1 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
1 à l’origine de ces « nécessités » elles-mêmes, je pressens notre obscur désir de fuite dans l’anonyme irresponsable, et la très
2 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
2 des foules rend à quelque idéal très obscurément pressenti . L’effort présent doit se porter vers une définition intransigeante e
3 our, qui forment un accord profond et animé. J’en pressens d’autres. C’est le plus beau jeu ! Je me plais à copier des phrases d
4 e de vie plus dur et plus joyeux… J’appelle et je pressens — c’est une phrase de Poe qui depuis quelque temps me fascine — « une