que dénoncent les romantiques, ou l’homme moral
pris
dans les rets sociaux, et incapable désormais de concevoir les vérité
85
commande au jeune homme de « réfléchir » avant de
prendre
une décision : elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le choix d
86
es peuvent y lire. « Notre engagement n’était pas
pris
pour ce monde », écrivait Novalis songeant à sa fiancée perdue. C’est
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té dans le mariage est au contraire un engagement
pris
pour ce monde. Partant d’une déraison « mystique » (si l’on veut), in
88
sur le concret dans ses limitations. Le chrétien
prend
le monde tel qu’il est, et non point tel qu’il peut le rêver. Son act
89
omplexes et collectifs, qui échappent souvent aux
prises
individuelles. Le signe de la crise du mariage nous parle et nous ave
90
03. En quoi consiste le respect, au sens où je le
prends
ici ? En ce que l’on reconnaît dans un être la totalité d’une personn
91
. Au jour où les deux couples se séparent, Girard
prend
à part deux témoins, ainsi que Berthe sa femme, et la reine. Femme d
92
e, et vous surtout, Jésus mon rédempteur, je vous
prends
pour garants et témoins que par cet anneau je donne à jamais mon amou
93
te de ne pas s’être épris ailleurs, et de n’avoir
pris
aucune liberté avec l’autre dame, mais d’avoir voulu seulement mettre
94
utures ! (On dirait que Rimbaud a lu cela…) Je ne
prends
pas à mon compte ces « explications » parfois très pénétrantes, souve
95
pas sans vous, il importe que la part que vous y
prendrez
vous aide à classer votre livre, à en dépasser les conclusions autant
96
e moment-là, au sujet de l’amour courtois. Ils le
prirent
sur le ton légèrement excédé du spécialiste qui est payé pour savoir
97
hérésie dualiste ou manichéisante du Moyen Âge ?
Prenez
ma vie en hommage Belle de dure merci, Pourvu que vous m’accordiez Qu
98
r celle « dont il n’aura jamais rien » : Elle m’a
pris
le cœur, elle m’a pris moi-même, elle m’a pris le monde, puis elle s’
99
a jamais rien » : Elle m’a pris le cœur, elle m’a
pris
moi-même, elle m’a pris le monde, puis elle s’est dérobée elle-même,
100
’a pris le cœur, elle m’a pris moi-même, elle m’a
pris
le monde, puis elle s’est dérobée elle-même, ne me laissant que mon d
101
, dont Pétrarque nous dit « qu’il mit la voile et
prit
les rames à la recherche de sa mort ». Je lis et je revis l’émotion d
102
roles. Et par volonté de la voir, il se croisa et
prit
la mer. Et dans la nef il tomba malade et fut conduit à Tripoli, dans
103
, et elle s’en vint près de lui, à son lit, et le
prit
dans ses bras. Et il sut que c’était la comtesse et aussitôt il recou
104
sent dans le camp du moine, renient Guillaume, et
prennent
le voile à Fontevrault. Guillaume IX ne semble pas avoir pris au sér
105
à Fontevrault. Guillaume IX ne semble pas avoir
pris
au sérieux l’œuvre de réformateur qui s’attachait, paraît-il, à sauve
106
illaume IX, conclut Theophil Spoerri, apparaît et
prend
forme ce qui va désormais caractériser l’esprit européen : toute l’ar
107
er, une fois de plus, de faire sentir combien les
prises
de position devant l’hérésie — hostiles, complices, ou positives — co
108
nsion avec le phénomène, ou le simple fait d’être
pris
dans son champ. Notons aussi que les grandes dames de l’Aquitaine se
109
iques » par les lettrés, je me suis senti parfois
pris
d’une sorte d’angoisse, et je me suis sérieusement interrogé : n’avai
110
dre transition, le Roman nous dit : « Le roi Marc
prend
bientôt Tristan en haine, car il le craint plus qu’autrefois. » Il en
111
nseiller, mais bien pour alerter. Et pour aider à
prendre
des vues justes. Si je mérite le nom de moraliste, c’est dans la mesu