1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 je m’inquiète ; non pas de ces questions ni de la prise de parti (antimarxiste) qu’elles déterminent chez Ramuz, mais bien au
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
2 rait hypocrisie, refus. Qu’on trouve donc ici une prise de parti.   Nous sommes une génération comblée. Comblée de chances de
3 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
3 la vanité absolue de toute appréciation, de toute prise de parti, — de tout acte. C’est ce qu’on pourrait appeler la vision m
4 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
4 question, qui est celle du sérieux dernier, de la prise au sérieux de la vérité. Du point de vue du sérieux humain, l’éternit
5 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
5 st que là. Alors il s’agit seulement d’assurer la prise de cette main. C’est l’affaire d’une patience, ou d’une impatience do
6 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
6 , le recours à l’orthodoxie comme à une assurance prise sur le Saint-Esprit autant que sur le doute. (Il cite ce mot d’un cat