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76-82. e. Voir « La table ronde de l’Europe » (
Preuves
, janvier 1954) et « Une prise de conscience européenne » ( Bulletin
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à l’avenir européen. Je le montrerai par quelques
preuves
chiffrées. Et je ferai voir aussi que le général de Gaulle, invoqué r
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et l’économique. J’ai demandé qu’on me donne une
preuve
que l’on prend la culture au sérieux, qu’elle n’est pas un simple orn
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1950 et 1960, reprennent le flambeau européen :
Preuves
et La Table ronde à Paris, Encounter à Londres, Tempo Presente à Rom
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omique le plus brûlant de la fin du xxe siècle :
preuve
de plus de la précédence à tout le moins chronologique, du culturel v
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naire « Procéder par ordre. Dans l’ordre de la
preuve
. Prudemment et pas à pas ». C’est la méthode que préconise B.-H. Lévy
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ler dans leurs critiques et leurs refus autant de
preuves
de leur fascination par les nazis, est-elle révélatrice de ses propre
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nsabilité au moment où ils écrivaient. De quoi la
preuve
ne serait pas difficile à produire : ils n’avaient lu que le seul B.-
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s par L’Ordre nouveau et par Esprit était une
preuve
de fascisme ; la critique de l’Amérique était une preuve de fascisme
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de fascisme ; la critique de l’Amérique était une
preuve
de fascisme ; la moindre tentative de réfléchir sur le relâchement de
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fléchir sur le relâchement des liens sociaux, une
preuve
de fascisme. Bataille, Caillois, Leiris, étaient-ils donc fascistes ?
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rêt commun et à l’équilibre démocratique, fassent
preuve
d’une si constante impéritie au sein du Conseil des communautés, en p
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tout de Karl Marx, ont toutes fait et font encore
preuve
d’un attachement « inaliénable » à la liberté et aux droits de l’homm
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emont en rend compte dans un article de la revue
Preuves
et du Bulletin du Centre européen de la culture entre autres.
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à l’Europe ? Ils ne demandent que ça. J’en ai des
preuves
quasi quotidiennes : j’ai de bons amis là-bas, ils m’écrivent souvent