1 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. Note liminaire
1 a vingt ans, deux institutions d’un type nouveau prenaient le départ : le Laboratoire européen de recherches nucléaires ou CERN,
2 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
2 eures dans son bureau de Paris. Un jour, comme je prenais congé, il me dit en riant : « Savez-vous que tous nos entretiens préc
3 pable de l’avoir inventé. Et pour me venger, j’ai pris le brevet ! » Raoul Dautry était probablement le seul homme en Europe
4 suivante fut votée dans le corps des résolutions prises par la Conférence : « La Conférence européenne de la culture considé
5 sants — d’être possible pour les nations d’Europe prises isolément, il faut donc nous hâter d’« européaniser » nos moyens, nos
6 ée (IV) : Étapes Dès l’été 1951, le projet est pris en charge par l’Unesco, qui le négocie avec 14 gouvernements européen
7 ince Louis de Broglie insistant pour que l’Europe prenne sa place parmi les puissances se livrant à des recherches nucléaires.
3 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
8 es pour l’avenir du Centre européen de la culture prises depuis Noël 1952 » : 1. Création du Groupe des Vingt et du Courrier
9 t située dès le départ au niveau des idées et des prises de conscience. Car « les obstacles à notre union ne sont pas dans les
10 borer en commun. L’influence des Amis du Centre prendra des formes multiples et en partie imprévisibles, selon ce que chacun
11 ux de l’engagement sollicité, le groupe décida de prendre le nom de Club européen, et de s’assigner pour première tâche concrèt
12 ns son sein) du Conseil de la Fondation. Celui-ci prendra le nom de « Conseil des gouverneurs ». Dès lors, au terme d’une prépa
13 llandais, la Fondation européenne de la culture a pris son régime de croisière à partir du moment où son directeur, Georges
14 ent à ce projet majeur dont M. de Rougemont avait pris l’initiative : la « Campagne d’éducation civique », où nous sommes he
15 aleur que les politiciens et dirigeants appelés à prendre les décisions, devront en tenir compte. Au cours des cinq années d’ét