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a vingt ans, deux institutions d’un type nouveau
prenaient
le départ : le Laboratoire européen de recherches nucléaires ou CERN,
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eures dans son bureau de Paris. Un jour, comme je
prenais
congé, il me dit en riant : « Savez-vous que tous nos entretiens préc
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pable de l’avoir inventé. Et pour me venger, j’ai
pris
le brevet ! » Raoul Dautry était probablement le seul homme en Europe
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suivante fut votée dans le corps des résolutions
prises
par la Conférence : « La Conférence européenne de la culture considé
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sants — d’être possible pour les nations d’Europe
prises
isolément, il faut donc nous hâter d’« européaniser » nos moyens, nos
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ée (IV) : Étapes Dès l’été 1951, le projet est
pris
en charge par l’Unesco, qui le négocie avec 14 gouvernements européen
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ince Louis de Broglie insistant pour que l’Europe
prenne
sa place parmi les puissances se livrant à des recherches nucléaires.
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es pour l’avenir du Centre européen de la culture
prises
depuis Noël 1952 » : 1. Création du Groupe des Vingt et du Courrier
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t située dès le départ au niveau des idées et des
prises
de conscience. Car « les obstacles à notre union ne sont pas dans les
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borer en commun. L’influence des Amis du Centre
prendra
des formes multiples et en partie imprévisibles, selon ce que chacun
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ux de l’engagement sollicité, le groupe décida de
prendre
le nom de Club européen, et de s’assigner pour première tâche concrèt
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ns son sein) du Conseil de la Fondation. Celui-ci
prendra
le nom de « Conseil des gouverneurs ». Dès lors, au terme d’une prépa
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llandais, la Fondation européenne de la culture a
pris
son régime de croisière à partir du moment où son directeur, Georges
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ent à ce projet majeur dont M. de Rougemont avait
pris
l’initiative : la « Campagne d’éducation civique », où nous sommes he
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aleur que les politiciens et dirigeants appelés à
prendre
les décisions, devront en tenir compte. Au cours des cinq années d’ét