1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 du Royaume des Cieux. Il reste que les temps nous pressent de toutes parts au choix, jusque dans nos admirations, nous pressent
2 parts au choix, jusque dans nos admirations, nous pressent d’affecter toute chose, même spirituelle, d’une sorte de coefficient
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
3 ue trop bien dans les vôtres ! Déjà les hommes le pressentent  : il n’y a rien d’autre à attendre que cette force surhumaine d’entre
3 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
4 iens vivant selon la foi et capables de lui faire pressentir que ses observations toujours ingénieuses, souvent justes, ne portent
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
5 rait pour les violer. Et c’est cela qui nous fait pressentir la nature spirituelle de son secret, si bien masqué par le prétexte d
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
6 certaines allusions, et beaucoup de silence, font pressentir un drame secret, un nœud vital où peut-être réside la cause des plus
6 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
7 du monde, sans espoir de salut individuel58 — je pressens qu’ils trahissent un dépit amoureux au moins autant qu’un fléchisseme
7 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 e, et de l’Ange en la femme, que l’on pourrait en pressentir l’ultime secret. (Ici, donc, toute morale commune ou rationnelle, non
9 t ce qui fait que je la vois unique : ce vrai moi pressenti par l’amour seul, et qui est elle-même. Tu dis le Soi, ce n’est perso
10 à nourrir, et demain de cerveaux à diriger. Nous pressentons dans la terreur et l’espérance ce que l’Occident peut devenir : soit