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e affirmation désespérée de son orgueil, comme la
preuve
enfin de son moi, — mais il sait bien qu’il n’en a pas, ou que son mo
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ager la liberté de l’acte de foi, et par là même,
preuves
paradoxales de la divine inspiration des Écritures. Enfin, l’antagoni
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te, qu’on serait tenté de tenir le doute pour une
preuve
dialectique de la foi. L’extraordinaire, chez Kafka, c’est qu’il ait
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renoncements mêmes qu’elle impose deviennent les
preuves
de sa transcendante vérité. Et c’est ainsi que la masse allemande, im